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Les véhicules montés localement coûtent plus chers que les mêmes produits importés", selon le président du cluster

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  • Les véhicules montés localement coûtent plus chers que les mêmes produits importés", selon le président du cluster

    Selon Mr Adel Bensaci, président du cluster mécanique de précision, les véhicules assemblés en Algérie coûtent plus chers que celles importées, et pour que l'activité soit vraiment rentable pour notre pays, le taux d'intégration doit dépasser les 40%.

    Mr Bensaci explique, lors de son intervention au forum d'El moudjahid, que le montage en SDK ne peut être rentable si on atteint par un taux d'intégration de 40%, au-dessus de ce taux, il serait plus rentable d'importer ces véhicules que de les monter en Algérie. Le président du cluster mécanique de précision rappelle également que l'Algérie dépense chaque année 5 milliards de dollars pour l'importation de pièces de rechange, et estime que ce marché doit être récupéré par les sous-traitants nationaux.

    Mr Bensaci précise que "le cluster est un groupe d’intérêts communs, et que l’objectif de ce cluster (mécanique de précision) composé de 5 membres dont fait partie Sonatrach, est de développer la filière de la sous-traitance de mécanique de précision, en créant un lien entre les donneurs d’ordre, les fournisseurs d’origine et les universités et centre de recherche .Le cluster va accroître la relation entre ces unités et mettra en œuvre des projets en groupement à travers un plan d’action pour développer la sous-traitance nationale".


    AUTOBIP

  • #2
    Encore un traître à la solde du Maroc !

    Mais pourtant c'est logique, la majorité des pièces sont fabriquées avec des coûts supérieurs à ce qui pourrait se faire localement elles sont transportées et stockées de nouveau avant d'être montées. Donc forcément la note ne peut que gonfler !
    Dernière modification par iridium, 17 février 2017, 14h06.

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    • #3
      Les véhicules montés localement coûtent plus chers que les mêmes produits importés", selon le président du cluster
      effectivement, tout le monde le sait çà.

      En effet, tant qu'il n y a pas suffisament d'intégration locale, le cout d'une voiture sera plus cher. c'est évident. Ce président ne dit rien de nouveau, si ce n'est pour alerter les autorités sur une surveillance des parties prenantes des engagements en terme d'intégration.

      Par contre, ce que oublie de dire (ce cher président, sinon le rapporteur des propos de ce directeur ), sont que :
      - la mise en place d'usine de montage n'est jamais été la finalité, loin de là, et c'est juste une étape. Un engagement sur un objectif d'intégration suffisant dans le moyen terme est la condition d'acceptation d'un investissement. C'est la raison pour laquelle la signature de l'accort de l'usine Peugeot a été retardé. Peugeot est maintenant revenu à de meilleure sentiments. Elle attend l'accord des autorités depuis plusieurs mois.
      - Même si le cout est plus cher, une grande partie du travail est fait en algérie, plusieurs milliers de postes sont créés en Algérie, et toutes les montées en compétence qui vont avec.
      - il faut avoir à l'esprit que la main d’œuvre étant payé en dinars, et non en devise. Ce qui est un avantage indéniable par rapport à l'importation de produits finis.

      Bref:

      Et l'engagement à terme des investisseurs pour l'intégration locale, c'est l'un des points pour lequelle le gouvernement se doit de surveiller et suivre de très prêt.

      L'engagement doit défini en terme de plan d'action à court et moyen terme, avec des objectifs d'intégration clairs, quantifiés, et graduels à vérifier, permettra au gouvernement d'éviter l'effet tunel.

      Un autre point très important, est que dans tout nouvel investissement, il faut mettre en oeuvre en pensant et prévoyant systématiquement lidée de l'"Export". Et ceci, même si on ne compte pas le faire à court et moyen terme. Ca permet d'éviter de se tromper de business plan.
      Dernière modification par Pomaria, 17 février 2017, 17h53.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

      Commentaire


      • #4
        c'est pas grave , les 2-3 premières années .......... je dirais meme que c'est normal .

        au delà ...... c'est le mur assuré .
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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        • #5
          Envoyé par iridium
          Mr Bensaci explique, lors de son intervention au forum d'El moudjahid, que le montage en SDK ne peut être rentable si on atteint par un taux d'intégration de 40%, au-dessus de ce taux, il serait plus rentable d'importer ces véhicules que de les monter en Algérie. Le président du cluster mécanique de précision rappelle également que l'Algérie dépense chaque année 5 milliards de dollars pour l'importation de pièces de rechange, et estime que ce marché doit être récupéré par les sous-traitants nationaux.
          Encore un traître à la solde du Maroc !

