Le Chef de gouvernement désigné Saadeddine El Otmani a trouvé avec ses interlocuteurs un accord, en vue de la constitution du prochain gouvernement, apprend Médias24 de source sûre. Le futur gouvernement comprendra les partis suivants: PJD, RNI, MP, UC, USFP et PPS
Au moment où nous mettons en ligne cet article, El Otmani est en réunion avec les chefs des 5 autres partis de la future coalition. Une rencontre avec la presse est programmée vers 20h30.
Un gouvernement donc élargi à 6 partis au total. Ils représentent 240 sièges sur un total de 395. Le PAM avec ses 102 sièges reste dans l'opposition.
Le sort de l'Istiqlal sur le champ politique reste incertain avec les secousses que connaît ce parti qui dispose de 46 députés à la Chambre des Représentants.
L'USFP, refusé par Benkirane qui en a fait une affaire personnelle, est donc accepté par El Otmani.
Le PJD a choisi une liste non définitive de 30 ministrables ce samedi 25 mars. L'architecture du gouvernement dépendra en grande partie des propositions du nouveau Chef de gouvernement, sous réserve de l'acceptation par les autres partis.
Au sein de tous les partis, l'heure est à la "ministrabilité". En être ou pas, c'est la question qui est dans tous les esprits.
Médias 24
Au moment où nous mettons en ligne cet article, El Otmani est en réunion avec les chefs des 5 autres partis de la future coalition. Une rencontre avec la presse est programmée vers 20h30.
Un gouvernement donc élargi à 6 partis au total. Ils représentent 240 sièges sur un total de 395. Le PAM avec ses 102 sièges reste dans l'opposition.
Le sort de l'Istiqlal sur le champ politique reste incertain avec les secousses que connaît ce parti qui dispose de 46 députés à la Chambre des Représentants.
L'USFP, refusé par Benkirane qui en a fait une affaire personnelle, est donc accepté par El Otmani.
Le PJD a choisi une liste non définitive de 30 ministrables ce samedi 25 mars. L'architecture du gouvernement dépendra en grande partie des propositions du nouveau Chef de gouvernement, sous réserve de l'acceptation par les autres partis.
Au sein de tous les partis, l'heure est à la "ministrabilité". En être ou pas, c'est la question qui est dans tous les esprits.
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