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la campagne de vaccination RR crée la polémique

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  • la campagne de vaccination RR crée la polémique

    La campagne de vaccination R-R crée la polémique

    Avant même son lancement ce lundi à travers les établissements scolaires de tout le territoire national, la campagne de vaccination contre la rougeole et la rubéole est au centre d’une polémique créée notamment par les craintes des parents d’élèves quant à la nécessité de cette campagne qui, soulignons-le, n’a pas été soutenue par une campagne d’information au préalable.

    Tout aurait bien pu se passer, n’était l’engagement d’accepter la vaccination, exigé des parents d’élèves comme préalable par les administrations des établissements scolaires. Or, cette demande de l’accord des parents a mis la puce à l’oreille de l’association des consommateurs Apoce qui, tout en s’interrogeant sur ce procédé inhabituel lors des précédentes campagnes, a suggéré aux parents de ne pas s’engager avant d’avoir toutes les données nécessaires.

    Plus explicite encore, le président de l’Apoce, Mustapha Zebdi, a indiqué d’abord que son association qui a réagi suite à la remontée de données de la part de parents d’élèves, qui ont exhibé des documents selon lesquels, il leur est demandé de signer un engagement d’accord pour la vaccination.
    Or, dit-il, “nous avons refusé de cautionner cette procédure parce qu’elle est fausse. Nous avons conseillé aux gens de ne pas s’engager sans avoir assez de données nécessaires, et qu’il y a un formulaire très explicite qui contient des informations nécessaires quant aux effets secondaires, notamment, avant d’accepter ce vaccin”.

    Et de préciser*: “Nous n’avons jamais dit qu’on était contre cette campagne. Mais si le ministère de la Santé a obligé les gens à signer cet engagement, il doit leur donner toutes les informations nécessaires pour faire le bon choix.” M. Zebdi a expliqué que “les formulaires qui demandaient aux parents de répondre s’ils acceptaient ou non de faire vacciner leurs enfants, et que nous avons publiés, ont créé une polémique et une frustration chez les parents d’élèves”.

    De son côté, le ministre de la Santé tente de rassurer, en annonçant qu’il n’a jamais été derrière la délivrance d’un engagement et qu’il s’agit d’initiatives de certains chefs d’établissement qui, sans en référer au ministère, ont adressé ces formulaires aux parents d’élèves.

    Aussi, “maintenant que le ministère se désengage de ce formulaire, en soulignant que ce vaccin est obligatoire, les choses vont changer. Ce qui veut dire que le ministère va prendre ses responsabilités sans l’aval des parents d’élèves”, a conclu notre interlocuteur.

    Notons que le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, qui a été interrogé à son tour, s’est défendu contre le fait que le vaccin en question présente un quelconque danger pour la santé des élèves, en rappelant le retrait du pentavalent suite à de simples soupçons qui entouraient ce vaccin.

    À rappeler qu’une campagne nationale de vaccination contre la rougeole, la rubéole et le syndrome rubéoleux congénital sera lancée en milieu scolaire du 6 au 15 mars 2017. Cette campagne concernera les enfants issus des cycles primaire et moyen fréquentant les établissements publics et privés, soit près de 7 millions d'élèves, et ce, “quel que soit leur statut vaccinal antérieur”.
    libertéalgérie
    AMAR R.

  • #2
    depuis le scandale du RHB de l escrop ZAIBET soutenue par le ministre la confiance a ete rompu et difficile de risquer avec la sante des enfants

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    • #3
      Tout aurait bien pu se passer, n’était l’engagement d’accepter la vaccination, exigé des parents d’élèves comme préalable par les administrations des établissements scolaires.
      Depuis quand exige-t-on une décharge pour administrer un vaccin??? C'est qui le Einstein qui a trouvé cette géniale idée???! Si on avait voulu saboter cette campagne, on aurait pas agit autrement!
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        doublon désolé
        Dernière modification par KHORE, 05 mai 2017, 00h02.

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        • #5
          doublon désolé
          Dernière modification par KHORE, 05 mai 2017, 00h02.

