...
La RéVoLTe DeS MoTS (D'aVRiL)
D'un air d'une immensité
d'un clair d'une étoilée
d'un tiers d'une destinée
au delà d'une fenêtre inachevée
comme une ombre accrochée
donc plutôt lisse et foncée
même si d'un peu plus près
d'aucune nécessité
elle eut été
encore fébrile à approcher
aux débuts qui l'assied
quand devant ce premier
la surface transformée
serviable et appropriée
mobile par les côtés
grandit la curiosité
puis une fois considéré
avec brio ou légèrté
sans tâche ni corvée
en toute relativité
possible à rajouter
utile à manœuvrer
facile à éponger
parmi tableau immaculé
infini et mesuré
pluriel et coloré
ouvert et métissé
publique ou privé
aux fils des craies usées
aux pages des temps feutrés
aux coins des feuilles aimantées
surgissent selon l'année
au milieu des savoirs et des idées
au gré des histoires et des résumés
au sens des mémoires et des journées
la source des mesures imagées
hissant bordant le relief activé
la nature des plumes apprivoisées
passant faisant le monde inavoué
l'espace des genres unifiés
suivant courant les vides inaltérés
le futur des classes libérées
fixant peignant aussi les moindres singuliers
à l'être des composés
dignes et justifiés
juste comme une opposée
contrastée
voire une nécessité
engendrée
des guerres contestées
muant des légitimités
des terres éprouvées
cultivant des humilités
des lignes universelles et nuancées
parallèles ou encadrées
factorielles quand aveuglées
et d'avantages quand ignorées
je sais comme vous savez
et peut être même pensons sans développer
comment sans réfléchir ni diviser
tous jours restent liés
aux univers éparpillés
pourquoi sans réduire ni ajouter
toutes vies conjuguent nouées
aux matières apaisées
combien sans rougir ni juger
chaque heure nourrit l'entier
aux rivières émerveillées
mais sans trop escalader
quand tout tombe du mauvais côté
des manières déconcertées
quand rien ne laisse rêver
sans mieux assembler
aux raisons de l'équité
du simple au double carré
du même au triple grand arriéré
cela ne peut aller
ni des verbes élevés
au jeu des pas forcés
ni des mots choyés
au prix des hostilités
la vie n'a mille côté
pour croire qu'elle ait moitié
sans compter des nouveautés
l'écrit n'est seul tracé
pour dire qu'il eut degré
sans partager des gravités
je sais comme vous savez
et peut être même clamons sans dénigrer
comment pourquoi combien l'intensité
issue des vérités des volontés
indéniable en parité
remarquable en liberté
assiste sans discontinuer
la valeur et la couleur des réalités
dépasse sans cruauté
la grandeur et la lueur des sociétés...
...merci...
La RéVoLTe DeS MoTS (D'aVRiL)
D'un air d'une immensité
d'un clair d'une étoilée
d'un tiers d'une destinée
au delà d'une fenêtre inachevée
comme une ombre accrochée
donc plutôt lisse et foncée
même si d'un peu plus près
d'aucune nécessité
elle eut été
encore fébrile à approcher
aux débuts qui l'assied
quand devant ce premier
la surface transformée
serviable et appropriée
mobile par les côtés
grandit la curiosité
puis une fois considéré
avec brio ou légèrté
sans tâche ni corvée
en toute relativité
possible à rajouter
utile à manœuvrer
facile à éponger
parmi tableau immaculé
infini et mesuré
pluriel et coloré
ouvert et métissé
publique ou privé
aux fils des craies usées
aux pages des temps feutrés
aux coins des feuilles aimantées
surgissent selon l'année
au milieu des savoirs et des idées
au gré des histoires et des résumés
au sens des mémoires et des journées
la source des mesures imagées
hissant bordant le relief activé
la nature des plumes apprivoisées
passant faisant le monde inavoué
l'espace des genres unifiés
suivant courant les vides inaltérés
le futur des classes libérées
fixant peignant aussi les moindres singuliers
à l'être des composés
dignes et justifiés
juste comme une opposée
contrastée
voire une nécessité
engendrée
des guerres contestées
muant des légitimités
des terres éprouvées
cultivant des humilités
des lignes universelles et nuancées
parallèles ou encadrées
factorielles quand aveuglées
et d'avantages quand ignorées
je sais comme vous savez
et peut être même pensons sans développer
comment sans réfléchir ni diviser
tous jours restent liés
aux univers éparpillés
pourquoi sans réduire ni ajouter
toutes vies conjuguent nouées
aux matières apaisées
combien sans rougir ni juger
chaque heure nourrit l'entier
aux rivières émerveillées
mais sans trop escalader
quand tout tombe du mauvais côté
des manières déconcertées
quand rien ne laisse rêver
sans mieux assembler
aux raisons de l'équité
du simple au double carré
du même au triple grand arriéré
cela ne peut aller
ni des verbes élevés
au jeu des pas forcés
ni des mots choyés
au prix des hostilités
la vie n'a mille côté
pour croire qu'elle ait moitié
sans compter des nouveautés
l'écrit n'est seul tracé
pour dire qu'il eut degré
sans partager des gravités
je sais comme vous savez
et peut être même clamons sans dénigrer
comment pourquoi combien l'intensité
issue des vérités des volontés
indéniable en parité
remarquable en liberté
assiste sans discontinuer
la valeur et la couleur des réalités
dépasse sans cruauté
la grandeur et la lueur des sociétés...
...merci...
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