Deuxième destination royale après la réintégration de l’Union Africaine, le Ghana continue d’être un partenaire stratégique pour le Maroc. Accra étant déjà signataire de la motion de suspension de la RASD des activités de l’instance africaine, la voilà aujourd’hui liée économiquement au royaume. "Bien qu’elles soient aujourd’hui bonnes, les relations économiques ne sont peut-être pas au niveau du potentiel offert par les deux pays", a admis Hamid Chabar, ambassadeur du Maroc à Accra, dans un entretien accordé à l’agence officielle, MAP.
Mohammed VI et Nana Akufo-Addo ont donc présidé la cérémonie de signature de 25 accords gouvernementaux et ceux relatifs au partenariat public-privé dans différents domaines de coopération entre les deux pays.
D’un côté, les institutionnels ont signé 6 accords, des boucliers d’investissements, de non double imposition, de coopération industrielle mais également d’aide aux petits agriculteurs. De l’autre, le secteur privé, qui a quant à lui décidé d’accélérer les échanges: en plus de la mise en place d’un conseil d’affaires commun, le groupe BMCE Bank of Africa a ouvert une ligne de 10 millions de dollars aux entreprises ghanéennes pour développer les capacités technologiques. Un accord a également été signé afin de rapprocher les marchés des capitaux des deux pays dans le financement des PME par le marché, la certification des professionnels du marché, l’éducation financière du public, l’encouragement des investissements transfrontaliers. Toujours dans le secteur financier, un mémo de coopération technique en matière d’assurance et de réassurance a été paraphé.
En outre, les deux pays se sont engagés à coopérer dans les domaines écologiques, universitaires, et à avoir une "approche commune des politiques sociales".
Huffpost
Mohammed VI et Nana Akufo-Addo ont donc présidé la cérémonie de signature de 25 accords gouvernementaux et ceux relatifs au partenariat public-privé dans différents domaines de coopération entre les deux pays.
D’un côté, les institutionnels ont signé 6 accords, des boucliers d’investissements, de non double imposition, de coopération industrielle mais également d’aide aux petits agriculteurs. De l’autre, le secteur privé, qui a quant à lui décidé d’accélérer les échanges: en plus de la mise en place d’un conseil d’affaires commun, le groupe BMCE Bank of Africa a ouvert une ligne de 10 millions de dollars aux entreprises ghanéennes pour développer les capacités technologiques. Un accord a également été signé afin de rapprocher les marchés des capitaux des deux pays dans le financement des PME par le marché, la certification des professionnels du marché, l’éducation financière du public, l’encouragement des investissements transfrontaliers. Toujours dans le secteur financier, un mémo de coopération technique en matière d’assurance et de réassurance a été paraphé.
En outre, les deux pays se sont engagés à coopérer dans les domaines écologiques, universitaires, et à avoir une "approche commune des politiques sociales".
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