Rencontre Mohamed VI-Ouattara : Voici ce qui a été décidé

[haddou]

Le roi du Maroc, Mohamed VI a atterri sur les bords de la lagune Ebrié, le vendredi 24 février, dernier. D’es son arrivée, il a été accueilli par le président Alassane Ouattara. S’en suivi alors un entretien riche en prise de décision entre le Maroc, la Côte d’Ivoire et la CEDEAO en générale. Non seulement, il était question de la coopération ivoiro-marocaine et surtout l’intention du royaume chérifien, d’intégrer la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Le Maroc reste le promoteur par excellence de la coopération sud-sud. Outre la Côte d’Ivoire, le roi Mohamed VI a développé un partenariat gagnant-gagnant avec les pays de la CEDEAO. Pour ce fait, il a financé plusieurs projets de développement, et la formation des intellectuels de ces pays au Maroc.

Ainsi, en intégrant donc la CEDEAO, le Maroc ne fait que renforcer ses liens avec des pays qui l’ont adopté. Ensuite, le roi du royaume chérifien ouvrira à son pays, la voie d’un espace qui lui permet d’envisager des échanges économiques importants.

Par ailleurs, en accédant au marché de la CEDEAO, le Maroc dépasserait un pays comme le Turquie, en matière de développement, et s’approchait de l’Indonésie en termes de PIB. Quant aux pays de la CEDEAO, en intégrant le Maroc, ils accroîtront les échanges économiques avec ce pays.

Imatin net

[Peace and love]

Par ailleurs, en accédant au marché de la CEDEAO, le Maroc dépasserait un pays comme le Turquie, en matière de développement, et s’approchait de l’Indonésie en termes de PIB.

En matière de développement, je ne pense pas.

[AigleNoir]

Le Maroc reste le promoteur par excellence de la coopération sud-sud. Outre la Côte d’Ivoire, le roi Mohamed VI a développé un partenariat gagnant-gagnant avec les pays de la CEDEAO. Pour ce fait, il a financé plusieurs projets de développement, et la formation des intellectuels de ces pays au Maroc.

Voila le resultat de partenariat gagnant-gagnant surtout apres la visite du Soudan du sud.

Bonne lecture

La sécheresse mais surtout les guerres ont ravagé l'économie de zones entières, forçant les habitants à fuir ou à mourir.
On la pensait cantonnée au passé. Pour la première fois depuis six ans, la seconde seulement en deux décennies, la famine est de retour. Lundi, le gouvernement du Soudan du Sud, le plus jeune État du monde, a reconnu l'état de famine dans une partie du Nord. Quelque 100.000 personnes sont affectées dans l'État d'Unité, ce «qui veut dire que des gens ont déjà commencé à mourir de faim», souligne Challiss McDonough, du Programme alimentaire mondial (PAM).
La famine signifie techniquement que le stade 5, celui de catastrophe, est atteint selon l'échelle IPC (outil intégré de classification des phases). «Le pire est que cette famine est entièrement d'origine humaine et liée à la guerre qui a éclaté en décembre 2013. Dans l'Unité, les gens sont pour l'essentiel des fermiers. Les combats les ont obligés à fuir, à quitter leurs terres ...

Le figaro