          Mais pourtant c'est logique, la majorité des pièces sont fabriquées avec des coûts supérieurs à ce qui pourrait se faire localement elles sont transportées et stockées de nouveau avant d'être montées. Donc forcément la note ne peut que gonfler !

          Selon votre Ministre de l'Industrie Moulay Hafid Elalamy aujourd'hui le taux d'intégration est de 30%

          et si je comprend bien vous travaillerez pour rien depuis 56 ans
          Dernière modification par MEC213, 17 février 2017, 14h58.

          Commentaire


          • #6
            effectivement, tout le monde le sait çà.

            En effet, tant qu'il n y a pas suffisament d'intégration locale, le cout d'une voiture sera plus cher. c'est évident. Ce président ne dit rien de nouveau, si ce n'est pour alerter les autorités sur une surveillance des parties prenantes des engagements en terme d'intégration.
            Sauf l'etat, la presse et les médias dz ! Mais sinon effectivement tout le monde été au courant !

            Par contre, ce que oublie de dire (ce cher président, sinon le rapporter des propos de ce directeur ):
            - la mise en place d'usine de montage n'est jamais été la finalité, loin de là, et c'est juste une étape. Un engagement sur un objectif d'intégration suffisant dans le moyen terme est la condition d'acceptation d'un investissement. C'est la raison pour laquelle la signature de l'accort de l'usine Peugeot a été retardé. Peugeot est maintenant revenu à de meilleure sentiments. Elle attend l'accord des autorités depuis plusieurs mois.
            - Même si le cout est plus cher, une grande partie du travail est fait en algérie, plusieurs milliers de postes sont créés en Algérie, et toutes les montées en compétence qui vont avec.
            - il faut avoir à l'esprit que la main d’œuvre étant payé en dinars, et non en devise. Ce qui est un avantage indéniable par rapport à l'importation de produits finis.
            En te lisant ca parait tellement facile qu'on se demande pourquoi ca n'a pas eu lieu depuis des dizaines d'années.

            Selon votre Ministre de l'Industrie Moulay Hafid Elalamy aujourd'hui le taux d'intégration est de 30%

            et si je comprend bien vous travaillerez pour rien depuis 56 ans
            A lui seul le secteur de l'automobile marocain qui emploie 100 000 personnes exporte pour 6 milliards $ soit 3 à 4 fois plus que toutes les exportations hors hydrocarbures de toute la population de la puissante, glorieuse et richissime Algérie qui compte plus de 40 millions d'habitants !
            Dernière modification par iridium, 17 février 2017, 15h04.

            Commentaire


            • #7
              Les multinationales de l'automobile ont leurs propres strategie et politique d'investissement
              C'est pas le gouvernement d'un petit pays comme l'Algérie qui va leur forcer la main
              Tous le reste c'est de la com

              Commentaire


              • #8
                Envoyé par iridium
                A lui seul le secteur de l'automobile marocain qui emploie 100 000 personnes exporte pour 6 milliards $ soit 3 à 4 fois plus que toutes les exportations hors hydrocarbures de toute la population de la puissante, glorieuse et richissime Algérie qui compte plus de 40 millions d'habitants !
                Aux origines de l’industrie automobile dans le royaume, la Société marocaine de construction automobile (Somaca). Lorsqu’e le projet voit le jour en 1958

                Le capital de la SOMACA (10 millions de dirhams) est réparti à raison de 40 % au B.E.P.I., de 20 % à Simca, 20 % à Fiat et 20 % à des porteurs privés marocains.

                Le programme de production prévoit d’abord le montage et ensuite la fabrication progressive de 6 000 voitures de tourisme et camionnettes légères de qualité internationale. Elle pourrait par la suite être portée à 10 000 véhicules.

