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La pénurie de médicaments c’est sérieux et il y a urgence (Belambri-SNAPO)

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  • La pénurie de médicaments c’est sérieux et il y a urgence (Belambri-SNAPO)

    L’indisponibilité d’un nombre important de médicaments en Algérie que le ministère de la santé conteste en dépit des constats faits auprès des pharmaciens a été, une fois de plus, confirmée par le président du Syndicat national des pharmaciens d’officines (Snapo), M. Messaoud Belambri.

    En marge de la 10ème journée nationale pharmaceutique, Belambri n’y est pas allé par quatre chemins pour redire que la pénurie de médicaments existe bel et et qu’elle touche également des médicaments fabriqués en Algérie.

    Belamri a souligné que le Snapo a assumé pleine sa fonction de veille et a confirmé le constat général – que seul apparemment le ministère de la santé ignore – d’une indisponibilité d’un grand nombre de médicaments. Près de 140 dont 40 produits en Algérie.

    Dans des déclarations rapportées par le Quotidien d’Oran, Belambri souligne que les produits locaux sont également touchés. Les antibiotiques injectables ne sont pas disponibles alors qu’ils sont produits par des opérateurs en Algérie comme Sophal, Biocare, Saidal.

    Le président de SNAPO qui souligne que son syndicat ne « cherche pas à polémiquer » a indiqué que le constat de terrain fait auprès des pharmaciens d’office indique que 140 médicaments sont actuellement non disponibles que ce soit au niveau des officies ou des fournisseurs et des grossistes.

    Antidouleur non, lotions nasales oui…

    Avec à la clé une aberration qui veut qu’un antidouleur pour cancéreux, le Cytrotex n’est pas disponibles alors que des médicaments non-essentiels comme des « lotions nasales d’origine marine » le sont.

    Constat corroboré également par la Dr S. Habbaq du Centre Pierre et Marie Curie d’Alger qui confirme, selon les propos rapportés par le Quotidien d’Oran, la rupture de médicaments antidouleur pour les cancéreux et l’absence de dérivés de morphine à libération directe. La Dr S.Habbaq a souligné par ailleurs les morphines ne sont disponibles qu’à Alger, ce qui laisse les cancéreux non algérois à leurs douleurs.

    Selon des chiffres rendus publics le 4 février dernier par la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH) à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le cancer, 480.000 Algériens sont malades du cancer, deuxième cause de mortalité après les maladies cardiovasculaires. La LADDH a affirmé que plus de 12.000 malades meurent chaque année faute de prise en charge adéquate.

    Risque d’aggravation

    Messaoud Belambri n’écarte pas une aggravation de la situation dans les prochains mois en relevant que les programmes d’importations signés traditionnellement entre septembre et novembre n’auraient été signés qu’entre janvier et mars. Avec un délai de deux à trois mois entre la commande et la livraison, la situation risque de se compliquer.

    Pour certains opérateurs qui rappellent qu’il faut passer par un bon de commande délivré par la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), il faut compter entre 5 et 7 mois. « A ce rythme, même s’il y a eu des stocks de sécurité à tous les niveaux, ils s’épuiseront rapidement ».

    Il y a urgence, selon lui, car « si les programmes signés actuellement ne bénéficient pas d’une procédure spéciale d’urgence et d’accélération, il faut s’attendre à des complications et à une sévère pénurie de médicaments essentiels dans les prochains mois » a indiqué Belambri.
    Maghrebemergent

  • #2
    Oui, la pénurie de médicaments est déjà là. Elle risque de s'accentuer dans les semaines et mois qui viennent. Pour prendre une exemple personnel, il y a un mois environ, je n'ai pas pu trouver dans des pharmacies d'Alger deux médicaments pour le traitement de l'anémie. Je n'ai pu en trouver difficilement que par des voies inhabituelles: un pharmacien qui m'a offert des échantillons et un ami de la famille qui m'en a trouvé je ne sais comment.
    Les politiciens algériens ont depuis toujours nié l'évidence ("maâza wa law taaret"); à présent, ça fait partie de leur ADN politique. Voilà une maladie mentale contre laquelle il n'y a pas de médicament. Donc, aucun risque de pénurie.

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    • #3
      deux médicaments pour le traitement de l'anémie

      Pout apprécier l'importance de tes médicaments contre l'anémie cite nous les noms et précise nous quel est tin taux d'hémoglobine.

      Peut être qu'en voyant la nomenclature algérienne nos jeunes toubibs du Forum pourront t'aider en te citant leurs équivalents. A moins que tu ne sois à la recherche de la simple vitamine B12 ou de l'EPO.

