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En Russie : une étrange plage de galets de verre multicolores
Grâce au pouvoir incroyable de Mère Nature, la Baie de l'Oussouri, située dans la région de Primorsky Krai, offre un rivage de galets multicolores.
À l’époque soviétique, cette plage russe servait de décharge pour les camions qui transportaient la marchandise cassée ou invendue des usines de verre et de porcelaine. Des années plus tard, Mère Nature a pris une bien belle revanche sur la bêtise humaine en en faisant une plage à couper le souffle… Admirez son oeuvre !
À 30 minutes de Vladivostok, ville portuaire de l’Est de la Russie, les années d’érosion ont réussi à polir et arrondir les milliers de débris de verre de la Baie de l’Oussouri.
Ses galets uniques au monde en font l’une des attractions touristiques les plus impressionnantes de l’Eurasie. Les visiteurs paient même pour admirer le paysage naturel kaléidoscopique de cette ancienne zone fermée au public.
La plage surnommée la « plage de verre » (steklyashka en russe) est dorénavant protégée par les autorités russes !
Malheureusement, la nature ne parvient pas toujours aussi aisément à magnifier la bêtise des humains… Et si on parlait des 8 millions de tonnes de plastique qui finissent dans nos océans ?
Positivr
À l’époque soviétique, cette plage russe servait de décharge pour les camions qui transportaient la marchandise cassée ou invendue des usines de verre et de porcelaine. Des années plus tard, Mère Nature a pris une bien belle revanche sur la bêtise humaine en en faisant une plage à couper le souffle… Admirez son oeuvre !
À 30 minutes de Vladivostok, ville portuaire de l’Est de la Russie, les années d’érosion ont réussi à polir et arrondir les milliers de débris de verre de la Baie de l’Oussouri.
Ses galets uniques au monde en font l’une des attractions touristiques les plus impressionnantes de l’Eurasie. Les visiteurs paient même pour admirer le paysage naturel kaléidoscopique de cette ancienne zone fermée au public.
La plage surnommée la « plage de verre » (steklyashka en russe) est dorénavant protégée par les autorités russes !
Malheureusement, la nature ne parvient pas toujours aussi aisément à magnifier la bêtise des humains… Et si on parlait des 8 millions de tonnes de plastique qui finissent dans nos océans ?
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