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On islamise les enfants a l'ecole :

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  • On islamise les enfants a l'ecole :

    27 mars 2017





    [IMG]http://www.************/wp-content/uploads/2017/03/manuel-scolaire-islamiste-728x410.jpg[/IMG]
    ALGÉRIE (Tamurt) – Un livre scolaire de cursus primaire propose un exercice des plus étonnants aux écoliers algériens. Il s’agit du livre de l’éducation civique qui met l’élève dans l’embarras.
    « Aimes-tu ton père ou le prophète Mohamed? » lit-on dans un exercice. L’élève est obligé de cocher la bonne réponse. Et ce n’est pas étonnant que la bonne réponse, d’après la solution de ce livre, soit que l’enfant doit aimer, en priorité, le prophète des musulmans plus que son propre père. Le scandale fait le buzz sur les réseaux sociaux et l’information est largement diffusée par plusieurs sites d’information.
    La question de ce livre scolaire est aussi débile que stupide. L’école algérienne ne fait qu’endoctriner les petits enfants. Ce genre de questions ne sont pas éducatives, mais destructives de la personnalité des petits enfants. On ne pose ce genre de questions que dans les milieux sectaires. Un petit enfant aime instinctivement ses parents biologiques. Dans des pays émancipés et développés, on ne parle jamais de religions à des petits enfants. Que répondra un enfant issu d’un couple chrétien? Que connait un petit enfant de Mohamed ou d’autres religions?
    Ravah Amokrane pour Tamurt

  • #2
    Faut il donc sioniser et sataniser les enfants pour les préparer à être de bons laïcs ?!

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=398409
    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

    Commentaire


    • #3
      Aimer le Prophète (salla Allah 3alayhi wa allihi wassalem) plus que son propre père, m'avait été enseigné par mon propre père rabbi yarahmou.

      "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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      • #4
        Il faut détruire ce livre, c'est une honte de poser ce genre de question à un enfant.
        Une école à fabriquer des abrutis!
        Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

        Commentaire


        • #5
          Sans l’amour du Prophète (salla Allah 3alayhi wa allihi wassalem), l’Algérie pour qui plus de 5 000 000 d’Algériens se sont sacrifiés depuis 1830, n’aura jamais son indépendance et ne connaîtra jamais ce que vivre dans la dignité.

          Gloire à tous nos martyres qui se sont sacrifiés, pour l’amour du pays plus que tout au monde !

          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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          • #6
            « Aimes-tu ton père ou le prophète Mohamed? » lit-on dans un exercice.
            Une référence précise ? une image de la page du livre ?
            Tout simplement trop grotesque pour être vrai!
            Question véracité du contenu ''Tamurt'' est passé maître dans le mensonge.

            Couper la région de la Kabylie du reste de l'Algérie politiquement, culturellement ... et en faire un équivalent du Sahara Occidental est tout un but recherché par le Maroc.
            Exemple du Makhzeni Farid Mnebhi signant son article-propagande sur ce site, avec preuve à l'appui :

            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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            • #7
              Celui ou celle qui aime sincèrement le Prophète (salla Allah 3alayhi wa allihi wassalem) par le respect et le suivi de ses enseignements, aimera certainement ses parents et son pays.

              Poème de Abou Bakr (né Victor) HUGO "An 9 de l'hégire" (le 15 janvier 1858 )

