DIA-19 février 2017: Alors qu’elle vient de participer au Festival International du Film d’Amour de Mons, avec toute l’équipe du film de Riahana « A mon âge je me cache encore pour fumer » Hiam Abass, Fadila Belkabla, Nassima Benchicou, Lina Soualem, Wafa Boucli et Yamna Hachemi, la « grande gueule du cinéma algé*rien » comme on l’a surnomme à Alger ou la « Gains*barre de l’autre rive », comme l’a défini certains journalistes à Paris, s’aprrète à entamer le tour*nage du nouveau film de Rachid Boucha*reb (avec qui elle n’a jamais travailler) et dans lequel elle incar*nera le rôle de la mère d’Omar Sy, à Miami et à Belle*ville. Mais aussi le cinquième épisode de la série Aïcha, réalisé par Yamina Bengui*gui, pour France 2. Biyouna vient de fêter ses soixante-quatre ans, « quarante-six ans à l’en*vers », rappelle d’un air espiègle la diva du cinéma populaire algérien. Auparavant l’ex Fatma de la série populaire Dar Sbitar, a fait son show au Palais des Glaces jusqu’au 31 décembre, où elle jouer sa pièce « Mon Caba*ret ». De son vrai nom Baya Bouzar, Biyouna s’est exilé depuis plus de 20 ans en France, où elle n’est distinguée avec des rôles controversée dans les films de Nadir Moknache et Yamina Benguigui. Cette année elle va travailler pour la première fois avec l’auteur de films sérieux « Hors la loi » et « Indigènes », un film sur le flic de Belle Ville dans lequel on pourrait notamment retrouver Djamel Debouzze.
Amel Bouchaib
Amel Bouchaib
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