L’Iran et l’Algérie s’unissent contre les groupes takfiristes et fanatiques
L’Algérie et l’Iran ont décidé de s’unir contre les groupes takfiristes et fanatiques. C’est ce qui ressort de la rencontre qui a réuni ce mardi à Alger le président du Conseil supérieur islamique (CSI), Bouabdallah Ghlamallah et le ministre iranien de la Culture et de l’Orientation islamique, Reza Salhi Amiri. Dans cette perspective, les deux pays ont convenu de tenir de manière régulière et continue des rencontres entre les Ulémas des deux pays pour se pencher sur les moyens susceptibles de faire face à ces groupes.
Au cours de ces rencontres ; il sera question de débattre des moyens susceptibles de trouver une issue à la crise que connait le monde musulman, a déclaré Ghlamallah au terme d’une audience accordée au ministre iranien de la Culture au siège du CSI.
Pour sa part, le responsable iranien a indiqué que «l’échange culturel entre deux pays aura un impact certain sur la lutte que mène le monde musulman contre le terrorisme», ajoutant que «l’Occident ne nous aide pas à sortir de cette crise et il est par conséquent, important pour les pays musulmans de résoudre leur crise par eux-mêmes».
Ce rapprochement entre l’Algérie et l’Iran n’est pas pour plaire à l’Arabie saoudite et aux pays du Golfe qui ont toujours accusé l’Iran de mobiliser les groupes chiîtes contre les monarchies du Golfe. Un rapprochement qui n’arrange pas aussi le Maroc, proches des pays du Golfe.
Amir Hani
L’Algérie et l’Iran ont décidé de s’unir contre les groupes takfiristes et fanatiques. C’est ce qui ressort de la rencontre qui a réuni ce mardi à Alger le président du Conseil supérieur islamique (CSI), Bouabdallah Ghlamallah et le ministre iranien de la Culture et de l’Orientation islamique, Reza Salhi Amiri. Dans cette perspective, les deux pays ont convenu de tenir de manière régulière et continue des rencontres entre les Ulémas des deux pays pour se pencher sur les moyens susceptibles de faire face à ces groupes.
Au cours de ces rencontres ; il sera question de débattre des moyens susceptibles de trouver une issue à la crise que connait le monde musulman, a déclaré Ghlamallah au terme d’une audience accordée au ministre iranien de la Culture au siège du CSI.
Pour sa part, le responsable iranien a indiqué que «l’échange culturel entre deux pays aura un impact certain sur la lutte que mène le monde musulman contre le terrorisme», ajoutant que «l’Occident ne nous aide pas à sortir de cette crise et il est par conséquent, important pour les pays musulmans de résoudre leur crise par eux-mêmes».
Ce rapprochement entre l’Algérie et l’Iran n’est pas pour plaire à l’Arabie saoudite et aux pays du Golfe qui ont toujours accusé l’Iran de mobiliser les groupes chiîtes contre les monarchies du Golfe. Un rapprochement qui n’arrange pas aussi le Maroc, proches des pays du Golfe.
Amir Hani
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