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      • #4
        SURTOUT ne pas oublier un paramètres plus qu'important:

        les barons de l'import/import du médicaments qui sont prêt à tous pour se faire entendre, quitte à créer la pénurie dans tous le pays.

        on est dans un pays ou la MAFIA de l'importateurs et leurs LOBBYs étrangers sont plus puissant que l'état algérien.

        Voyez juste ce qui est arrivé à l'ex-ministre du commerce BELAID allah yerrahmou. après quelques mois où il s'est dressé contre eux, ils ont eu raison de lui. Il vient de juste de décéder de cancer.

        ce mafia de l'import s'en fout que le peuple meure, ou que le CHAOS règne !

        l'important est qu'ils veulent leur part du gateau !
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

        Commentaire


        • #5
          doublon a supprimer

          merci
          Dernière modification par KHORE, 19 mars 2017, 16h04.

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          • #6
            antidouleur pour cancéreux, le Cytrotex n’est pas disponibles
            Monsieur BELAMRI pharmacien suit en commerçant les stocks de médicaments disponibles chez le grossistes qui agissent comme tous les autres, qu'ils le soient en sucre, semoule ou maquignons à la veille de la fête du mouton.

            Le cytrotex est une générique du methotrexate qui n'est pas un anti douleur mais un traitement de fond de certains cancers. Sa pénurie ne s'explique que pour la modicité de son prix face à d'autres molécules plus récentes qui coutent mille fois plus . Les importateurs n'en veulent plus sur le marché. Le rôle de SANOFI Algérie mérite d'être précisé. Sa maison mère qui détient le brevet du méthotréxate princeps peut être le fournisseur de la matière en vrac qui est mise en boite par le "labo' " algérien .

            Morphiniques à libération rapide ? Pas un drame. Le malade mis sous morphinique retard ne bénéficiera du plein effet qu'ai bout de quelques heures, mais une fois l'analgésie obtenue , il suffit de poursuivre sans interrompre.

            Antibiotiques injectables ? Leur usage en médecine de ville est très limité et ordonné par ceux qui veulent sublimer leur prescription . La piqûre est toujours sensée être miraculeuse. L'antibio injectable doit être réservé aux milieux hospitaliers , en perfusion ou sous seringue automatique.

            C'est souligner que le Ministre de la Santé en assurant qu'il n' y'a pas de pénurie peut être dans le vrai substitutionnel et que la presse avant d'alarmer les malades devraient demander l'avis des spécialistes et nous donner la liste exhaustive des absents.

            Commentaire


            • #7
              les barons de l'import/import du médicaments qui sont prêt à tous pour se faire entendre, quitte à créer la pénurie dans tous le pay
              Quand on sait que le marché du médicament ,sans tenir compte du matériel lourd hospitalier varie chaque année entre 2,5 et 3 milliards de dollars l'année , nous devinons l'importance des enjeux et le rôle des pharmaciens d'officine qui bien qu'en fin de chaînes se soucient plus de leur tiroir caisse de la santé des Algériens.

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              • #8
                Messaoud BELAMBRI pour le numérus clausus en pharmacie

                Surfant sur le net je n'ai pas trouvé trace de la liste de médicaments , mais appris que le Syndicat National des Pharmaciens d'Officine organisait prochainement des journées consacrées au médicament . Parmi les invités conférenciers toujours le représentant de l'ancienne métropole et cette fois un membre du Conseil de l'Ordre des Pharmaciens. Il doit parler du rôle du pharmacien assistant , dont le statut est en attente de discussion à l'APN. Une montée en force des néo colonisateurs de l'Algérie. Les pharmaciens enrichis par la Révolution veulent à l'égard des égoïstes français créer des postes d'employés pour les enfants du peuple qui n'ont pas bénéficié de leur antériorité ou de l'aisance de leur famille.

                Poussant plus loin l'égoïsme, notre homme veut instaurer un numérus clausus à l'admission des facultés de pharmacie. Une pratique digne des pays ou l'argent est roi et les multinationales puissantes.

