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C'est un grand pas qui a été franchi dans le cadre du lancement des premières banques participatives, avec la publication dans le BO des 3 circulaires sans lesquelles aucune banque participative ne pouvait démarrer son activité. Elles fixent, entre autres, la liste des produits commercialisables.
C’est un pas de plus vers le lancement des premières banques participatives qui vient d’être franchi ce vendredi 3 mars. Trois circulaires très attendues de la Banque centrale viennent d’être publiées dans le Bulletin officiel.
La première fixe la liste des produits que peuvent commercialiser les banques participatives ainsi que leurs caractéristiques. On apprend ainsi qu’il existera au Maroc cinq principaux produits, à savoir la Mourabaha, Ijara, Moucharaka, Moudaraba ainsi que le contrat Salam.
La deuxième circulaire fixe les conditions que les banques participatives doivent respecter pour les dépôts d’investissement, l’équivalent des dépôts à terme et aux comptes sur carnet, dans la banque conventionnelle. Ce sont là les principaux outils de collecte des ressources des futures banques participatives.
Enfin, la troisième circulaire concerne les conditions dans lesquelles les banques classiques peuvent commercialiser des produits participatifs. Sont principalement concernées par cette dernière circulaire, les banques filiales de groupes étrangers et qui ont opté pour le lancement de fenêtres au lieu de créer des banques à part entière pour opérer dans le secteur de la finance participative.
C’est un pas de plus vers le lancement des premières banques participatives qui vient d’être franchi ce vendredi 3 mars. Trois circulaires très attendues de la Banque centrale viennent d’être publiées dans le Bulletin officiel.
La première fixe la liste des produits que peuvent commercialiser les banques participatives ainsi que leurs caractéristiques. On apprend ainsi qu’il existera au Maroc cinq principaux produits, à savoir la Mourabaha, Ijara, Moucharaka, Moudaraba ainsi que le contrat Salam.
La deuxième circulaire fixe les conditions que les banques participatives doivent respecter pour les dépôts d’investissement, l’équivalent des dépôts à terme et aux comptes sur carnet, dans la banque conventionnelle. Ce sont là les principaux outils de collecte des ressources des futures banques participatives.
Enfin, la troisième circulaire concerne les conditions dans lesquelles les banques classiques peuvent commercialiser des produits participatifs. Sont principalement concernées par cette dernière circulaire, les banques filiales de groupes étrangers et qui ont opté pour le lancement de fenêtres au lieu de créer des banques à part entière pour opérer dans le secteur de la finance participative.
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