Encore un livre sur Parkinson et Alzheimer … Oui, mais connaissant le professeur Joyeux, son approche de la santé globale et son goût pour les vérités qui, parfois, fâchent, vous vous doutez que vous y apprendrez des choses que l’on ne vous dit pas ailleurs.
Bien sûr le Pr Joyeux n’est pas un spécialiste de ces sujets, mais ses connaissances médicales et scientifiques ne sont pas contestables et « en observateur », il voit parfois mieux, ou plus largement que ses confrères spécialistes qui gardent l’oeil rivé sur le petit bout de la lorgnette. On pourra observer le cerveau pendant des décennies encore, en disséquer le moindre recoin, on saura tout de la façon dont ces maladies s’y expriment et les dégâts qu’elles y causent. On tirera peut-être un jour de ces connaissances de vrais médicaments, qui réparent le cerveau. Mais l’on ne sera pas plus avancé sur le pourquoi et le comment de l’Alzheimer et du Parkinson et sur les moyens de les éviter ou d’en réduire significativement les risques. Ce livre, qui paraîtra dans les semaines prochaines (Ed Rocher), est fait pour combler ces vides, et donner de l’espoir aux patients. Nous en avons extrait 10 points-clés que vous ignoriez sans doute.
Il y a beaucoup d’idées reçues, de non-dits, voire de dissimulations à propos des maladies neurodégénératives. On évoque souvent la génétique pour expliquer ces affections complexes. C’est pratique, mais cela nous éloigne de tout début de solution préventive car ces maladies multifactorielles trouvent massivement racine dans l’épigénétique : les mauvaises habitudes alimentaires, les poisons du quotidien (tabac, alcool, médicaments…), la pollution environnementale, la pollution mentale et psychique…
On ne vous le dit pas, parfois par méconnaissance mais aussi parce que l’on préfère vous maintenir dans l’ignorance, par paresse, par négligence, par routine…
Après avoir mis un point final à cet ouvrage, le Pr Joyeux et moi-même nous sommes dits que, pour une fois, il y avait là un état de l’art qui n’a jamais été donné plus tôt.
Au final il est évident que « la réponse n’est pas médicale » comme nous l’affirmons en introduction de ce livre.
Un livre de non-spécialistes donc hors-conventions et libre de tout lobby…
Le Pr Joyeux et moi-même ne sommes ni neurologues, ni gérontologues, ni psychiatres, nous n’avons pas le nez collé sur la vitre de ces maladies, avec leurs symptômes, leurs essais thérapeutiques… Mais nous avons longuement étudié ces maladies, scrutant jusque dans leurs moindres détails toutes les publications nationales et internationales sur le sujet, plus particulièrement leurs causes et les moyens de faire reculer la maladie, de l’éviter même. Ces moyens sont divers et variés, un neurologue ne les évoquera pas spontanément, pas par incompétence ou mauvaise foi, mais parce que tout simplement le problème dépasse largement son champ d’expertise.
La prévention de ces maladies terriblement multifactorielles demande beaucoup de recul, c’est une affaire de santé globale et pas seulement cérébrale (vous allez voir que ces deux maladies s’expriment d’abord à bien d’autres niveaux du corps). Si ce n’était qu’une affaire de spécialiste, ces maladies qui font maintenant aussi peur que le cancer auraient été contenues depuis longtemps. Au contraire, aucun progrès n’est à noter dans les traitements officiels depuis près de 15 ans et la mise en coupe réglé du cerveau n’a pas permis de trouver la moindre parade.
On ne tombe pas dans l’Alzheimer ou Parkinson par fatalité…
Faute de solution médicale justement, ces maladies galopent effroyablement : 400 nouveaux cas d’Alzheimer sont diagnostiqués chaque jour en France (1 toutes les 3 mn), 40 pour le Parkinson. Un million de malades d’Alzheimer au dernier relevé, 150 000 malades de Parkinson. Première cause de dépendance.
Pas de traitement qui guérisse ces démences, juste des centres spécialisés (plus de 1 500 établissements avec une unité Alzheimer), mouroirs modernes où l’espérance de vie dépasse rarement les deux ans, où les patients assommés de médicaments cherchent désespérément la sortie pour rentrer à la maison…
Au final, le coût pour l’Assurance maladie atteint près de 10 milliards d’euros, soit 22 099 € par patient.
