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Essais cliniques en Algérie

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    Développement de nouveaux médicaments : L’Algérie appelée à assurer ses essais cliniques
    L’Algérie qui est une référence en matière de recherche clinique, est appelée à devenir le promoteur de ses propres essais pour le développement de nouveaux médicaments, a affirmé, M. Ahmed Saïd Frihat, directeur des produits pharmaceutiques, au ministère de la Santé, de la population et de la Réforme hospitalière. L’Algérie qui est une référence en matière de recherche clinique, est appelée à devenir le promoteur de ses propres essais pour le développement de nouveaux médicaments, a affirmé, M. Ahmed Saïd Frihat, directeur des produits pharmaceutiques, au ministère de la Santé, de la population et de la Réforme hospitalière. "L’Algérie est référencée dans le domaine de la recherche clinique. Toutes les études qui y ont été menées n’ont pas été biaisées et tous ses résultats ont été validés, c’est dire la qualité des experts algériens", a déclaré M. Frihat à la presse, en marge d’une table ronde sur l’accès à l’innovation et recherche en santé. Tout en relevant que des distinctions ont été décernées à l’Algérie pour ce type de recherches, le même responsable prédit, qu’avec l’avènement des produits de biotechnologie, le pays "sera amené à élaborer et à valider ses propres essais cliniques". "Nos promoteurs ne seront plus des laboratoires internationaux qui se serviront de l’Algérie comme centre d’investigations mais des laboratoires algériens qui mèneront eux-mêmes ces recherches", a-t-il explicité avant de rappeler que des laboratoires algériens développent déjà des médicaments, citant le nouveau traitement destiné aux malades souffrant de l’hépatite C, conçu localement. M. Frihat a fait savoir, à ce propos, que depuis la parution du premier texte régissant les bonnes pratiques en matière d’essais cliniques en 2005, plus de 100 travaux ont été réalisés en Algérie, dans le cadre d’études multicentriques menées dans plusieurs pays du monde. Le taux d’intégration de ces essais cliniques est à 100% algérien, dans la mesure où, a-t-il clarifié, les patients qui y ont pris part ainsi que les médecins ayant appliqué le protocole sont tous Algériens et que les résultats des recherches appartiennent à l’Algérie. Selon l’intervenant, c’est ainsi que l’Algérie contribue au développement des recherches cliniques dans le monde et ce, dans l’intérêt de l’humanité, essentiellement dans les spécialités de diabétologie et de cancérologie, le pays, a-t-il rappelé, étant doté du Plan cancer initié par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Affirmant que les essais cliniques menés en Algérie sont juridiquement encadrés pour assurer l’efficience du traitement et la sécurité des patients, le représentant du ministère de la Santé a souligné que le pays s’inscrit en droite ligne de la Convention de Helsinki en matière de protection des personnes qui s’adonnent à ces essais. Il a ajouté que de nouvelles donnes sont contenues dans la nouvelle loi sanitaire, de sorte à combler toutes les situations inédites n’ayant pas été prises en charge par la loi actuelle, qualifiant le volet de la recherche de "sensible" car lié à plusieurs maladies sans traitements et à des malades en quête de guérison. Allant dans le même sens, le président de la Société algérienne de biotechnologie et recherche clinique, Salah Sahraoui, s’est félicité de ce que l’Algérie ait atteint le 1er rang, à l’échelle maghrébine, dans le domaine des études cliniques, autant en quantité qu’en quantité, estimant que cet aspect revêtira une place de plus en plus importante durant la décennie prochaine. Tout en relevant l’existence d’une volonté politique pour le développement de cette discipline, il a indiqué que l’Algérie dispose d’opportunités pour ce faire, citant notamment sa position (2e) dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) s’agissant d’industrie pharmaceutique et celle de leader, au niveau africain, en matière de couverture sociale. Il a, néanmoins, averti contre des menaces pouvant empêcher le développement de la recherche clinique en Algérie, à savoir, notamment la règle 49/51 sur les investissements ainsi que la conjoncture économique marquée par la chute des prix des hydrocarbures. La rencontre vise à évaluer les récents développements en matière de recherche clinique à travers le monde, d’où la présence d’experts étrangers d’Europe, du Brésil….