                La pharmacie est un commerce et comme tel appelé à se réguler en fonction de l'offre et de la demande. Un grand nombre de saidali , ce sont des privés qui sont obligés d'accepter des marges plus raisonnables et de soulager la caisse de solidarité, alors que leur surnombre obligé de s'orienter vers une spécialisation .L'orientation vers les hôpitaux publics ou la l'intégration de laboratoire pour stimuler la production nationale. En attendant que la réalité dégage une situation stable de la profession de pharmacie dans l'Algérie des hommes de novembre.

                ci joint l'interview donné par le Pharmacien à El Watan

                La politique du médicament a fait l’objet, hier, d’une journée d’étude organisée par le Syndicat national des pharmaciens d’officine (Snapo) en présence de Salima Cherif, conseillère chargée de la santé et de la solidarité auprès du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, des cadres du ministère du Travail, de l’Emploi, de la Sécurité sociale et des représentants des différentes caisses de Sécurité sociale (CNAS et Casnos).


                Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a, quant à lui, brillé par son absence. Un fait relevé par de nombreux participants à cette journée nationale du Snapo.

                Une liste de 140 médicaments est actuellement en rupture dans les officines, dont 40 sont fabriqués localement. Une rupture que le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière veut à tout prix minimiser. «Cette rupture touche des produits fabriqués localement comme les antibiotiques injectables et autres produits tels que la vitamine B12 fabriquée par Saidal.

                Il y a aussi les médicaments importés de première nécessité comme certains antidouleurs prescrits pour les cancéreux», a indiqué Messaoud Belambri, président du Syndicat national des pharmaciens d’officines (Snapo), lors de la journée nationale du Snapo, organisée hier à Alger, sous le thème «Le pharmacien et la politique du médicament», en précisant que la liste était déjà plus longue, il y a quelques semaines et de rappeler que le Snapo a joué son rôle de veille sanitaire. «Nous avons confirmé le constat fait par tout le monde et nous estimons avoir joué notre rôle.

                C’est une réalité que nous vivons et que ne nous pouvons pas nier. Le pharmacien se retrouve aujourd’hui face à des patients que nous n’arrivons pas toujours à satisfaire», a-t-il souligné, tout en craignant une rupture plus accrue dans les prochains mois, vu le retard enregistré dans la signature des programmes à l’importation par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. «Les stocks ont dû être épuisés puisque, selon les représentants de l’Unop, aucun avenant n’a été signé pour l’année 2016.

                A cela s’ajoute le retard dans la validation des programmes à l’importation. Il y a donc un double impact sur la disponibilité des médicaments, dont certains sont pratiquement inexistants dans certaines pharmacies.

                Des procédures d’urgence doivent être engagées pour éviter des situations plus dramatiques», a-t-il averti. Ainsi, le pharmacien, a-t-il précisé se retrouve comme acteur principal dans la problématique de la disponibilité du médicament, car il fait face tous les jours à des patients qui ont besoin de leurs produits, qui sont parfois vitaux.

                La journée s’est articulée donc autour du rôle du pharmacien dans la dispensation du médicament, notamment pour les produits d’oncologie et l’accompagnement du patient atteint du cancer. Comme il a été question aussi de la participation du Snapo au conseil consultatif de l’Agence nationale des produits pharmaceutiques qui vient tout juste d’être installée.

                L’introduction du pharmacien assistant, élément important dans l’officine a été également évoquée avec la présentation de l’expérience française en la matière. Un aspect introduit dans le nouveau projet de loi sur la santé en attente d’être examiné au niveau de l’APN, a souligné M. Belambri qui, par ailleurs, précise que le pharmacien contribue de manière continue à la politique engagée par le gouvernement dans l’industrie pharmaceutique, et qui porte principalement sur l’encouragement de la production nationale, la rationalisation des dépenses à travers la création de groupements de pharmacie, la distribution, etc.

                «La réflexion est également engagée dans la création d’unités de production à petite échelle», a-t-il ajouté, tout en revenant sur l’importance de la spécialisation des pharmaciens d’autant que le nombre de pharmaciens est actuellement en hausse. «Nous n’avons jamais limité l’accès à cette formation en fonction des besoins réels, d’où la problématique rencontrée aujourd’hui», a-t-il relevé, tout en insistant sur le principe du numerus clausus. «Actuellement, il y a un pharmacien pour 3000 habitants, alors que les normes fixées par l’Oms c’est un pharmacien pour 5000 habitants», a-t-il déploré.

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                • #9
                  khore
                  Poussant plus loin l'égoïsme, notre homme veut instaurer un numérus clausus à l'admission des facultés de pharmacie. Une pratique digne des pays ou l'argent est roi et les multinationales puissantes.
                  pourquoi pense tu qu'un numerus clausus à l'admission aux facultés de pharmacie, est un problème ??

                  de part le monde, la même chose est appliquée. non ?
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #10
                    doublon désolé
                    Dernière modification par KHORE, 05 mai 2017, 00h17.

