Nordine Aït-Hamouda ne veut pas rester en retrait de ce qui, à le croire, pourrait constituer «un moment charnière mais sans être encore un tournant décisif» de la vie politique du pays, lui qui a décidé de représenter «Alternative citoyenne», une liste libre de candidats à la course à la députation.
Face à la presse, hier à Tizi-Ouzou, le leader de Alternative citoyenne a clairement fait comprendre qu’il n’entend en aucun cas se substituer aux partis classiques, il a seulement pris la résolution de participer à mobiliser les citoyens parce que, tout simplement, cela vaut plus qu’à mobiliser les militants d’un parti.
Dans sa profession de foi présentée en guise de déclaration liminaire, puis lors du jeu des questions-réponses avec les journalistes, l’ex-cadre du Rassemblement pour la culture et la démocratie assure qu’il ne focalise pas sur les partis ou sur la carte politique locale, même s’il est d’accord pour dire que celle-ci est sujette à tous les bouleversements en Kabylie. «Notre liste portera le message de la deuxième République, l’antidote à l’éclatement de l’Etat-nation pour lequel des centaines de milliers de vies se sont sacrifiées.
La Kabylie ne peut être mise à l’index pour ses idées novatrices et généreuses. Bien au contraire ! Elle a conjugué avec fierté le patriotisme, elle a porté dans la douleur l’idée démocratique, elle est prête à fédérer les Algériens autour de l’idée d’une refondation nationale qui mettra fin à l’Etat jacobin hérité du colonialisme», a énoncé le fils du colonel Amirouche pour expliquer le fondement, l’idée directrice, de ce nouvel engagement, pour ne pas dire un retour, au-devant de la vie politique si tant qu’il ait jamais décroché.
Pour signer son retour, donc, Nordine Aït-Hamouda a choisi de militer avec un personnel non partisan parce que «en plus des ratés de la démarche classique, le système de délégation via les partis est peu à peu réévalué à la baisse dans le monde entier (…) le citoyen acteur est au centre du combat démocratique, nous voulons l’incarner avec la force de la conviction», argue-t-il pour faire comprendre son engagement extra-partisan, et ce, bien qu’il soit convaincu que «le changement ne viendra pas des institutions» ou encore «aucune élection n’apportera de solution à la crise algérienne».
Lui, enfant de la guerre et fils d’un héros de la guerre de Libération, appartient à la génération qui a incarné le combat pour les droits de l’Homme, le combat identitaire et la démocratie, puise ses convictions du «souffle de Novembre et de la Soummam» et s’en inspirer pour «ouvrir les perspectives au futur pour un avenir meilleur». Ainsi, même s’il s’est voulu extrêmement mesuré dans ses propos, Nordine Aït-Hamouda entend bien (re)trouver sa place dans la nouvelle configuration de la carte politique en Kabylie que les tout prochains mois promettent.
Alghérie360
Face à la presse, hier à Tizi-Ouzou, le leader de Alternative citoyenne a clairement fait comprendre qu’il n’entend en aucun cas se substituer aux partis classiques, il a seulement pris la résolution de participer à mobiliser les citoyens parce que, tout simplement, cela vaut plus qu’à mobiliser les militants d’un parti.
Dans sa profession de foi présentée en guise de déclaration liminaire, puis lors du jeu des questions-réponses avec les journalistes, l’ex-cadre du Rassemblement pour la culture et la démocratie assure qu’il ne focalise pas sur les partis ou sur la carte politique locale, même s’il est d’accord pour dire que celle-ci est sujette à tous les bouleversements en Kabylie. «Notre liste portera le message de la deuxième République, l’antidote à l’éclatement de l’Etat-nation pour lequel des centaines de milliers de vies se sont sacrifiées.
La Kabylie ne peut être mise à l’index pour ses idées novatrices et généreuses. Bien au contraire ! Elle a conjugué avec fierté le patriotisme, elle a porté dans la douleur l’idée démocratique, elle est prête à fédérer les Algériens autour de l’idée d’une refondation nationale qui mettra fin à l’Etat jacobin hérité du colonialisme», a énoncé le fils du colonel Amirouche pour expliquer le fondement, l’idée directrice, de ce nouvel engagement, pour ne pas dire un retour, au-devant de la vie politique si tant qu’il ait jamais décroché.
Pour signer son retour, donc, Nordine Aït-Hamouda a choisi de militer avec un personnel non partisan parce que «en plus des ratés de la démarche classique, le système de délégation via les partis est peu à peu réévalué à la baisse dans le monde entier (…) le citoyen acteur est au centre du combat démocratique, nous voulons l’incarner avec la force de la conviction», argue-t-il pour faire comprendre son engagement extra-partisan, et ce, bien qu’il soit convaincu que «le changement ne viendra pas des institutions» ou encore «aucune élection n’apportera de solution à la crise algérienne».
Lui, enfant de la guerre et fils d’un héros de la guerre de Libération, appartient à la génération qui a incarné le combat pour les droits de l’Homme, le combat identitaire et la démocratie, puise ses convictions du «souffle de Novembre et de la Soummam» et s’en inspirer pour «ouvrir les perspectives au futur pour un avenir meilleur». Ainsi, même s’il s’est voulu extrêmement mesuré dans ses propos, Nordine Aït-Hamouda entend bien (re)trouver sa place dans la nouvelle configuration de la carte politique en Kabylie que les tout prochains mois promettent.
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