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Mohamed Larbi Ben M'hidi, le passé et l'avenir d'une nation

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  • Mohamed Larbi Ben M'hidi, le passé et l'avenir d'une nation

    Selon Krim Belkacem, Mohamde Larbi Ben M'hidi avait été donné à l'armée française sous la torture.


    -Il faut aller chercher dans nos têtes, pour comprendre pourquoi les aventures et mésaventures des chefs militaires, les grandes et petites trahisons, les luttes intestines et conflits dits fratricides prennent le pas sur l'effort de compréhension de leurs causes.

    Sur ce qui explique comment et pourquoi une société tribale qui n'a opposé que des résistances régionales à la conquête coloniale a pu générer une élite politique puis politico-militaire qui l'a aidée à opposer enfin une lutte nationale unifiée.

    Notre horizon tribal, notre patrimoine culturel ancestral, notre vécu social, nous prédisposait bien sûr à comprendre l'histoire comme un geste, une histoire des héros ou de groupes coalisés.

    A préférer l'histoire de l'organisation FLN/ALN et pas l'histoire qui a fabriqué cette organisation.

    Ce patrimoine par sa pesanteur ramènera toujours l'intérêt du public à une compétition de la geste des tribus et des régions et à la fabrication des mythes gratifiants. Il faut cependant souligner l'exploitation de cette carence culturelle pour mobiliser le récit historique dans des enjeux actuels et pour des agendas à peine cachés et pas du tout le souci de la vérité.

    Mohamed Larbi Ben M'hidi est significatif de l'histoire qui a fabriqué l'appareil

    Source: Al Huffington

  • #2
    il doit se retourner dans sa tombe que dieu préserve
    l algerie de ses vautours

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    • #3
      Azul Voldemor

      il doit se retourner dans sa tombe que dieu préserve
      Larbi Ben Mhidi était de Biskra donc il ne doit être étonné de rien. Par contre nous allons voir qui est FLN ou pas et qui veille ou pas au respect de sa mémoire et de son combat.
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #4
        Larbi Ben Mhidi était de Biskra
        Azul Zwina

        non, il était d'Ain Mlila, Constantine. Un chaoui.
        mais il a fait son école à Biskra.

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        • #5
          je sais pas s il était de mlila ou biskra c était un homme
          bien il est mort pour l algerie

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          • #6
            Azul Bachi

            non, il était d'Ain Mlila, Constantine. Un chaoui.
            mais il a fait son école à Biskra.
            Son surnom était Larbi de Biskra, un livre sort bientôt où il est expliqué que l'ordre de le tuer est venu de haut ...
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              oui Larbi el Biskri parce qu'effectivement, il a vécu à Biskra toute son adolescence et une partie de sa jeune vie d'adulte.
              Il est né à Ain M'lila
              Biskra a d'autres grosses pointures: Boudiaf, Hawes, Ghanter, Chaabani, Lamoudi

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              • #8
                Bachi

                Biskra a d'autres grosses pointures: Boudiaf, Hawes, Ghanter, Chaabani, Lamoudi
                Il y a un vrai travail de recherches historiques à faire sur Biskra, tant de grosses pointures assassinées, ce n'est pas anodin.

