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Premier voyage aux Etats-Unis en forme de flop diplomatique pour le leader du Polisario .

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  • Premier voyage aux Etats-Unis en forme de flop diplomatique pour le leader du Polisario .

    Contrairement à ce qui a été avancé par des médias du Polisario, Brahim Ghali n’a pas pu rencontrer le président du Conseil de sécurité, le Britannique Matthew Rycroft. Un nouvel échec qui s’ajoute à ceux enregistrés à l’ONU, au Département d’Etat et au Congrès. Explications.

    .Une semaine après l’arrivé de Brahim Ghali aux Etats-Unis, le bilan de cette visite outre-Atlantique reste mitigé. A l’exception de ses entretiens vendredi soir à New York avec le secrétaire général des Nations unies, le chef du Polisario peine à meubler le vide de son agenda.
    A défaut de véritables réunions avec des décideurs politiques, la machine de communication du Front a eu recours à l’invention. Ses médias ont ainsi avancé, à l’unisson, que Ghali aurait pris langue avec le président du Conseil de sécurité ce mois-ci, le Britannique Matthew Rycroft. «C'est complètement faux. Jusqu’à présent, la rencontre n’a pas eu lieu. La fausse information a été effectivement relayée par des sites d’actualité sans la traditionnelle photo officielle», rétorque une source contactée

    Pas de réunions ni au Congrès, ni au département d’Etat

    Plus prudente, «l’agence officielle de presse du Polisario a évité de mentionner la réunion avec l’ambassadeur de la Grande-Bretagne. Elle a seulement annoncé, lundi 20 mars, l’imminence de l’entrevue mais sans revenir sur le sujet», explique-t-elle. Par ailleurs, le compte Twitter de l’ambassadeur britannique ne mentionne aucune rencontre avec Brahim Ghali.
    Autre preuve de l’échec qui guette la visite du Polisarien aux Etats-Unis : «A Washington, Brahim Ghali n’a pu arracher de rendez-vous avec un représentant du département d’Etat», ajoute notre interlocuteur.

    Même constat au Congrès, et ce sept jours après son arrivée. Le mouvement séparatiste compte pourtant un relais dans les deux Chambres du parlement américain, à savoir le Western Sahara Caucus. D’ailleurs, ce lobby avait réussi à convaincre cinq membres du Congrès ainsi qu’un groupe d’assistants de sénateurs et de députés à se rendre dans les camps de Tindouf, le 26 février dernier.
    Petite consolation pour le Polisario : son chef a pu se réunir avec l’ambassadeur du Venezuela aux Nations unies. Ce dernier assume la présidence de la IVe commission de l’ONU.
    A ces revers s’ajoute le peu d’intérêt accordé par le secrétaire général de l'ONU à ses entretiens avec Ghali. Aucune photo officielle n'a sanctionné cette première rencontre entre le Portugais et le chef du Front, comme ce fut le cas en 2013 entre Mohamed Abdelaziz et Ban Ki-moon. De même, les services de presse d’Antonio Guterres n’ont publié aucun communiqué à l’issue des entretiens.
    Seul Christopher Ross, endossant le rôle de «porte-parole» de l’ONU, avait donné des déclarations au site d'informations Inncer City Press. «Des propos qui ne traduisent pas fidèlement le contexte dans lequel se sont déroulés les entretiens entre Ghali et Guterres», tient à préciser notre source.


    .YA,,,,,,,,,,BIL

  • #2
    un article de ya..biladi,le filon des amoureux du Maroc,
    mais qui risque pas d’être posté par eux,

    Annoncée en grande pompe, la rencontre entre le chef du Polisario et le président du Conseil de sécurité n’a pas eu lieu

    Par Ziad Alami le 22/03/2017 à 11h21 Brahim Ghali.



    © Copyright : dr La rencontre entre le chef du Polisario, Brahim Ghali, et l’ambassadeur de Grande-Bretagne, Matthew Rycroft, n’a finalement pas eu lieu, contrairement à ce qu’a annoncé à coups de klaxons l’agence officielle algérienne APS qui a encore tarabiscoté pour camoufler ce loupé.
    Encore une fois, l’agence de presse algérienne fait dans la précipitation. Le «président sahraoui, Brahim Ghali, va rencontrer lundi à New York le président du Conseil de sécurité, le britannique Matthew Rycroft, pour discuter des derniers développements de la question du Sahara occidental», a-t-elle klaxonné, pas plus tard que lundi 20 mars, citant «des sources proches du dossier».


    Nous avons attendu la deuxième dépêche de l’APS qui rend compte de cette rencontre, supposée donner au patron du Polisario la stature d’un responsable respecté. Mardi 21 mars, l’APS (dont le sujet numéro un est le Sahara) lâche la dépêche attendue. Et ce qu’on y lit ne correspond pas à ce qui était attendu. La dépêche est intitulée : «Ghali évoque le blocage du processus de paix avec la présidence britannique du Conseil de sécurité». Il n’est plus question de rencontre, et encore moins de nommer le président du Conseil de sécurité, le britannique Matthew Rycroft, mais d’une «évocation» avec la présidence britannique du Conseil de sécurité.







