VIOL DE 260 FEMMES EN 11 MOIS PAR UN MAROCAIN DE BELGIQUE
Record absolu pour un sérial violeur marocain établi en Belgique, dont l’arrestation vient d’être dévoilée dans la presse d’expression flamande du nord de la Belgique, où Fouad K., 36 ans, sévissait pour violer ses victimes et les déposséder de leurs biens. Ce livreur les avait attiré en se servant de célèbres sites de rencontres en se faisant passer pour un coureur cycliste italien dont il n’hésitait pas à publier la photo et le prénom, ni à laisser son numéro de téléphone sur ses annonces, ce qui allait permettre de l’arrêter.
Auparavant il aura abusé de ces 230 femmes en utilisant la même méthode. Une fois leur accord pour un rendez-vous obtenu, la rencontre se déroulait chez elles , mais la plupart du temps sur des parkings, loin des regards. Avant que les femmes ne découvrent le piège, le violeur s’arrangeait pour glisser de l’ecstasy dans les cannettes de boissons gazeuses qu’il leur offrait à leur arrivée avant de les agresser et de voler tout ce qu’elles avaient sur elles* Malgré toutes les plaintes, la police n’a pu identifier et arrêter l’homme que bien tard après son dernier viol.
Les victimes ont toutes reconnues avoir fait preuve de naïveté et de négligence dans leurs mésaventures qu’elles ne sont pas prêtes d’oublier.
actumaroc
Record absolu pour un sérial violeur marocain établi en Belgique, dont l’arrestation vient d’être dévoilée dans la presse d’expression flamande du nord de la Belgique, où Fouad K., 36 ans, sévissait pour violer ses victimes et les déposséder de leurs biens. Ce livreur les avait attiré en se servant de célèbres sites de rencontres en se faisant passer pour un coureur cycliste italien dont il n’hésitait pas à publier la photo et le prénom, ni à laisser son numéro de téléphone sur ses annonces, ce qui allait permettre de l’arrêter.
Auparavant il aura abusé de ces 230 femmes en utilisant la même méthode. Une fois leur accord pour un rendez-vous obtenu, la rencontre se déroulait chez elles , mais la plupart du temps sur des parkings, loin des regards. Avant que les femmes ne découvrent le piège, le violeur s’arrangeait pour glisser de l’ecstasy dans les cannettes de boissons gazeuses qu’il leur offrait à leur arrivée avant de les agresser et de voler tout ce qu’elles avaient sur elles* Malgré toutes les plaintes, la police n’a pu identifier et arrêter l’homme que bien tard après son dernier viol.
Les victimes ont toutes reconnues avoir fait preuve de naïveté et de négligence dans leurs mésaventures qu’elles ne sont pas prêtes d’oublier.
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