                Abdelkader Lamoudi a évoqué brièvement l’histoire de l’Algérie sous l’occupation française, en apportant à cette occasion, un témoignage vivant de la farouche résistance du peuple algérien face à l’ennemi colonial, depuis les années 1940 jusqu’à l’indépendance, en rappelant, à cet égard, le rôle important qu’il a joué dans le mouvement national et la glorieuse Révolution de Novembre. S’adressant aux jeunes participants, il leur a demandé à plusieurs reprises d’aimer leur pays, de le préserver coûte que coûte, car un million et demi de chouhada se sont sacrifiés pour leur permettre de vivre libres et indépendants.«Aimez votre pays, protégez-le, car rien ne vaut la liberté et la dignité !» souligne-t-il. Né en 1925 au sein d’une famille modeste d’El-Oued, le jeune Abdelkader a appris le Coran à la mosquée El-Azazla, avant de poursuivre sa scolarité à l’école primaire locale, qui a été ensuite couronnée par l’obtention du certificat d’études. Il se rend à Biskra pour continuer ses études, et fait la connaissance du chahid Larbi Ben Mhidi, élève au même établissement. En 1943, Abdelkader Lamoudi rentre à El-Oued où il crée la première cellule du PPA, avec Ahmed Miloudi. C’est le début d’un engagement fidèle et sans limite en faveur de la cause nationale, que le jeune militant concrétisera sur le terrain, à travers sa modeste, mais précieuse contribution à informer les gens, les sensibiliser sur l’occupation coloniale et sur la nécessité d’œuvrer à la libération et l’indépendance du pays, particulièrement. Sans préjuger de la comparaison avec leurs glorieux aînés, les nombreux étudiants présents dans la salle n’avaient d’yeux que pour le valeureux moudjahid, donnant l’impression de boire ses paroles, admirer ses faits et gestes, soutenir ses efforts pour rassembler ses souvenirs et livrer son précieux témoignage sur le mouvement national et la Révolution de Novembre. Lors de la création par le PPA de l’Organisation spéciale, en 1947, Abdelkader Lamoudi est désigné comme responsable de la région d’El- Oued et du Sud-Constantinois. Quelque temps après, le chahid Larbi ben M’hidi est porté à la tête de l’OS pour la région de Constantine, permettant à Lamoudi de le remplacer comme responsable de la région de Biskra et de la région d’Arris (Batna), en 1948, au moment où le chahid Mostefa Ben Boulaïd présidait aux destinées de l’organisation dans les Aurès. Avec l’aide des responsables de la région, Abdelkader Lamoudi a fait parvenir beaucoup d’armes et de munitions aux militants de plusieurs villes, comme Ouargla, Batna et Biskra. D’après le témoignage de Mohamed Issami, conforté par ceux des dirigeants de la Révolution comme Benyoucef Benkhedda et Hocine Aït Ahmed, le valeureux moudjahid a mené plusieurs missions d’approvisionnement en armes des maquis de l’OS, en citant celle portant sur l’acheminement de 33 fusils «Stati» d’El-Oued à Biskra, remise ensuite au chahid Larbi Ben Mhidi pour servir aux militants de la région de Constantine. En 1947, une importante quantité, composée de 103 fusils et des munitions ont été collectés par les militants locaux pendant deux mois, au niveau du Grand Sud et acheminés par Mohamed Seghir Belaïd, Mohamed Belhadj, Bachir Benmoussa et Abdelkader Lamoudi à la localité de Thomas (près de Zeribet El-Oued) pour y être cachés. Grâce à l’intervention du défunt Mohamed Belouizdad, Benboulaïd a donné ordre à ses militants de faire parvenir cette quantité d’armes à Arris, en 1948/1949, chose qui fut faite, permettant ainsi à la Révolution de Novembre de disposer de ses premières armes, le 1er Novembre 1954.
                Lamoudi a indiqué que Si Mostefa disposait d’une ferme dans la localité voisine de Foum Toub, où se réunissaient les militants nationalistes et s’entraînaient aux méthodes de combat et au maniement des armes. Il a ajouté que c’est dans cette ferme qu’il a appris personnellement à fabriquer les bombes et à les désamorcer, à la faveur d’un stage spécial, dirigé par un Algérien qui a participé à la Seconde Guerre mondiale. Partant de là, Lamoudi assiste aux réunions des responsables de l’OS de l’Est algérien, présidées par le défunt Mohamed Boudiaf. En 1950, l’Organisation spéciale est découverte par l’occupant colonial qui lance une vaste campagne d’arrestation et de détention de ses principaux dirigeants. Par bonheur, Abdelkader Lamoudi y échappe et se rend ensuite à Alger, où il prend contact avec les responsables Boudiaf, Ben M’hidi et Didouche.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Il se rend à Biskra pour continuer ses études, et fait la connaissance du chahid Larbi Ben Mhidi, élève au même établissement
                  On parle de si Abdelkader Lamoudi qui a fait ses études secondaires en même temps que Ben M'hidi dans la seule école, d'un très moyen niveau pourtant, de Biskra. Ca été mon école aussi, tous les Biskri des années 60, début 70 ont passé par là, ca a été l'école Lavigerie du temps de la France et puis depuis 63 son nom a changé école Youcef Lamoudi. Un autre Lamoudi.
                  Ce sont des originaires d'El oued mais connus comme des Bsakra

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                  • #10
                    Bachi

                    Un autre assassiné était aussi de Biskra : Mohamed Khider
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      oui...Khider.
                      y en a d'autres.

                      Très peu sont parvenus au pouvoir.

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                      • #12
                        je sais pas s il était de mlila ou biskra c était un homme
                        bien il est mort pour l algerie
                        Qu'importe d’où il est , el mouhim c'est un Algérien , une référence qui doit rentrer dans le panthéon des grands HOMMES .

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