    On se dit que l’on apprendra davantage dans les premières phrases de la dépêche. Que nenni. «Le président sahraoui, M. Brahim Ghali, a évoqué lundi à New York, le blocage du processus de paix au Sahara Occidental avec la présidence britannique du Conseil de sécurité». Et ensuite des rappels sur le blocage, le conflit, l’entretien du patron du Polisario avec le SG de l’ONU… Rien que des rappels. Où est passé Matthew Rycroft ? Nul ne le sait. Comment se fait-il qu’un président que tout le monde peut identifier et nommer, se transforme sous la plume des agenciers de l’APS en une entité abstraite «présidence», sans que l’on mentionne un seul nom dans cette présidence constituée d’un groupe de personnes, toutes assumant des fonctions bien distinctes.






    Passons sur les imprécisions. Qu’en est-il alors de la rencontre ou de la réunion ? L’APS ne parle plus de rencontre, mais choisit un verbe vague qu’on utilise pour faire apparaître les ombres et les esprits : «évoquer». Oui, on l’aura compris, il n’y a pas eu de rencontre et pour sauver la face, l'APS a encore une fois fait du tarabiscotage pour donner de la vraisemblance à de l’intox. Avec qui Brahim Ghali a évoqué le conflit du Sahara ? Un stagiaire dans la présidence du Conseil de l’ONU abordé dans les couloirs de l’ONU? Ou bien a-t-il simplement glissé une «lettre» sous la porte du bureau du président britannique du Conseil de sécurité?


    On aura compris: Alger essaie à tout prix de donner une stature internationale à Brahim Ghali, convoqué pour torture, séquestration et crime par José de la Mata, juge d’instruction de l’Audience nationale, la plus haute instance pénale d’Espagne. Si le protégé d’Alger se déplace dans un pays européen, le juge espagnol pourrait lancer un mandat d’arrêt international contre lui. Une épée de Damoclès qui ternit considérablement l’image d’Epinal que l’Algérie et son agence de presse officielle essaient de façonner au patron du Polisario.


    Brahim Ghali sent le soufre. L’APS a dû avaler des couleuvres, même en rendant compte de son entretien avec le SG de l’ONU, Antonio Guterres. Contrairement à l’usage, cette rencontre n’a pas fait l’objet d’un communiqué de l’ONU. «C’est par souci de préserver la confidentialité de l’entretien entre le SG de l’ONU et le président sahraoui»!, ont gloussé les communicants algériens.


    Ah ! Il y a eu une vraie rencontre avec les honneurs, réservée à l’ONU au patron du Polisario. Et là, il n’y a pas eu besoin de souffrir par les salariés de l’APS. Tout est vrai, car le seul véritable ambassadeur à l’ONU qui a rencontré Brahim Ghali est celui du Venezuela.


    Vous avez bien lu: le Venezuela, qui est en proie à une pénurie de pain au point que le dictateur Maduro a ordonné des rafles policières dans les boulangeries pour vérifier que la farine subventionnée sert bien à la confection du pain et non pas à des viennoiseries et des gâteaux! Il y a beaucoup de similitudes entre l’Algérie et le Vénezuela, tous deux entièrement dépendants des hydrocarbures. Et le scénario vénézuélien n’est plus bien loin d’Alger.
    Dernière modification par Elkhadir, 22 mars 2017, 17h16.

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    • #3
      Très bon clin d'oeil

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      • #4
        La fausse information a été effectivement relayée par des sites d’actualité sans la traditionnelle photo officielle
        sinon aussi ,le représentant de l’agence officielle de presse du Polisario sur ce forum nous aurais gratifié d'au moins d'une selfie devant le bâtiment de l'onu

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        • #5
          Le président Brahim Ghali à New York avec Antonio Guterres secrétaire général de l’ONU


          Le président Brahim Ghali s’entretient à New York avec le président du Comité spécial de la décolonisation de l’ONU


          .

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          • #6
            Envoyé par Amokrane
            Le président Brahim Ghali s’entretient à New York avec le président du Comité spécial de la décolonisation de l’ONU
            Derrière le titre pompeux de président du "Comité spécial de la décolonisation de l’ONU", se cache le représentant permanent du Venezuela à l'ONU, Rafael Dario Ramirez Carreno, .

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            • #7
              Le président Brahim Ghali à New York avec Antonio Guterres secrétaire général de l’ONU

              Le président Brahim Ghali s’entretient à New York avec le président du Comité spécial de la décolonisation de l’ONU
              Il n'y a pas de ''president" en dehors de l'Algerie, le pays neutre...

              A l'ONU, il est secretaire general d'une ONG, appelee Front Polisario, et il voyage avec un passeport algerien...

              http://www.unmultimedia.org/photo/de...?id=717/717304

              Sinon, on voit bien qu'il est de plus en plus maigrichon avec les os saillants...

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              • #8
                Il a changer de cravate pour faire croire qu'il ne les a pas rencontré au même endroit. Par ce que le costume est le même.
                ça se trouve que gutteres était juste de passage et l'autre lui serre la main entre deux porte pour la photo.

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