Tweet
Le Legatum Institute vient de publier, depuis ce jeudi, l’édition 2016 du Legatum Prosperity Index, un indice qui évalue chaque année le niveau de prospérité des Etats à l’échelle mondiale.
Cette année, 149 Etats ont été jaugés sur la base de 9 critères : éducation, santé, gouvernance, sécurité et sûreté, «qualité économique», liberté individuelle, capital social et environnement.
Au niveau international, la Nouvelle Zelande, la Norvège, la Finlande, la Suisse et le Canada sont considérés comme les nations les plus prospères de la planète. Le Royaume Uni arrive à la 10ème place, l’Allemagne, à la 11è, les Etats-Unis et la France respectivement aux 17è et 18è rang.
L’Afrique du Sud arrive en tête des BRICS, à la 48ème place, suivie du Brésil (52è), de la Chine (90è), de la Russie (95è) et de l’Inde (104è).
Par ailleurs, l’institut a établi un autre classement des pays sur la base du « gap de prospérité » qui apprécie l’écart entre le PIB/habitant d’un pays et le niveau de prospérité espéré compte tenu des richesses dont il dispose. Cette évaluation-ci a le mérite de permettre de mieux percevoir les efforts déployés par les Etats, inégalement dotés en ressources, pour améliorer les conditions de vie de leurs citoyens.
Et ici, le classement présente bien de bouleversements.
Jean-Mermoz KONANDI
Financial Afrik
Cette année, 149 Etats ont été jaugés sur la base de 9 critères : éducation, santé, gouvernance, sécurité et sûreté, «qualité économique», liberté individuelle, capital social et environnement.
Au niveau international, la Nouvelle Zelande, la Norvège, la Finlande, la Suisse et le Canada sont considérés comme les nations les plus prospères de la planète. Le Royaume Uni arrive à la 10ème place, l’Allemagne, à la 11è, les Etats-Unis et la France respectivement aux 17è et 18è rang.
L’Afrique du Sud arrive en tête des BRICS, à la 48ème place, suivie du Brésil (52è), de la Chine (90è), de la Russie (95è) et de l’Inde (104è).
Par ailleurs, l’institut a établi un autre classement des pays sur la base du « gap de prospérité » qui apprécie l’écart entre le PIB/habitant d’un pays et le niveau de prospérité espéré compte tenu des richesses dont il dispose. Cette évaluation-ci a le mérite de permettre de mieux percevoir les efforts déployés par les Etats, inégalement dotés en ressources, pour améliorer les conditions de vie de leurs citoyens.
Et ici, le classement présente bien de bouleversements.
Jean-Mermoz KONANDI
Financial Afrik