Rien de bon à espérer de ce côté-ci avant encore des années !
Il est donc grand temps de regarder ces maladies autrement, et d’attaquer le mal à la racine.
Si l’on ne devait tirer qu’une seule conclusion de ce nouveau livre du Pr Joyeux, c’est qu’il n’y a pas de fatalité dans ce type de maladie.
On vous le dira peut-être, ou on le laissera entendre, mais lisez ces dix points clés qui vous monteront des pistes d’amélioration et qui vous éloigneront de ces erreurs vers lesquelles on vous oriente la plupart du temps de bonne foi.
Dix choses qu’il vaut mieux savoir (et qu’on ne vous a sans doute jamais dites)
1) L’hérédité, la génétique… Une explication trompeuse dans 95% des cas !
Ces maladies, se dit-on, nous attendent tous au tournant, et l’on n’y peut rien… En particulier la première si nous sommes des femmes, et la seconde si nous sommes des hommes. Et si la grande-mère « gagatisait » et que l’oncle paternel a fini par « sucrer les fraises », on panique au premier trou de mémoire, au premier tremblement. Et on s’attend au pire…
Ces deux maladies neurodégénératives, pourtant, sont très rarement d’origine génétique. Il existe bien des formes précoces chez des sujets jeunes ou des cas familiaux qui ont fait évoquer des anomalies (mutations) génétiques qui pourraient être transmissibles à la descendance ou qui augmentent la susceptibilité d’être atteint par les voies de l’épigénétique (alimentation, respiration, environnement, stress…).
En réalité, pour l’Alzheimer, on ne recense actuellement que 0,3 % de formes précoces du fait d’une mutation génétique.
Quant au Parkinson, il n’existerait au maximum que 5 % de formes génétiques, liées à des mutations affectant des gènes spécifiques.
Retenons simplement que l’âge avancé et le sexe féminin augmentent les risques d’Alzheimer. Lorsqu’un cas survient dans la famille touchant le père ou la mère, les descendants ont un risque légèrement supérieur à la population générale de même âge d’être atteints à leur tour. Surtout s’ils ont les mêmes comportements, ceux qui font une grande partie de l’épigénétique : mauvaises habitudes alimentaires, addictions…
Bien sûr le Pr Joyeux n’est pas un spécialiste de ces sujets, mais ses connaissances médicales et scientifiques ne sont pas contestables et « en observateur », il voit parfois mieux, ou plus largement que ses confrères spécialistes qui gardent l’oeil rivé sur le petit bout de la lorgnette. On pourra observer le cerveau pendant des décennies encore, en disséquer le moindre recoin, on saura tout de la façon dont ces maladies s’y expriment et les dégâts qu’elles y causent. On tirera peut-être un jour de ces connaissances de vrais médicaments, qui réparent le cerveau. Mais l’on ne sera pas plus avancé sur le pourquoi et le comment de l’Alzheimer et du Parkinson et sur les moyens de les éviter ou d’en réduire significativement les risques. Ce livre, qui paraîtra dans les semaines prochaines (Ed Rocher), est fait pour combler ces vides, et donner de l’espoir aux patients. Nous en avons extrait 10 points-clés que vous ignoriez sans doute.
Il y a beaucoup d’idées reçues, de non-dits, voire de dissimulations à propos des maladies neurodégénératives. On évoque souvent la génétique pour expliquer ces affections complexes. C’est pratique, mais cela nous éloigne de tout début de solution préventive car ces maladies multifactorielles trouvent massivement racine dans l’épigénétique : les mauvaises habitudes alimentaires, les poisons du quotidien (tabac, alcool, médicaments…), la pollution environnementale, la pollution mentale et psychique…
On ne vous le dit pas, parfois par méconnaissance mais aussi parce que l’on préfère vous maintenir dans l’ignorance, par paresse, par négligence, par routine…
Après avoir mis un point final à cet ouvrage, le Pr Joyeux et moi-même nous sommes dits que, pour une fois, il y avait là un état de l’art qui n’a jamais été donné plus tôt.
Au final il est évident que « la réponse n’est pas médicale » comme nous l’affirmons en introduction de ce livre.
