Les résultats préliminaires des échanges extérieurs à fin février 2017 laissent apparaître une hausse des importations de biens (+5.318MDH) plus importante que celle des exportations (+559MDH), ce qui se traduit par une augmentation du déficit commercial de 4.759MDH.
Les importations s’établissent à 64.856MDH contre 59.538MDH à fin février 2016, en hausse de 8,9%. Cette évolution est imputable à l’augmentation des achats de produits énergétiques (+3.613MDH), notamment le gasoils et fuel-oils (+2.221MDH). Hors facture énergétique, les importations n’augmentent que de 3,2% ou +1.705MDH. La hausse a été relevée également au niveau des importations de biens d’équipement (+1.975MDH), de produits bruts (+544MDH) et de produits finis de consommation (+135MDH). En revanche, les approvisionnements en produits alimentaires s’inscrivent en baisse (-920MDH) et ceux en demiproduits demeurent relativement stables. S’agissant des exportations, celles-ci enregistrent une légère hausse de 1,5%: 38.140MDH au lieu de 37.581MDH une année auparavant. Ce résultat s’explique, pour l’essentiel, par la progression des ventes de phosphates et dérivés de 494MDH (5.569MDH contre 5.075MDH), et dans une moindre mesure par l’amélioration des expéditions des secteurs électronique (+85MDH) et aéronautique (+78MDH). Ainsi, le déficit commercial se situe à 26.716MDH à fin février 2017 contre 21.957MDH un an auparavant et le taux de couverture à 58,8% contre 63,1%. Pour les flux financiers, les recettes MRE baissent à 8.814MDH contre 9.096MDH un an auparavant, soit -3,1% ou -282MDH et les recettes Voyages à 7.407MDH contre 7.749MDH une année auparavant, soit -4,4% ou -342MDH. Enfin, le flux des investissements directs étrangers (IDE) s’établit à 3.087MDH contre 4.152MDH à fin février 2016, soit un recul de 25,7% ou -1.065MDH. Ce résultat provient d'une baisse des recettes (-1.599MDH) plus importante que celle des dépenses (-534MDH).
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Les importations s’établissent à 64.856MDH contre 59.538MDH à fin février 2016, en hausse de 8,9%. Cette évolution est imputable à l’augmentation des achats de produits énergétiques (+3.613MDH), notamment le gasoils et fuel-oils (+2.221MDH). Hors facture énergétique, les importations n’augmentent que de 3,2% ou +1.705MDH. La hausse a été relevée également au niveau des importations de biens d’équipement (+1.975MDH), de produits bruts (+544MDH) et de produits finis de consommation (+135MDH). En revanche, les approvisionnements en produits alimentaires s’inscrivent en baisse (-920MDH) et ceux en demiproduits demeurent relativement stables. S’agissant des exportations, celles-ci enregistrent une légère hausse de 1,5%: 38.140MDH au lieu de 37.581MDH une année auparavant. Ce résultat s’explique, pour l’essentiel, par la progression des ventes de phosphates et dérivés de 494MDH (5.569MDH contre 5.075MDH), et dans une moindre mesure par l’amélioration des expéditions des secteurs électronique (+85MDH) et aéronautique (+78MDH). Ainsi, le déficit commercial se situe à 26.716MDH à fin février 2017 contre 21.957MDH un an auparavant et le taux de couverture à 58,8% contre 63,1%. Pour les flux financiers, les recettes MRE baissent à 8.814MDH contre 9.096MDH un an auparavant, soit -3,1% ou -282MDH et les recettes Voyages à 7.407MDH contre 7.749MDH une année auparavant, soit -4,4% ou -342MDH. Enfin, le flux des investissements directs étrangers (IDE) s’établit à 3.087MDH contre 4.152MDH à fin février 2016, soit un recul de 25,7% ou -1.065MDH. Ce résultat provient d'une baisse des recettes (-1.599MDH) plus importante que celle des dépenses (-534MDH).
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