                    Commentaire


                    • #11
                      pourquoi pense tu qu'un numerus clausus à l'admission aux facultés de pharmacie, est un problème ??

                      de part le monde, la même chose est appliquée. non ?
                      Le numérus clausus au sens propre s'est instauré essentiellement sur la volonté des primo installés de ne pas perdre leur clientèle au profit de jeunes confrères. Ces médecins aidés par un puissant lobby, celui des patrons parisiens et du Conseil de l'Ordre , aidés par l'administration usa de différents stratagèmes .

                      Au départ furent évoqués les locaux exigus des facultés et le nombre réduit des stages hospitaliers .A la base on limita le nombre d'étudiants admis au passage de seconde année . Ensuite il fut jugé que le déficit social était du à la trop grande consommation médicale. Il fut décidé de réduire le nombre de médecins en exercice . C'est au sommet qu'on s'attaqua . Les séniors installés furent encouragés à prendre une retraite confortable anticipée ,avec primes conséquentes. Le déficit médical réel qui ne correspond pas à la volonté des lobby vit les fac de médecine assaillies par les étudiants . La sélection devint sévère sur des critères qui ne tiennent aucunement compte des capacités humaines pour être de bons toubibs . Un bachotage dingue avec les matheux favorisés et des prépa parallèles très onéreuses que ne se paient que les enfants issus des milieux riches .

                      En résumé, le numérus clausus médical a tout faux. La preuve est le désert médical qui s'est installé en France , avec pour certaines spécialités des attentes de plusieurs mois, alors que c'est installée une médecine à double vitesse . Les riches qui se font soigner en cliniques privées ou dans les hôpitaux par des praticiens aux horaires libres , sans d'attente et une médecine pour le petit peuple pris en charge dans des hôpitaux souvent par des médecins d'origine étrangère sous payés et en ville par les médecins conventionnés, ceux qui pris en fin de listes des concours sont considérés comme les derniers de la classe,les bobologues juste bons à diriger vers les spécialités leurs patients.
                      En médecine,pour réduire les remboursements injustifiés de la caisse,

                      Ce numérus clausus les pharmaciens l'appliquent une première fois pour la sélection de base . En fin de course , les facultés formant un nombre de pharmaciens jugés trop important, l'ordre reprend le numérus clausus sous une autre forme . Le pharmacien, par définition commerçant aisé, pour maintenir son train de vie doit bénéficier d'un parc de clients minimum. L'installation dépendra du nombre d'habitants et d'un second critère social qui écarte les praticiens issus de classe peu aisée, être propriétaire des murs. Nous en venons là à ce que le SNAPO veut introduire en Algérie sur les Conseils de l'Ordre des Pharmaciens français. Le pharmacien "assistant" Un exercice constable à plus d'un titre même s'il arrange les moins riche . Le pharmacien privé est un libéral qui travaille pour son compte . Il ne peut être salarie d'une pharmacie appartenant à un super marché ni à celle d'un confrère. Admis en France , il l'est dans un statut honorable . Au delà d'un chiffre d'affaire, le pharmacien est tenu d'engager un confrère pour partager les bénéfices .

                      Pour illustrer, j'invoque la situation de l'Algérie socialiste abandonnée par les pharmaciens pieds noirs . Les officines étaient entre les mains d'anciens employés des pieds noirs," préparateurs" ou petit courriers . Le service rendu est le même que l'actuel . Avec moins de prétentions médicales .

                      Pour conclure , j'insiste sur ce paradoxe qui a vu Monsieur Lambri se prononcer sur le manque de médicaments . Je parle du Conseil Médical de Déontologie National. Actuellement contre la volonté de la majorité des praticiens, les janviéristes ont imposé une organisation qui comprend à la fois médecins, pharmaciens et dentistes.Avec une présidence assurée par une rotation des issus des trois disciplines . Selon le code, l'Ordre est une institution au service de la santé algérienne en collaboration des autorités publiques dans le respect de son Ministre de la Santé seule autorité médicale , représentant d'un domaine défini par le politique.

                      Les différents élus qui ont remplacé ceux de l'UMA confondent ordre et syndicat Le premier médecin , aimait les interviews où il contestait les déclarations de son Ministre de Tutelle et son successeur un pharmacien, Monsieur LAMBRI reprend la suite , plus en représentant d'une association de commerçants qu'en représentant de la médecine algérienne. C'est comme si un de préparateurs de des anciennes PCA était devenu Président du Conseil National de Déontologie Médicale.