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          • #6
            demander au préalable aux parents de signer un papier peut être légitime.
            Vaut mieux lire ça que être aveugle!
            Quel parent acceptera de signer une décharge qui lui sera opposé si des complications voire la mort venait à se produire!... Ceci déchargera l'Etat de sa responsabilité et permettra aux abruti de dormir tranquille!
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              Pour nous , il convient simplement de situer la responsabilité du prescripteur . Si ce vaccin RR - ou ROR-est obligatoire , hors question d'exiger la signature préalable . Dans le cas de vaccination " conseillée" les parents sont libres de la refuser , sur conseil de leur médecin traitant où d'associations d'utilité publique responsables. Dans le profond respect de tout interlocuteur, sans porter atteinte à toute autorité , dans le seul but de conforter nos connaissances de couvrir la santé de nos enfants et d'aider à développer une industrie nationale auto suffisante.
              Fort en bla bla!!!!
              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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              • #8
                La méfiance des Algériens vient de ce type de réflexion. Quand l'ignorant intervient dans un débat pour remettre en question ce qui a été décidé par une autorité médicale. Moi, je laisse Toulousain plus jeune donner son avis.
                Je n'ai aucun avis a donner. Mais je pense que l'hygiene et l'eau potable sont plus importants que les vaccins dans le cas algerien. Il y a des articles ecrits qui decrivent comment la Grande bretagne est devenue une puissance et c'est grace a l'hygiene et l'eau potable et non pas les maths ou la technologie. Le Japan aussi a atteint le developpement quand il a instaure une hygiene stricte depuis l'ere meiji ou la societe niponne a vu une developpement rapide.

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                • #9
                  Flash Back sur les vaccins du ministère de la santé :
                  L’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) peine à trouver des soumissionnaires pour l’acquisition d’un nouveau vaccin pour nourrissons Pentavalent. Les trois soumissionnaires ayant répondu à l’appel d’offres lancé se sont révélés infructueux. Le ministère de la Santé, révèlent des sources, songerait à abandonner la piste d’un vaccin combiné et revenir définitivement à la formule d’un vaccin à valences séparées introduite dans l’ancien calendrier de vaccination.

                  Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Le directeur de la prévention auprès du ministère de la Santé a affirmé le 15 octobre dernier lors du lancement de la campagne nationale de vaccination que le vaccin Pentavalent sera de nouveau disponible dans un délai de moins de deux mois.
                  Le professeur Mesbah a expliqué que c’est un délai universellement admis en matière de rattrapage, et cela n’affectera ni le calendrier de vaccination ni la vaccination des bébés. Pour accélérer la procédure d’acquisition de ce vaccin administré pour les nourrissons à partir de deux mois, l’Institut Pasteur d’Algérie a recouru à un avis d’appel d’offres restreint.
                  Il y a quelques semaines, l’IPA a annoncé l’attribution provisoire de ce marché au laboratoire indien Serum Institut of India. Sachant que seuls trois fournisseurs ont soumissionné, deux laboratoires d’origine indienne et un laboratoire coréen. Ce dernier a été exclu de fait en raison de la non-commercialisation de son vaccin dans son pays d’origine. Ce que la réglementation algérienne interdit. «Conformément aux dispositions des articles 65, 52 et 82 du décret présidentiel n°15-247 du 16-9-2015 portant réglementation des marchés publics et délégations de service public, l'Institut Pasteur d'Algérie informe l'ensemble des entreprises ayant soumissionné à la consultation n° 01/2016 portant acquisition du vaccin combiné anti-diphtérique, anti-tétanique, anti-coquelucheux à germes entiers et anti-hépatite virale B, anti-haemophilus-influenzae b conjugué (Pentavalent), présentation multidoses, qu'à l'issue de l'évaluation de l'offre reçue, le marché a été attribué provisoirement par l'Institut Pasteur d'Algérie au laboratoire indien Serum Institut of india», indiquait l’avis d’attribution de l’IPA.
                  Or, le vaccin de ce laboratoire a enregistré un nombre de décès dans tous les pays où il a été commercialisé. Ce même laboratoire a même des antécédents judiciaires avec l'Institut Pasteur d'Algérie, indiquent nous sources.
                  «Nous étions clairs avec l’Institut Pasteur en leur signifiant qu’aucun vaccin ayant déjà été sujet à suspicion ne sera retenu pour être commercialisé en Algérie» nous indique-t-on au ministère de la Santé. Précisant que ce produit a été validé seulement par la commission d’évaluation commerciale et n’a pas fait l’objet d’une évaluation technique et sanitaire. Le laboratoire indien n’a donc pas été retenu au final pour commercialiser son produit. Devant l’incapacité de l’Institut Pasteur à trouver un nouveau fournisseur, le ministère de la Santé songe à écarter définitivement la piste de ce vaccin introduit dans le nouveau calendrier de vaccination lancé en avril dernier.
                  «On se dirige vers l’abandon du vaccin Pentavalent combiné (contenant cinq valences protégeant contre la coqueluche, la diphtérie, le tétanos, l’haemophilus influenzae b et de l’hépatite b), pour revenir à l’ancienne formule du vaccin non combiné», nous révèle-t-on. Lancée depuis le mois de juillet dernier, l’enquête sur les raisons étant à l’origine du décès de deux nourrissons après s’être fait vacciner n’a toujours pas rendu publics ses résultats pour incriminer ou innocenter le vaccin Pentavalent. Ce dernier a, depuis, été mis en quarantaine par mesure de précaution.
                  S. A.
                  Le soir d'Algérie
                  La panique des parents est légitime, en face les arguments sont trop peu convaincants.

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