Un livre de non-spécialistes donc hors-conventions et libre de tout lobby…
Le Pr Joyeux et moi-même ne sommes ni neurologues, ni gérontologues, ni psychiatres, nous n’avons pas le nez collé sur la vitre de ces maladies, avec leurs symptômes, leurs essais thérapeutiques… Mais nous avons longuement étudié ces maladies, scrutant jusque dans leurs moindres détails toutes les publications nationales et internationales sur le sujet, plus particulièrement leurs causes et les moyens de faire reculer la maladie, de l’éviter même. Ces moyens sont divers et variés, un neurologue ne les évoquera pas spontanément, pas par incompétence ou mauvaise foi, mais parce que tout simplement le problème dépasse largement son champ d’expertise.
La prévention de ces maladies terriblement multifactorielles demande beaucoup de recul, c’est une affaire de santé globale et pas seulement cérébrale (vous allez voir que ces deux maladies s’expriment d’abord à bien d’autres niveaux du corps). Si ce n’était qu’une affaire de spécialiste, ces maladies qui font maintenant aussi peur que le cancer auraient été contenues depuis longtemps. Au contraire, aucun progrès n’est à noter dans les traitements officiels depuis près de 15 ans et la mise en coupe réglé du cerveau n’a pas permis de trouver la moindre parade.
On ne tombe pas dans l’Alzheimer ou Parkinson par fatalité…
Faute de solution médicale justement, ces maladies galopent effroyablement : 400 nouveaux cas d’Alzheimer sont diagnostiqués chaque jour en France (1 toutes les 3 mn), 40 pour le Parkinson. Un million de malades d’Alzheimer au dernier relevé, 150 000 malades de Parkinson. Première cause de dépendance.
Pas de traitement qui guérisse ces démences, juste des centres spécialisés (plus de 1 500 établissements avec une unité Alzheimer), mouroirs modernes où l’espérance de vie dépasse rarement les deux ans, où les patients assommés de médicaments cherchent désespérément la sortie pour rentrer à la maison…
Au final, le coût pour l’Assurance maladie atteint près de 10 milliards d’euros, soit 22 099 € par patient.
Rien de bon à espérer de ce côté-ci avant encore des années !
Il est donc grand temps de regarder ces maladies autrement, et d’attaquer le mal à la racine.
Si l’on ne devait tirer qu’une seule conclusion de ce nouveau livre du Pr Joyeux, c’est qu’il n’y a pas de fatalité dans ce type de maladie.
On vous le dira peut-être, ou on le laissera entendre, mais lisez ces dix points clés qui vous monteront des pistes d’amélioration et qui vous éloigneront de ces erreurs vers lesquelles on vous oriente la plupart du temps de bonne foi.
Dix choses qu’il vaut mieux savoir (et qu’on ne vous a sans doute jamais dites)
1) L’hérédité, la génétique… Une explication trompeuse dans 95% des cas !
Ces maladies, se dit-on, nous attendent tous au tournant, et l’on n’y peut rien… En particulier la première si nous sommes des femmes, et la seconde si nous sommes des hommes. Et si la grande-mère « gagatisait » et que l’oncle paternel a fini par « sucrer les fraises », on panique au premier trou de mémoire, au premier tremblement. Et on s’attend au pire…
Ces deux maladies neurodégénératives, pourtant, sont très rarement d’origine génétique. Il existe bien des formes précoces chez des sujets jeunes ou des cas familiaux qui ont fait évoquer des anomalies (mutations) génétiques qui pourraient être transmissibles à la descendance ou qui augmentent la susceptibilité d’être atteint par les voies de l’épigénétique (alimentation, respiration, environnement, stress…).
En réalité, pour l’Alzheimer, on ne recense actuellement que 0,3 % de formes précoces du fait d’une mutation génétique.
Quant au Parkinson, il n’existerait au maximum que 5 % de formes génétiques, liées à des mutations affectant des gènes spécifiques.
Retenons simplement que l’âge avancé et le sexe féminin augmentent les risques d’Alzheimer. Lorsqu’un cas survient dans la famille touchant le père ou la mère, les descendants ont un risque légèrement supérieur à la population générale de même âge d’être atteints à leur tour. Surtout s’ils ont les mêmes comportements, ceux qui font une grande partie de l’épigénétique : mauvaises habitudes alimentaires, addictions…
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