Un chiffre a priori inquiétant. Il s’agit de l’importance du nombre des décès des personnes de moins d‘un an (1) ’âge.
La révélation a été faite par des sources de la division des pompes funèbres de la commune d’Oran, à l’occasion de l’inauguration des journées d’information sur les secteurs urbains de la première ville d’Algérie. Un bilan a été rendu public par cette division au sujet du nombre de décès de la population oranaise par tranche d’âge durant l’année 2016.
En effet, sur un total de 5.118 personnes, toutes catégories d’âge, décédées à Oran en 2016, plus de 1.000 ont moins d’un an (1) d’âge, chiffre englobant aussi bien le cas de nouveaux-nés ou celui des mort-nés selon le même bilan. Ce chiffre a été jugé élevé. La mortalité chez les personnes dont l’âge ne dépasse pas un an, est palpable, dans le tableau des effectifs d’âge de décès affiché à la mairie.
Ce chiffre des personnes décédées dont l’âge n’excède pas un (1) an, parait quelque peu important. Une amélioration de la santé et des conditions de vie notamment sociales des Algériens est constatée ces dernières années, soulignent des experts. Il n’empêche, selon eux, que ce chiffre sur la mortalité de la population de moins d’un an d’âge, mérite, un débat et des analyses aussi bien desspécialistes que des sociologues. En ce sens que, selon ces derniers, cela permet de poser la réflexion pour attirer l’attention surtout des parents sur cette situation. «Ce qui exige une prise de conscience réelle du phénomène», nous a expliqué à cet effet un spécialiste, lors de cette journée d’information.
Des questions sempiternelles s’imposent alors d’elles-mêmes. Pourquoi la mortalité a-t-elle touché, durant l’année écoulée, un nombre aussi significatif de personnes ne dépassant pas un an d’âge? Faudra- il organiser des journées d‘étude pour éplucher un phénomène et cerner les facteurs qui ont été à l’origine des décès d’une population visiblement trop jeune?
B.Habib
Le Carrefour
La révélation a été faite par des sources de la division des pompes funèbres de la commune d’Oran, à l’occasion de l’inauguration des journées d’information sur les secteurs urbains de la première ville d’Algérie. Un bilan a été rendu public par cette division au sujet du nombre de décès de la population oranaise par tranche d’âge durant l’année 2016.
En effet, sur un total de 5.118 personnes, toutes catégories d’âge, décédées à Oran en 2016, plus de 1.000 ont moins d’un an (1) d’âge, chiffre englobant aussi bien le cas de nouveaux-nés ou celui des mort-nés selon le même bilan. Ce chiffre a été jugé élevé. La mortalité chez les personnes dont l’âge ne dépasse pas un an, est palpable, dans le tableau des effectifs d’âge de décès affiché à la mairie.
Ce chiffre des personnes décédées dont l’âge n’excède pas un (1) an, parait quelque peu important. Une amélioration de la santé et des conditions de vie notamment sociales des Algériens est constatée ces dernières années, soulignent des experts. Il n’empêche, selon eux, que ce chiffre sur la mortalité de la population de moins d’un an d’âge, mérite, un débat et des analyses aussi bien desspécialistes que des sociologues. En ce sens que, selon ces derniers, cela permet de poser la réflexion pour attirer l’attention surtout des parents sur cette situation. «Ce qui exige une prise de conscience réelle du phénomène», nous a expliqué à cet effet un spécialiste, lors de cette journée d’information.
Des questions sempiternelles s’imposent alors d’elles-mêmes. Pourquoi la mortalité a-t-elle touché, durant l’année écoulée, un nombre aussi significatif de personnes ne dépassant pas un an d’âge? Faudra- il organiser des journées d‘étude pour éplucher un phénomène et cerner les facteurs qui ont été à l’origine des décès d’une population visiblement trop jeune?
B.Habib
Le Carrefour
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