    Publié dans EL MODJAHID / :


    Pour développer des médicaments
    L'Algérie appelée à assurer ses propres essais cliniques
    L' Algérie qui est une réfé-
    rence en matière de
    recherche clinique, est
    appelée à devenir le promoteur de
    ses propres essais pour le développement
    de nouveaux médicaments,
    a affirmé, hier à Alger,
    Ahmed Saïd Frihat, directeur des
    produits pharmaceutiques, au
    ministère de la Santé, de la
    Population et de la Réforme hospitalière.

    «L'Algérie est référencée dans
    le domaine de la recherche clinique.
    Toutes les études qui y ont
    été menées n'ont pas été biaisées
    et tous ses résultats ont été validés,
    c'est dire la qualité des
    experts algériens», a déclaré M.
    Frihat à la presse, en marge d'une
    table ronde sur l'accès à l'innovation
    et recherche en santé.
    Tout en relevant que des distinctions
    ont été décernées à
    l'Algérie pour ce type de
    recherches, le même responsable
    prédit, qu'avec l'avènement des
    produits de biotechnologie, le pays
    «sera amené à élaborer et à valider
    ses propres essais cliniques».
    «Nos promoteurs ne seront plus
    des laboratoires internationaux qui
    se serviront de l'Algérie comme
    centre d'investigations, mais des
    laboratoires algériens qui mèneront
    eux-mêmes ces recherches»,
    a-t-il explicité avant de rappeler
    que des laboratoires algériens
    développent déjà des médicaments,
    citant le nouveau traitement
    destiné aux malades souffrant
    de l'hépatite C, conçu localement.

    M. Frihat a fait savoir, à ce propos,
    que depuis l'apparition du
    premier texte régissant les
    bonnes pratiques en matière d'essais
    cliniques en 2005, plus de
    100 travaux ont été réalisés en
    Algérie, dans le cadre d'études
    multicentriques menées dans plusieurs
    pays du monde. Le taux
    d'intégration de ces essais cliniques
    est à 100% algérien, dans
    la mesure où, a-t-il clarifié, les
    patients qui y ont pris part ainsi
    que les médecins ayant appliqué
    le protocole sont tous Algériens et
    que les résultats des recherches
    appartiennent à l'Algérie.
    Selon l'intervenant, c'est ainsi
    que l'Algérie contribue au développement
    des recherches cliniques
    dans le monde et ce, dans l'intérêt
    de l'humanité, essentiellement
    dans les spécialités de diabétologie
    et de cancérologie, le pays, at-il
    rappelé, étant doté du Plan
    cancer initié par le président de la
    République, Abdelaziz Bouteflika.
    Affirmant que les essais cliniques
    menés en Algérie sont juridiquement
    encadrés pour assurer
    l'efficience du traitement et la
    sécurité des patients, le représentant
    du ministère de la Santé a
    souligné que le pays s'inscrit en
    droite ligne de la Convention de
    Helsinki en matière de protection
    des personnes qui s'adonnent à
    ces essais.
    Il a ajouté que de nouvelles
    donnes sont contenues dans la
    nouvelle loi sanitaire, de sorte à
    combler toutes les situations
    inédites n'ayant pas été prises en
    charge par la loi actuelle, qualifiant
    le volet de la recherche de «sensible»,
    car lié à plusieurs maladies
    sans traitements et à des
    malades en quête de guérison.
    Allant dans le même sens, le
    président de la Société algérienne
    de biotechnologie et recherche
    clinique, Salah Sahraoui, s'est félicité
    de ce que l'Algérie ait atteint
    le premier rang à l'échelle maghré-
    bine dans le domaine des études
    cliniques, autant en quantité
    qu'en quantité, estimant que cet
    aspect revêtira une place de plus
    en plus importante durant la
    décennie prochaine. Tout en relevant
    l'existence d'une volonté politique
    pour le développement de
    cette discipline, il a indiqué que
    l'Algérie dispose d'opportunités
    pour ce faire, citant notamment sa
    position (2ème) dans la région
    Moyen-Orient et Afrique du Nord
    (Mena) s'agissant d'industrie pharmaceutique
    et celle de leader, au
    niveau africain, en matière de couverture
    sociale. Il a, néanmoins,
    averti contre des menaces pouvant
    empêcher le développement
    de la recherche clinique en
    Algérie, à savoir notamment la
    règle 49/51 sur les investissements
    ainsi que la conjoncture
    économique marquée par la chute
    des prix des hydrocarbures.
    La rencontre d'aujourd'hui vise
    à évaluer les récents développements
    en matière de recherche
    clinique à travers le monde, d'où la
    présence d'experts étrangers
    d'Europe, du Brésil, etc, permettant
    un échange d'expériences.
    Reda A.

