Trois jeunes d’Ath Waguenoun, au nord de Tizi Wezzu, espèrent réaliser leur projet de rêve. Il s’agit de se lancer dans l’élevage de porcs. Universitaires dont deux, d’entre eux, sont issus d’une famille qui a toujours travaillé et vécu dans l’agriculture, les trois amis comptent lancer leur projet.
« L’idée à traversé notre esprit lorsque nous avions visité la Tunisie le mois de janvier dernier. On a visité des fermes d’élevage de porcs dans la région de Sfax, en Tunisie. C’est vraiment un projet intéressant. Même si les tunisiens, en majorité, ne consomment pas ce genre de viande pour des raisons liées à la religion, mais sa forte demande, de la part des touristes, fait prospérer les fermes d’élevage de porcs en Tunisie. Chez nous, plus particulièrement en Kabylie, j’en suis sûr qu’on aura du mal même à satisfaire la demande au niveau local, étant donné qu’une bonne partie des kabyles consomme la viande de parc. C’est un projet qui nous tient à cœur », explique l’un des initiateurs de ce projet qui espère ne pas se heurter à des contraintes.
« En principe, aucune loi n’interdit l’élevage du porc en Algérie. Pour l’écoulement et la vente, on peut créer nous mêmes notre boucherie et alimenter la trentaine de restaurants au niveau dans localités qui sont spécialisées dans la préparation de plats à base de sanglier », suggère notre interlocuteur. « Si on nous laissera investir dans le domaine, j’en suis sûr que d’autres nous suivront et nous créerons une dynamique économique en Kabylie. De toutes les façons, en tant qu’ingénieur en agronomie, je dirais que les conditions naturelle sont favorables à notre projet »souligne le jeune universitaire d’Ath Waguenoun.
Ravah Amokrane
« L’idée à traversé notre esprit lorsque nous avions visité la Tunisie le mois de janvier dernier. On a visité des fermes d’élevage de porcs dans la région de Sfax, en Tunisie. C’est vraiment un projet intéressant. Même si les tunisiens, en majorité, ne consomment pas ce genre de viande pour des raisons liées à la religion, mais sa forte demande, de la part des touristes, fait prospérer les fermes d’élevage de porcs en Tunisie. Chez nous, plus particulièrement en Kabylie, j’en suis sûr qu’on aura du mal même à satisfaire la demande au niveau local, étant donné qu’une bonne partie des kabyles consomme la viande de parc. C’est un projet qui nous tient à cœur », explique l’un des initiateurs de ce projet qui espère ne pas se heurter à des contraintes.
« En principe, aucune loi n’interdit l’élevage du porc en Algérie. Pour l’écoulement et la vente, on peut créer nous mêmes notre boucherie et alimenter la trentaine de restaurants au niveau dans localités qui sont spécialisées dans la préparation de plats à base de sanglier », suggère notre interlocuteur. « Si on nous laissera investir dans le domaine, j’en suis sûr que d’autres nous suivront et nous créerons une dynamique économique en Kabylie. De toutes les façons, en tant qu’ingénieur en agronomie, je dirais que les conditions naturelle sont favorables à notre projet »souligne le jeune universitaire d’Ath Waguenoun.
Ravah Amokrane
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