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Le groupe Etat islamique a revendiqué une attaque contre une base militaire en Tchétchénie menée dans la nuit du 23 au 24 mars. Six militaires et six assaillants ont été tués.
D’après les autorités russes, les assaillants étaient huit. Deux d’entre eux ont réussi à fuir. Ils ont profité de l’obscurité et d’un épais brouillard pour attaquer la base, tuant six militaires. Cette base de la garde nationale se situe au nord de la Tchétchénie, dans la région de Naourskaya, à une cinquantaine de kilomètres de la capitale Grozny. Selon la garde nationale, les militaires sont parvenus à tuer six assaillants. Dans son communiqué, l’organisation Etat islamique donne le même bilan.
A Moscou, lors de sa rencontre avec Marine Le Pen, le président russe a évoqué cette attaque. « Aucun pays n’est à l’abri du terrorisme, a déclaré Vladimir Poutine. Ni la République tchétchène ni la capitale de la Grande-Bretagne ». Et il a mis en avant la nécessite d’unir les efforts dans la lutte contre le terrorisme.
Le chef du Kremlin a réuni le Conseil de sécurité nationale pour évoquer cette attaque. Il a renouvelé sa confiance dans le président tchétchène Ramzan Kadyrov et souligné les efforts des autorités régionales et des forces de sécurité. La dernière attaque majeure de la rébellion contre la capitale tchétchène a eu lieu en décembre 2014. En 2015, la rébellion islamiste du Caucase a prêté allégeance au groupe Etat islamique.
RFI
D’après les autorités russes, les assaillants étaient huit. Deux d’entre eux ont réussi à fuir. Ils ont profité de l’obscurité et d’un épais brouillard pour attaquer la base, tuant six militaires. Cette base de la garde nationale se situe au nord de la Tchétchénie, dans la région de Naourskaya, à une cinquantaine de kilomètres de la capitale Grozny. Selon la garde nationale, les militaires sont parvenus à tuer six assaillants. Dans son communiqué, l’organisation Etat islamique donne le même bilan.
A Moscou, lors de sa rencontre avec Marine Le Pen, le président russe a évoqué cette attaque. « Aucun pays n’est à l’abri du terrorisme, a déclaré Vladimir Poutine. Ni la République tchétchène ni la capitale de la Grande-Bretagne ». Et il a mis en avant la nécessite d’unir les efforts dans la lutte contre le terrorisme.
Le chef du Kremlin a réuni le Conseil de sécurité nationale pour évoquer cette attaque. Il a renouvelé sa confiance dans le président tchétchène Ramzan Kadyrov et souligné les efforts des autorités régionales et des forces de sécurité. La dernière attaque majeure de la rébellion contre la capitale tchétchène a eu lieu en décembre 2014. En 2015, la rébellion islamiste du Caucase a prêté allégeance au groupe Etat islamique.
RFI