                      C'est pour ces différentes raisons , que le Docteur Mohammed Seghir NEKKACHE premier Ministre de l'Algérie indépendante avait supprimé les trois ordre de l'ère coloniale . Médical, dentaire et pharmaceutique . A l'époque seul les toubibs étaient qualifiés de médecins et invités par le ministre pouvait donner leur avis sur la médecine , les dentistes était des para médicaux au même titre que les sages femmes ou les infirmiers , alors que les pharmaciens étaient des commerçants .

                      Pour la sélection dans les autres pays, l'Algérienne connue, je joint un ciel article du Figaro.

                      http://etudiant.lefigaro.fr/les-news...itoyable-5428/
                      Dernière modification par KHORE, 20 mars 2017, 11h34.

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                      • #12
                        Merci pour le topo Khore ! une vraie bouillabaisse !

                        il n'y a pas de PACE en Algérie. contrairement à la france où tout détenteur d'un Bac (quelque soit saz moyenne) peut s'y inscrire.

                        L'entrée en école de médecine ou de pharmacie, ne se fait que sur la base de la moyenne au bac.
                        Et donc, cette année il n'y a que les meilleurs des meilleurs qui ont pu s'inscrire en médecine et en pharmacie (16 de moyenne si je ne me trompe pas ...)

                        il est vrai qu'en Algérie, la pharmacie est devenue plus un commerce qu'autre chose. c'est un fait. il n'y a plus de préparateur comme on le faisait jadis. le rôle du pharmacien n'est vraiment plus ce qu'il était.

                        néanmoins, je pense qu'un vrai numérus clausus doit obligatoirement exister. Impossible de naviguer à vue, et de former des pharmaciens/médecins/... juste pour former. non !

                        nos écoles de médecines/pharmacie en algérie croulent sous le nombre astronomique d'étudiants. De plus, c'est la qualité qui doit compter, et non pas la quantité !

                        Un vrai numérus clausus doit tenir compte de nos capacités en terme de formation et postes et de nos besoins en terme de santé pour notre pays à court, moyen et long terme. Et aucunement des interets corporatistes, des interets privés, économiques ou politiques de certains.

                        la principale question à se poser est :

                        quelle structure sera apte à établir et ajuster chaque année, ce vrai numérus clausus pour nos formations médicales/paramédicales/pharmacie en Algérie ???

                        les médecins/pharmaciens en exercice auront toujours un partie pris évidents. Les politiciens aussi.

                        comment faire alors ?
                        Dernière modification par Pomaria, 20 mars 2017, 12h36.
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                        Commentaire


                        • #13
                          doublon désolé
                          Dernière modification par KHORE, 05 mai 2017, 00h17.

                          Commentaire


                          • #14
                            khore
                            Pour l’Algérie, pour la médecine je suis pour une propédeutique de deux ans ouverte à tous les étudiants, et non sur la note du bac.
                            non !

                            à défaut d'avoir d'autres filières qui offrent de vrais débouchés aux algériens, le nombre de bacheliers algériens qui voudront faire médecine et pharmacie est juste ENORMISSIME ! il n'y a qu'à voir le nombre de bacheliers avec 14,5 de moyenne qui refont leur bac, pour prétendre s'inscrire en médecine. si tu vis en algérie, tu dois le savoir çà !

                            j'en connais même un propriétaire de clinique chirurgicale qui a fait les pieds et les mains au ministère pour que son fil ayant eu une moyenne moindre que le seuil réquis (il a eu dans les 14 à 15 de moyenne je crois), à pouvoir s'incrire en médecine, et assurer sa rélève de la clinique dans le futur.
                            Mais, il n'a pas pu malgrè ses interventions au ministère.

                            donc, on ne peut laisser la porte ouverte à tous. car çà sera 250.000 candidats inscrit à ton fameux PACE algérien. Non ! la solution française est impossible à appliquer et ingérable en algérie !

                            d'ailleurs, je n'en vois absolument pas l'intéret, encore moins si tu veux parler d'équité. La barrière de la moyenne au bac est en soit bien plus équitable, que d'avoir des benis flen qui réussisent à s'y inscrire, alors qu'il n'ont moyenne, ni rien dans leur cervelle.
                            Dernière modification par Pomaria, 21 mars 2017, 21h12.
                            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                            Commentaire


                            • #15
                              doublon désolé
                              Dernière modification par KHORE, 05 mai 2017, 00h17.

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