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Kiosque360. Oxford Business Group passe au peigne fin la politique du Maroc en matière d’agriculture durable.
Le cabinet d’étude britannique a récemment livré une étude sur l’agriculture durable au Maroc, nous apprend Aujourd’hui Le Maroc dans sa livraison de ce mardi 28 mars, rappelant que le royaume a consenti des investissements colossaux dans ce modèle, notamment à travers sa stratégie d’irrigation et de diversification des cultures. Pour Oxford Business Group, le Maroc ne cesse d’œuvrer pour le développement d’une agriculture durable en vue d’assurer sa sécurité alimentaire, en y consacrant des investissements importants.
Dans cette étude, souligne le journal, l’accent est mis sur deux projets d’envergure récemment lancés dans la province du Haouz. Il s’agit, d'une part, d’un système d’irrigation «goutte-à-goutte» mis en place sur 500 hectares dans la commune de Saada et, d'autre part, du bassin de décantation de l’eau d’irrigation d’un volume de 100.000 mètres cubes mis en service dans la ville de Tamesloht. Le cabinet estime ainsi que l’accès à des systèmes d’irrigation plus développés devrait contribuer à compenser les pertes enregistrées par les agriculteurs lorsque les conditions climatiques sont fluctuantes.
Aujourd’hui Le Maroc, précise qu'Oxford Business Group a aussi passé au peigne fin les différentes actions menées par le Maroc dans la diversification des cultures, rappelant qu’un accord de coopération technique portant sur la promotion de la culture du quinoa a été signé, en février, par l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II et la FAO. Cet accord devrait faciliter le transfert des connaissances et l’échange de matériel génétique entre le Pérou et le Maroc. Il s’agit d’une initiative entrant dans le cadre du Plan Maroc Vert.
Le cabinet d’étude britannique a récemment livré une étude sur l’agriculture durable au Maroc, nous apprend Aujourd’hui Le Maroc dans sa livraison de ce mardi 28 mars, rappelant que le royaume a consenti des investissements colossaux dans ce modèle, notamment à travers sa stratégie d’irrigation et de diversification des cultures. Pour Oxford Business Group, le Maroc ne cesse d’œuvrer pour le développement d’une agriculture durable en vue d’assurer sa sécurité alimentaire, en y consacrant des investissements importants.
Dans cette étude, souligne le journal, l’accent est mis sur deux projets d’envergure récemment lancés dans la province du Haouz. Il s’agit, d'une part, d’un système d’irrigation «goutte-à-goutte» mis en place sur 500 hectares dans la commune de Saada et, d'autre part, du bassin de décantation de l’eau d’irrigation d’un volume de 100.000 mètres cubes mis en service dans la ville de Tamesloht. Le cabinet estime ainsi que l’accès à des systèmes d’irrigation plus développés devrait contribuer à compenser les pertes enregistrées par les agriculteurs lorsque les conditions climatiques sont fluctuantes.
Aujourd’hui Le Maroc, précise qu'Oxford Business Group a aussi passé au peigne fin les différentes actions menées par le Maroc dans la diversification des cultures, rappelant qu’un accord de coopération technique portant sur la promotion de la culture du quinoa a été signé, en février, par l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II et la FAO. Cet accord devrait faciliter le transfert des connaissances et l’échange de matériel génétique entre le Pérou et le Maroc. Il s’agit d’une initiative entrant dans le cadre du Plan Maroc Vert.
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