                Pour favoriser l’essor de l’activité locale il a été prévu que certains éléments seraient fournis par l’industrie marocaine, à savoir, batteries, pneus, glaces, sièges, radiateurs, ( Nada il a fallu attendre l'année 2013)

                Les voitures de la SOMACA seront livrées aux prix actuellement pratiqués par les concessionnaires Fiat et Simca. Le prix de vente sera donc exactement le même que si ces véhicules étaient importés de France ou d’Italie aux conditions actuelles.

                La SOMACA devait sortir sa première Fiat marocaine au début de 1962. c’est une fierté nationale

                Au début des années 1990, Somaca assemble moins de 5000 véhicules par an. Les chaînes d’assemblage ne tournent que trois à quatre jours par semaine. Les fins de mois sont assurées par le gouvernement pour les personnes travaillant dans des locaux.

                En 1997, la Palio prend comme prévu le relais de la Uno et donne à la Somaca un nouveau souffle jusqu’au début des années 2000. C’est l’époque de la vague de privatisations menée par Fathallah Oualalou au ministère des Finances, et Mustapha Mansouri au ministère de l’Industrie. C’est l’époque de l’ouverture du capital de Maroc Telecom, de la Comanav, de la Régie des Tabacs et de la Somaca aussi. Un constructeur malaisien, Proton, est le plus offrant pour se porter acquéreur des 38% que l’État détient.

                Le ministre de l’Industrie malaisien est venu rencontrer son homologue marocain, tous les termes du contrat ont été négociés, il ne manque plus que la validation du Premier ministre. Lorsque le dossier arrive à la primature, il s’y attarde. Et pour cause, Driss Jettou le connaît par cœur. Fraîchement nommé, il a conduit neuf ans plus tôt le sauvetage de la Somaca lorsqu’il était à l’Industrie. Un constructeur malaisien peu connu des Marocains, ce n’est pas ce que Jettou espérait. Le nouveau Premier ministre reprend l’affaire en main et invite au Maroc le président de Renault, Louis Schweitzer

                à l’époque, et lui tint à peu près ce langage : « Monsieur Schweitzer, vous n’êtes pas le plus offrant pour la reprise de la Somaca, mais je veux travailler avec vous. Présentez-moi un projet industriel ambitieux, un projet qui inclut la production d’un véhicule d’entrée de gamme vendu à 60 000 dirhams et qui prévoit de l’exportation. Alors, je pourrais convaincre mon gouvernement de travailler ensemble. »

                Effectivement, Renault répond par un projet prévoyant la production de la Dacia Logan à la Somaca. Renault ambitionne aussi d’exporter une partie de la production vers les pays voisins. Renault devient alors propriétaire de la Somaca à 80%. Après la Fiat Uno et la Fiat Palio, c’est autour de la Dacia Logan en 2005. Carlos Ghosn qui a depuis remplacé Louis Schweitzer se rend au Maroc pour l’événement. Renault entamait la production de ses véhicules low-cost en Turquie et en Roumanie. C’est l’occasion pour le Premier ministre de faire savoir que le Maroc veut être de la partie si un nouveau projet d’usine venait à voir le jour. Ghosn s’engage à consulter le Maroc le cas échéant.

                Durant ces années, le gouvernement cherche à apparaître sur l’écran radar des constructeurs automobiles afin de ne pas manquer une occasion si l’un d’entre eux projette d’installer une usine dans la région.

                Lorsqu’en 2006 Driss Jettou apprend que Renault étudie la possibilité d’un projet d’usine en Turquie, c’est le branle-bas de combat. Il saute dans un avion pour déjeuner avec Carlos Ghosn à Paris et lui rappeler ses promesses. Mais Renault est pressé. Le groupe a déjà une usine en Turquie et compte mettre à profit sa présence pour gagner du temps. Qu’à cela ne tienne, le Premier ministre est prêt à faire vite, très vite.

                Dès le lendemain, une équipe de Renault atterrit au Maroc pour exposer les exigences du groupe. Il y a urgence. Toutes les forces sont mobilisées. Les ministères de l’Industrie, de l’Équipement, l’ONEE, les douanes et la direction de Tanger-Med travaillent de concert avec l’équipe de Renault pour trouver des solutions à leurs demandes. En moins de dix jours, le Maroc propose une offre qui répond point par point aux desiderata du constructeur

                Dernière modification par MEC213, 17 février 2017, 15h47.

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                • #9
                  Tu as raison mais le baratin de la presse DZ fait des dégâts !

