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Burn-out, à qui le tour ?

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    Burn-out, à qui le tour ?

    Le burn-out ou épuisement professionnel touche désormais tous les métiers et toutes les fonctions. La faute à un monde qui semble devenu fou. Selon une étude publiée en 2016 par Promotion Santé Suisse, un actif sur quatre est stressé au travail et se sent épuisé. Le stress coûterait déjà aux entreprises plus de 6 milliards de francs par an. Pour Temps Présent, quatre Romands venus d'horizons différents ont accepté de témoigner, pour éviter à d'autres de se brûler les ailes.

    Le burn-out ou épuisement professionnel touche désormais tous les métiers et toutes les fonctions. La faute à un monde qui semble devenu fou. Selon une étude publiée en 2016 par Promotion Santé Suisse, un actif sur quatre est stressé au travail et se sent épuisé. Le stress coûterait déjà aux entreprises plus de 6 milliards de francs par an. Pour Temps Présent, quatre Romands venus d'horizons différents ont accepté de témoigner, pour éviter à d'autres de se brûler les ailes.

    Un reportage de la télévision Suisse romande
    https://www.rts.ch/play/tv/temps-pre...ur-?id=8468392
    Dernière modification par mohoo, 19 mars 2017, 08h35.

  • #2
    "La faute à un monde qui semble devenu fou"

    oui


    seul le manque d'amour fabrique génère les instabilités et la smooth migration vers l'irrationnel une fois dedans les personnes deviennent irresponsables et on ne peut plus leur en vouloir

    il y a toujours eu ça et ce n'est pas nouveau

    Alex Haley dans racines les serfs des propriétaires terriens et plein de lecture pourraient aider sinon

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    • #3
      J'ai déjà donné !
      je suis à mi temps maintenant et je ne veux plus qu'on me stresse
      La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie.

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      • #4
        Je suis au bord moi !

        J'ai pris un congé de 2 jours et le truc c'est que le site que je gère a fait pdt ces deux jours un trafic désastreux en cause mon cher collègue n'a pas daigné bosser , donc ce qui renforce mon stresse en gros si je ne suis pas la le bateau coule
        Ah ya dini !!!!

        Akker atswalidh , nadhi adawidh , aqim oulech .

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        • #5
          J'avais changé de postes il y a quelques temps pour lever le pieds. C'était très fonctionnel, pilotage, réunion...c'était bien mais je m'ennuyais souvent, je me sentais sans importance, j'étais devenu lent, ...etc

          Là j'ai plus de stresse opérationnel, plusieurs décisions à prendre, ça rend éléctrique, et j'aime bien

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          • #6
            Stress
            Je ne connais pas vraiment
            Surtout depuis que je n'ai plus les trajets quotidiens
            J'ai pris quelques mauvaises décisions
            Qui ont failli me mettre les nerfs
            Mais c'est réglé
            La grande quantité de travail
            J'apprécie
            Bouger aussi

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            • #7
              Nessie bonjour,

              Oui le transport amplifie le pétage de plomb. Tu as l'impression d'avoir une VDM.

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              • #8
                Kadim


                Je t'explique
                Quand j'habitais à Paris
                Je bossais au fin fond du 77
                Donc je pars bosser dans une succursale
                Et je déménage en France profonde
                Nickel
                Mais je démissionne pour une raison perso
                Et on me supplie
                De revenir
                Mais au siège à Paris
                Et résultat
                J'ai un trajet 2 fois plus long
                Cherche l'erreur
                J'ai opté pour travailler chez moi
                Je ne retourne pas vivre à Paris

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                • #9
                  Le burn out, stress sont des termes qu'on ne connaissait pas du tout il y a 15 ou 20 ans.

                  Ce sont des phénomènes psychiques nés avant tout de la course effrénée aux biens matériels où ils faut posséder, briller, s'endetter voire se surendetter pour en mettre plein la vue, sans même s'apercevoir qu'on ne sait plus distinguer l'essentiel de l'accessoire.

                  Et c'est seulement quand on perd le premier qu'on se rend compte de la futilité du second.
                  Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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