              'AN NEUF DE L'HEGIRE

              Comme s'il pressentait que son heure était proche,
              Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
              Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
              On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût
              A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
              Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
              Se souvenant du temps qu'il était chamelier.
              Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour,
              Les temps antérieurs, l'ère immémoriale.
              Il avait le front haut, la joue impériale,
              Le sourcil chauve, l'oeil profond et diligent,
              Le cou pareil au col d'une amphore d'argent,
              L';air d'un Noé qui sait le secret du déluge.
              Si des hommes venaient le consulter, ce juge
              Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier,
              Ecoutait en silence et parlait le dernier.
              Sa bouche était toujours en train d'une prière ;
              Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
              Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ;
              Il s'asseyait à terre et cousait ses habits.
              Il jeûnait plus longtemps qu'autrui les jours de jeûne,
              Quoiqu'il perdît sa force et qu'il ne fût plus jeune.
              A soixante-trois ans une fièvre le prit.
              Il relut le Coran de sa main même écrit,
              Puis il remit au fils de Séid la bannière,
              En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
              Il n'est pas d'autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
              Et son oeil, voilé d'ombre, avait ce morne ennui
              D'un vieux aigle forcé d'abandonner son aire.
              Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
              Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
              Et l'étendard sacré se déployait au vent.
              Là, pâle, il s'écria, se tournant vers la foule ;
              " Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ;
              La poussière et la nuit, c'est nous. Dieu seul est grand.
              Peuple je suis l'aveugle et suis l'ignorant.
              Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
              Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
              Sitôt qu'il t'entendit, en ta parole crut ;
              Le jour où tu naquit une étoile apparut,
              Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
              Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
              L'heure arrive. Ecoutez. Si j'ai de l'un de vous
              Mal parlé, qu'il se lève, ô peuple, et devant tous
              Qu'il m'insulte et m'outrage avant que je m'échappe ;
              Si j'ai frappé quelqu'un, que celui-là me frappe. "
              Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
              Une vieille, tondant la laine d'un mouton,
              Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t'assiste ! "
              Il semblait regarder quelque vision triste,
              Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
              Vous tous, je suis un mot dans la bouche d'Allah ;
              Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
              J'ai complété d'Issa la lumière imparfaite.
              Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
              Le soleil a toujours l'aube pour précurseur.
              Jésus m'a précédé, mais il n'est pas la Cause.
              Il est né d'une Vierge aspirant une rose.
              Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
              Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ;
              J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ;
              Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange,
              Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
              O vous tous, je serais bien vite dévoré
              Si dans l'obscurité du cercueil solitaire
              Chaque faute engendre un ver de terre.
              Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
              Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
              Toujours sa chair revit, jusqu'à ce que la peine,
              Finie ouvre à son vol l'immensité sereine.
              Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
              Tantôt l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas,
              Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
              Comme dans le désert le sable et la citerne ;
              Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants !
              Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants
              Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ;
              J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
              Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas,
              Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ;
              Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
              Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
              Et, comme je sentais en moi la vérité,
              Je les ai combattus, mais sans être irrité,
              Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
              Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
              Qu'ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
              Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
              Auraient, pour m'attaquer dans cette voie étroite,
              Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
              Ils ne me feraient point reculer ! " C'est ainsi
              Qu'après avoir lutté quarante ans, me voici
              Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
              Et j'ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
              Quant à vous qui m'avez dans l'épreuve suivi,
              Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
              Vous avez bien souffert, mais vous verrez l'aurore.
              Après la froide nuit, vous verrez l'aube éclore ;
              Peuple, n'en doutez pas ; celui qui prodigua
              Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
              Les perles à la mer et les astres à l'ombre,
              Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. "
              Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
              Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
              Sur le mur qui sépare Eden d'avec l'abîme,
              Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
              Presque personne n'est assez pur de péchés
              Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
              En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
              L'enfer ne brûlera dans son fatal mystère
              Que ce qui n'aura point touché la cendre, et Dieu
              A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
              Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
              Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
              Les chevaux sellés d'or, et, pour fuir aux sept dieux,
              Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
              Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
              Habite un pavillon fait d'une perle creuse ;
              Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
              Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
              Fera bouillir leur tête ainsi qu'une chaudière.
              La face des élus sera charmante et fière. "
              Il s'arrêta donnant audience à l'espoir.
              Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
              " O vivants ! Je répète à tous que voici l'heure
              Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
              Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
              Que je sois dénoncé par ceux qui m'ont connu,
              Et que, si j'ai des torts, on me crache aux visages. "
              La foule s'écartait muette à son passage.
              Il se lava la barbe au puits d'Aboufléia.
              Un homme réclama trois drachmes, qu'il paya,
              Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
              L'oeil du peuple était doux comme un oeil de colombe
              En le regardant cet homme auguste, son appui ;
              Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
              Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
              Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
              Le lendemain matin, voyant l'aube arriver ;
              " Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
              Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
              Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
              Il écoutait pendant qu'Aboubékre lisait,
              Et souvent à voix basse achevait le verset ;
              Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte.
              Et l'Ange de la mort vers le soir à la porte
              Apparut, demandant qu'on lui permît d'entrer.
              " Qu'il entre. " On vit alors son regard s'éclairer
              De la même clarté qu'au jour de sa naissance ;
              Et l'Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
              - Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
              Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.


              Dernière modification par abderahmane1, 27 mars 2017, 16h26.
              "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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              • #8
                Faut il donc sioniser et sataniser les enfants pour les préparer à être de bons laïcs ?!
                Seulement ne pas mêler les gosses aux conneries des grands ! ...

                Commentaire


                • #9
                  Seulement ne pas mêler les gosses aux conneries des grands ! ...
                  La mauvaise graine ne donne forcément que le mauvais arbre ! et c'est de cet arabe qu'il s'agit dans notre discussion précédente.
                  Dernière modification par abderahmane1, 27 mars 2017, 22h37.
                  "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

                  Commentaire


                  • #10
                    Seulement ne pas mêler les gosses aux conneries des grands ! ...
                    Fait comprendre ça aux dirigeants et à certains parents.
                    Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

                    Commentaire


                    • #11
                      La mauvaise graine ne donne forcément que le mauvais arbre !
                      C'est pour ça que le choix de l’éducation à donner à son enfant est très important ! ...
                      Dernière modification par infinite1, 28 mars 2017, 21h46.

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