                  Commentaire


                  • #10
                    tizout
                    Les multinationales de l'automobile ont leurs propres strategie et politique d'investissement
                    Les autorités d'un pays, aussi !
                    Et sache que dans tout accord, il faut qu'il y est du gagnant-gagnant. Sinon rien.
                    je sais que tu le sais tout çà.

                    tizout

                    C'est pas le gouvernement d'un petit pays comme l'Algérie qui va leur forcer la main
                    notre pays est petit, certes, mais nous sommes assez grand pour ne pas accepter n'importe quoi. L'exemple d'un projet ficellé de peugeot qu'on n'a voulu signé l'année dernière, est édifiant.

                    On ne cède pas à la pression étrangère, quitte à rester tout seul dans notre coin.
                    Je sais que beaucoup de marocains nous envient sur cette attitude.

                    Pour l'investissement dans l'industrie automobile, on a de gros atouts. Et on ne les marchandent pas à tort et à travers.

                    ok tizout ?

                    tizout
                    Tous le reste c'est de la com
                    surtout au maroc ! surtout au maroc.

                    et il faut reconnaitre que vous avez des agences de communication spécialisés marocaines et étrangères qui font un merveilleux travail. et à tous les niveaux de votre royaume. Surtout politique et économique.

                    et il font vraiment des merveilles pour abrutir les masses !

                    Nos autorités à nous sont à des années lumières par rapport aux votres, sur cet aspect de la comm.
                    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                    Commentaire


                    • #11
                      Aux origines de l’industrie automobile dans le royaume, la Société marocaine de construction automobile (Somaca). Lorsqu’e le projet voit le jour en 1958

                      Le capital de la SOMACA (10 millions de dirhams) est réparti à raison de 40 % au B.E.P.I., de 20 % à Simca, 20 % à Fiat et 20 % à des porteurs privés marocains.

                      Le programme de production prévoit d’abord le montage et ensuite la fabrication progressive de 6 000 voitures de tourisme et camionnettes légères de qualité internationale. Elle pourrait par la suite être portée à 10 000 véhicules.

                      Pour favoriser l’essor de l’activité locale il a été prévu que certains éléments seraient fournis par l’industrie marocaine, à savoir, batteries, pneus, glaces, sièges, radiateurs, ( Nada il a fallu attendre l'année 2013)

                      Les voitures de la SOMACA seront livrées aux prix actuellement pratiqués par les concessionnaires Fiat et Simca. Le prix de vente sera donc exactement le même que si ces véhicules étaient importés de France ou d’Italie aux conditions actuelles.

                      La SOMACA devait sortir sa première Fiat marocaine au début de 1962. c’est une fierté nationale

                      Au début des années 1990, Somaca assemble moins de 5000 véhicules par an. Les chaînes d’assemblage ne tournent que trois à quatre jours par semaine. Les fins de mois sont assurées par le gouvernement pour les personnes travaillant dans des locaux.

                      En 1997, la Palio prend comme prévu le relais de la Uno et donne à la Somaca un nouveau souffle jusqu’au début des années 2000. C’est l’époque de la vague de privatisations menée par Fathallah Oualalou au ministère des Finances, et Mustapha Mansouri au ministère de l’Industrie. C’est l’époque de l’ouverture du capital de Maroc Telecom, de la Comanav, de la Régie des Tabacs et de la Somaca aussi. Un constructeur malaisien, Proton, est le plus offrant pour se porter acquéreur des 38% que l’État détient.

                      Le ministre de l’Industrie malaisien est venu rencontrer son homologue marocain, tous les termes du contrat ont été négociés, il ne manque plus que la validation du Premier ministre. Lorsque le dossier arrive à la primature, il s’y attarde. Et pour cause, Driss Jettou le connaît par cœur. Fraîchement nommé, il a conduit neuf ans plus tôt le sauvetage de la Somaca lorsqu’il était à l’Industrie. Un constructeur malaisien peu connu des Marocains, ce n’est pas ce que Jettou espérait. Le nouveau Premier ministre reprend l’affaire en main et invite au Maroc le président de Renault, Louis Schweitzer

