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Algérie : Ali Haddad préconise l'offensive en Afrique et l'adhésion aux accords de libre-échange interafricains

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  • Algérie : Ali Haddad préconise l'offensive en Afrique et l'adhésion aux accords de libre-échange interafricains

    Ali Haddad, président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a appellé lundi à Annaba le gouvernement à "confirmer" la volonté d'investir le marché africain et à adhérer aux accords de libre-échange interafricains existants.


    Ali Haddad a appelé à confirmer la volonté de l’Algérie «d’investir le marché africain ». En dépit du gros couac politico-protocolaire qui a marqué le Forum Africain d’Investissement et d’Affaires, le président du FCE affirme qu’il a été un «succès ». Il a cité à cet effet la conclusion de 28 accords dont «certains sont déjà en voie de concrétisation ».

    Le patron du FCE préconise d’ailleurs une attitude offensive pour «conquérir » l’Afrique en se dotant d’instruments. Le FCE propose ainsi de mettre en place d’un « Comité national pour l’Afrique » sous l’autorité du Premier Ministre, la « création d’une Banque Algéro-Africaine et/ou le développement du réseau d’une banque Algérienne en Afrique ».

    Ali Haddad préconise par une adhésion tous azimuts de « l'Algérie aux accords de coopération et de libres échanges Interafricains existants (ex : COMESA, CEN-SAD, CDAO, etc.). ».



    Réorienter le partenariat public-privé en faveur des nationaux



    Par ailleurs, le chef du patronat a demandé une réorientation du partenariat prive-public en faveur des entreprises privées algériennes. Oui au «patriotisme économique » et la règle de 51/49% mais il faut inverser le partenariat public/privé, actuellement en faveur des étrangers, au profit des nationaux, a-t-il.



    Dans un discours dont le texte a été transmis à la rédaction, il note qu’à l’heure actuelle, « le Partenariat Public/Privé se réalise, essentiellement, entre le secteur public et des entreprises étrangères » et réclame que la tendance soit inversée.



    Le FCE plaide pour que « ce soient les entreprises nationales qui tirent profit du Partenariat Public/Privé. Ali Haddad a appelé par ailleurs à une « réforme profonde de l’administration ».



    « L’administration économique doit se recentrer sur ses missions de contrôle et de régulation » et déployer ses « efforts dans le soutien et l’encouragement de l’investissement et l’amélioration du climat des affaires. ».



    Le chef du patronat peut se prévaloir à cet effet du soutien du patron du syndicat UGTA, Abdelmadjid Sidi Said qui a appelé à «défonctionnariser » l’économie.


    Maghreb émergent

  • #2
    puffff

    Commentaire


    • #3
      Toute une immobilité gouvernementale! Bouteflika et son staff sont trop lents par rapport aux hommes d'affaires et aux exigences du moment. Rebrab n'a même pas daigné s'attendre un quoi que ce soit de l'Establishment, Haddad & co et tous les autres devraient faire de même.

      I3malou fassayara allahou a3malakoum.
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

      Commentaire

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