C’est une information qui émane de nos confères du journal Liberté. Un seul et unique contrat a été signé lors la 6e session de la commission mixte algéro-allemande et sur le forum d’affaires organisé Mardi à l’hôtel El-Aurassi.
Une vraie catastrophe alors qu’on s’attendait à un bon quantitatif et qualitatif sensible des relations économiques entre les deux pays à l’occasion de ces deux rencontres économiques de grandes envergures. Finalement, les résultats se font attendre. Le dynamisme qu’ont connu les échanges entre l’Algérie et l’Allemagne ces dix dernières années devaient être confirmés Mardi dernier, en présence de la chancelière allemande, mais que nenni. Les entreprises sont restées attentistes et ont carrément évité de prendre la moindre initiative.
Il faut dire que ces deux rencontres se sont déroulés dans un contexte très particulier. D’abord parce que l’Algérie réduit drastiquement ses importations et ses investissements en équipement, à cause de la baisse de ses revenus pétroliers. Les principaux fournisseurs de notre pays, dont l’Allemagne sont depuis prudent avant la signature du moindre contrat, observant à la loupe l’évolution de la situation économique en Algérie. Ajoutez à cela un climat des affaires des plus délétères, marqué par une instabilité juridique sans précédent, et cerise sur le gâteau, un cafouillage grandeur nature autour de la visite de la chancelière allemande Angela Merkel annulé une heure avant le décollage de son avion !!
Comme bons présages pour se motiver à faire des affaires, on a vu mieux. Du coup, hormis quelques promesses, ici et là, notamment dans l’énergie solaire, très peu de concret. Seule l’entreprise Henkel, déjà présente en Algérie depuis des lustres, a signé un protocole d’accord avec une filiale du groupe Asmidal pour la production d’aérosols. C’est maigre.
lanational dz
Une vraie catastrophe alors qu’on s’attendait à un bon quantitatif et qualitatif sensible des relations économiques entre les deux pays à l’occasion de ces deux rencontres économiques de grandes envergures. Finalement, les résultats se font attendre. Le dynamisme qu’ont connu les échanges entre l’Algérie et l’Allemagne ces dix dernières années devaient être confirmés Mardi dernier, en présence de la chancelière allemande, mais que nenni. Les entreprises sont restées attentistes et ont carrément évité de prendre la moindre initiative.
Il faut dire que ces deux rencontres se sont déroulés dans un contexte très particulier. D’abord parce que l’Algérie réduit drastiquement ses importations et ses investissements en équipement, à cause de la baisse de ses revenus pétroliers. Les principaux fournisseurs de notre pays, dont l’Allemagne sont depuis prudent avant la signature du moindre contrat, observant à la loupe l’évolution de la situation économique en Algérie. Ajoutez à cela un climat des affaires des plus délétères, marqué par une instabilité juridique sans précédent, et cerise sur le gâteau, un cafouillage grandeur nature autour de la visite de la chancelière allemande Angela Merkel annulé une heure avant le décollage de son avion !!
Comme bons présages pour se motiver à faire des affaires, on a vu mieux. Du coup, hormis quelques promesses, ici et là, notamment dans l’énergie solaire, très peu de concret. Seule l’entreprise Henkel, déjà présente en Algérie depuis des lustres, a signé un protocole d’accord avec une filiale du groupe Asmidal pour la production d’aérosols. C’est maigre.
lanational dz
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