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La réalisatrice franco-marocaine et son équipe d’actrices de choc ont raflé trois César hier soir à Paris après la Caméra d’or à Cannes en mai dernier.
Divine année pour la réalisatrice de Divines et son équipe. Après la Caméra d’or à Cannes en mai dernier, la Franco-Marocaine Houda Benyamina et ses actrices ont raflé trois prix hier lors de la 42ème édition des César en France. La soirée a commencé par le César du Meilleur espoir féminin attribué à la jeune Oulaya Amamra qui tient le rôle principal du film. La petite sœur de la réalisatrice a bouleversé l’assistance en remerciant sa mère qu’elle « aime vraiment », sa sœur pour ce « rôle magnifique » qu’elle lui a confié et enfin son père décédé dont elle espère qu’il fier d’elle. Plus tard dans la soirée, Houda Benyamina a été distinguée par le César du meilleur premier film. Visiblement très émue, la réalisatrice a remercié ses équipes et ses actrices. Un discours très court et tout en retenue qui tranche avec la fougue dont elle avait fait preuve à Cannes où elle avait tenu des propos engagés et féministes. Enfin, Deborah Lukumuena a reçu le César de la meilleure catrice dans un second rôle ppur sa prestation à couper le souffle. Rappelons que Divines dépeint le quotidien de deux jeunes filles de banlieue prêtes à tout pour réussir. Une histoire tragique d’amitié, d’amour et de rédemption à voir de toute urgence.
FDM
Divine année pour la réalisatrice de Divines et son équipe. Après la Caméra d’or à Cannes en mai dernier, la Franco-Marocaine Houda Benyamina et ses actrices ont raflé trois prix hier lors de la 42ème édition des César en France. La soirée a commencé par le César du Meilleur espoir féminin attribué à la jeune Oulaya Amamra qui tient le rôle principal du film. La petite sœur de la réalisatrice a bouleversé l’assistance en remerciant sa mère qu’elle « aime vraiment », sa sœur pour ce « rôle magnifique » qu’elle lui a confié et enfin son père décédé dont elle espère qu’il fier d’elle. Plus tard dans la soirée, Houda Benyamina a été distinguée par le César du meilleur premier film. Visiblement très émue, la réalisatrice a remercié ses équipes et ses actrices. Un discours très court et tout en retenue qui tranche avec la fougue dont elle avait fait preuve à Cannes où elle avait tenu des propos engagés et féministes. Enfin, Deborah Lukumuena a reçu le César de la meilleure catrice dans un second rôle ppur sa prestation à couper le souffle. Rappelons que Divines dépeint le quotidien de deux jeunes filles de banlieue prêtes à tout pour réussir. Une histoire tragique d’amitié, d’amour et de rédemption à voir de toute urgence.
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