Vendredi 17 février, des milliers de Mexicains ont formé, main dans la main, un mur à la frontière avec les Etats-Unis, pour protester contre le projet du président américain Donald Trump.
La manifestation a été organisée par les autorités locales et des associations civiles de Ciudad Juarez, ville mexicaine située à la frontière avec les Etats-Unis. Sur 1,5 km, les manifestants ont crié leur aversion pour le mur que veut faire construire Donald Trump, brandissant des drapeaux mexicains et des fleurs.
«Nous ne faisons qu'un... qu'une seule région», a tweeté la ville de Ciudad Juarez avec quelques photos du rassemblement. «Personne n'est illégal», pouvait-on lire sur la banderole d'un groupe de manifestants. Sur la côte pacifique, la ville de Tijuana, effrayée par ce prochain mur, avait, elle aussi, organisé un mur humain à la frontière américaine.
Interrogés par LCI, les manifestants ont signalé que : «beaucoup d'entre nous ont de la famille à El Paso, ou vont étudier là-bas, beaucoup de gens traversent quotidiennement car ils travaillent là-bas.» Ils dénoncent l'amalgame fait entre les entrées illégales sur le territoire et les travailleurs et étudiants légaux, qui pourrait tous les affecter.
Direct matin
La manifestation a été organisée par les autorités locales et des associations civiles de Ciudad Juarez, ville mexicaine située à la frontière avec les Etats-Unis. Sur 1,5 km, les manifestants ont crié leur aversion pour le mur que veut faire construire Donald Trump, brandissant des drapeaux mexicains et des fleurs.
«Nous ne faisons qu'un... qu'une seule région», a tweeté la ville de Ciudad Juarez avec quelques photos du rassemblement. «Personne n'est illégal», pouvait-on lire sur la banderole d'un groupe de manifestants. Sur la côte pacifique, la ville de Tijuana, effrayée par ce prochain mur, avait, elle aussi, organisé un mur humain à la frontière américaine.
Interrogés par LCI, les manifestants ont signalé que : «beaucoup d'entre nous ont de la famille à El Paso, ou vont étudier là-bas, beaucoup de gens traversent quotidiennement car ils travaillent là-bas.» Ils dénoncent l'amalgame fait entre les entrées illégales sur le territoire et les travailleurs et étudiants légaux, qui pourrait tous les affecter.
Direct matin