                      à l’époque, et lui tint à peu près ce langage : « Monsieur Schweitzer, vous n’êtes pas le plus offrant pour la reprise de la Somaca, mais je veux travailler avec vous. Présentez-moi un projet industriel ambitieux, un projet qui inclut la production d’un véhicule d’entrée de gamme vendu à 60 000 dirhams et qui prévoit de l’exportation. Alors, je pourrais convaincre mon gouvernement de travailler ensemble. »

                      Effectivement, Renault répond par un projet prévoyant la production de la Dacia Logan à la Somaca. Renault ambitionne aussi d’exporter une partie de la production vers les pays voisins. Renault devient alors propriétaire de la Somaca à 80%. Après la Fiat Uno et la Fiat Palio, c’est autour de la Dacia Logan en 2005. Carlos Ghosn qui a depuis remplacé Louis Schweitzer se rend au Maroc pour l’événement. Renault entamait la production de ses véhicules low-cost en Turquie et en Roumanie. C’est l’occasion pour le Premier ministre de faire savoir que le Maroc veut être de la partie si un nouveau projet d’usine venait à voir le jour. Ghosn s’engage à consulter le Maroc le cas échéant.

                      Durant ces années, le gouvernement cherche à apparaître sur l’écran radar des constructeurs automobiles afin de ne pas manquer une occasion si l’un d’entre eux projette d’installer une usine dans la région.

                      Lorsqu’en 2006 Driss Jettou apprend que Renault étudie la possibilité d’un projet d’usine en Turquie, c’est le branle-bas de combat. Il saute dans un avion pour déjeuner avec Carlos Ghosn à Paris et lui rappeler ses promesses. Mais Renault est pressé. Le groupe a déjà une usine en Turquie et compte mettre à profit sa présence pour gagner du temps. Qu’à cela ne tienne, le Premier ministre est prêt à faire vite, très vite.

                      Dès le lendemain, une équipe de Renault atterrit au Maroc pour exposer les exigences du groupe. Il y a urgence. Toutes les forces sont mobilisées. Les ministères de l’Industrie, de l’Équipement, l’ONEE, les douanes et la direction de Tanger-Med travaillent de concert avec l’équipe de Renault pour trouver des solutions à leurs demandes. En moins de dix jours, le Maroc propose une offre qui répond point par point aux desiderata du constructeur
                      Amok Renault n'est que la partie visible de ce secteur ! Le secteur est composé de plusieurs centaines de sous-traitant qui travaillent pour Renault au Maroc et pour d'autres marques à l'exportation !

                      Ah ce Jettou un grand businessman !
                      Dernière modification par iridium, 17 février 2017, 16h05.

                      Commentaire


                      • #12
                        Amokrane, le sujet n'est pas la SOMACA ou Jettou mais le fait que les véhicules montés en Algérie coûtent plus chers que les mêmes importés. Inutile de faire de la diversion avec des HS.

                        Commentaire


                        • #13
                          Amok Renault n'est que la partie visible de ce secteur ! Le secteur est composé de plusieurs centaines de sous-traitant qui travaillent pour Renault au Maroc et pour d'autres marques à l'exportation !
                          visible ou pas visible
                          - 30% de taux d'intégration apres 56 ans ds l'industrie automobile
                          - 4 sous traitant marocains les reste c des sous traitant a 100% capitaux etrangers
                          - Les 2 usines Somca + Tanger appartenant a 100% a Renault
                          - Renault et les sous traitant qui exportent

                          Ou es la fierté a 4 pattes


                          Envoyé par hakimcasa
                          Amokrane, le sujet n'est pas la SOMACA ou Jettou mais le fait que les véhicules montés en Algérie coûtent plus chers que les mêmes importés. Inutile de faire de la diversion avec des HS.
                          Le sujet c le début de l'assemblage soit en Algerie soit au Maroc
                          Dernière modification par MEC213, 17 février 2017, 16h47.

                          Commentaire


                          • #14
                            le cluster est un groupe d’intérêts communs, et que l’objectif de ce cluster (mécanique de précision) composé de 5 membres dont fait partie Sonatrach

                            Très bonne inituative ce cluster ça va permettre de booster la sous traitance, en plus on voit que Sonatrach entre dans la danse très postif cet article merci Paleem pour le partage

                            Commentaire


                            • #15
                              moi c'est sur tous le mots "usine" que me ...trouble......
                              tu tombe je tombe car mane e mane
                              après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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