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Législatives : la candidature du député « M. Spécifique » rejetée par la wilaya
Législatives : la candidature du député « M. Spécifique » rejetée par la wilaya de Médéa !
Le dossier de candidature aux prochaines législatives du 4 mai de Tahar Missoum, plus connu sous le nom de M. Spécifique, a été rejeté ce jeudi 9 mars par la wilaya de Medea, a-t-on appris de l’intéressé. « Ils ont rejeté mon dossier à cause d’une condamnation par contumace à des amendes dans le cadre d’une affaire liée à l’usine de production de lait située à K’sar El Boukhari que je gérais », explique Tahar Missoum.
« Normalement, cette condamnation concerne l’entreprise. Elle ne doit pas figurer sur mon casier judiciaire. Dans la loi électorale adoptée en 2016, il est stipulé que le candidat ne doit pas faire l’objet d’une condamnation définitive et privative de libertés. Dans mon cas, il s’agit d’amendes et pas d’une peine de prison », précise notre interlocuteur qui compte déposer un recours au niveau du tribunal administratif.
Spécifique s’est fait connaître ces deux dernières années à travers ses interventions contre des membres du gouvernement dans l’hémicycle. En juin 2016, l’élu a été interdit de parole à l’APN durant six séances pour avoir attaqué plusieurs hauts responsables dont le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb.
C’était lors d’un débat sur le nouveau Code de l’investissement. Tahar Missoum avait parlé « d’enfants de harkis ». « Le chahid Zighout Youcef a dit que l’indépendance viendra sans nul doute mais j’espère tomber au champ d’honneur avant. Vous savez pourquoi il a dit ça ? », avait-il lancé à Abdeslam Bouchouareb avant d’ajouter : « Voilà que les enfants de harkis commencent à nous gouverner ! ».
TSA
Le dossier de candidature aux prochaines législatives du 4 mai de Tahar Missoum, plus connu sous le nom de M. Spécifique, a été rejeté ce jeudi 9 mars par la wilaya de Medea, a-t-on appris de l’intéressé. « Ils ont rejeté mon dossier à cause d’une condamnation par contumace à des amendes dans le cadre d’une affaire liée à l’usine de production de lait située à K’sar El Boukhari que je gérais », explique Tahar Missoum.
« Normalement, cette condamnation concerne l’entreprise. Elle ne doit pas figurer sur mon casier judiciaire. Dans la loi électorale adoptée en 2016, il est stipulé que le candidat ne doit pas faire l’objet d’une condamnation définitive et privative de libertés. Dans mon cas, il s’agit d’amendes et pas d’une peine de prison », précise notre interlocuteur qui compte déposer un recours au niveau du tribunal administratif.
Spécifique s’est fait connaître ces deux dernières années à travers ses interventions contre des membres du gouvernement dans l’hémicycle. En juin 2016, l’élu a été interdit de parole à l’APN durant six séances pour avoir attaqué plusieurs hauts responsables dont le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb.
C’était lors d’un débat sur le nouveau Code de l’investissement. Tahar Missoum avait parlé « d’enfants de harkis ». « Le chahid Zighout Youcef a dit que l’indépendance viendra sans nul doute mais j’espère tomber au champ d’honneur avant. Vous savez pourquoi il a dit ça ? », avait-il lancé à Abdeslam Bouchouareb avant d’ajouter : « Voilà que les enfants de harkis commencent à nous gouverner ! ».
TSA
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