    DANS LE JOURNAL LESDEBATS N° 1873 - Lundi 3 avril 2017


    une nouvelle toute fraiche pour l Algérie.

  • #2
    C'est quand mime un peu grot

    Commentaire


    • #3
      L espoir fait vivre.

      Pourtant c est pas tellement compliqué.

      Et c est a la portée.

      Mais ce sont comme toujours les " Laboratoires" qui décident.

      et

      enfin pour ne pas arriver jusque la

      https://youtu.be/V8r4hPZdQI8

      https://youtu.be/VMwReTynJrc


      ou la





      https://youtu.be/Rx3tQywZyCY



      ou encore la


      http://africa24monde.com/actualite/v...-benghazi.html



      ....

      etc
      Dernière modification par m1111, 05 avril 2017, 10h11.

      Commentaire


      • #4
        Enquête nationale sur la bio surveillance : Le danger des polluants
        La bio surveillance, une méthode de surveillance de l’exposition des populations à divers facteurs environnementaux entre autres les polluants, tel est le thème principal d’une enquête nationale qui sera lancée vendredi prochain à l’occasion de la journée mondiale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

        PUBLIE LE : 05-04-2017 | 0:00
        La bio surveillance, une méthode de surveillance de l’exposition des populations à divers facteurs environnementaux entre autres les polluants, tel est le thème principal d’une enquête nationale qui sera lancée vendredi prochain à l’occasion de la journée mondiale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

        Annoncée hier à Alger, au cours d’une conférence de presse animée par le Pr. Barkahoum Alamir, directrice générale du Centre national de toxicologie, cette enquête touchera 39 wilayas, dont chaque commune d’entre elles sera concernée. « Un enquêteur et un préleveur seront destinés pour chaque commune et un superviseur général pour chaque wilaya », a notamment déclaré la conférencière.
        Le travail mené consiste à surveiller certains effets précoces des substances chimiques sur l’organisme. Il se caractérisera par la mesure de bio marqueurs dans les liquides et les tissus biologiques (à savoir sang, urine et cheveux) qui permettront de témoigner d’une imprégnation par des substances toxiques pour la santé humaine, de détecter leurs effets précoces sur l’organisme pouvant être à l’origine d’effets sanitaires ou d’identifier une susceptibilité individuelle à ces effets.
        La conférencière a précisé : « Il y aura des prélèvements urinaires, sanguins et des cheveux. Les agents du centre national de toxicologie vont doser à leur tour les toxiques. Au total il y aura 10.000 personnes qui sont tirées au sort par l’Office national des statistiques. Les familles seront avisées deux jours avant les prélèvements et le jour du prélèvement sera un vendredi parce que tous les membres de la famille seront présents.
        Chaque vendredi deux familles seront choisies », a-t-elle ajouté. Concernant les résultats de l’enquête « la première du genre en Afrique et la 8e au monde », elle a souligné qu’ « ils serviront de base de données pour les spécialistes de la santé, notamment, les oncologues ».
        En Algérie, à ce jour, aucune étude n’a été effectuée dans la population générale à l’échelle nationale concernant la bio surveillance des métaux et métalloïdes.
        La directrice générale du Centre nationale de toxicologie a déclaré que « le but de cette étude est d’identifier les populations à risque afin d’élaborer des stratégies de lutte et prévention ciblées pour ces populations ».
        Quant à l’objectif principal du projet, la conférencière a fait remarquer que ce dernier vise à obtenir les premières données de bio surveillance représentatives de la population algérienne afin d’estimer la prévalence chez l’adulte de 15 a 74 ans et l’enfant âgés de 3 a 14 ans ayant des niveaux supérieurs aux seuils recommandés des substances chimiques de l’environnement, en première partie les métaux et métalloïdes. La première responsable du Centre national de toxicologie n’a pas omis de citer les objectifs secondaires, visés par cette étude qui peuvent aussi servir à fournir des données en santé publique pour divers objectifs spécifiques. Il s’agit entre autres de déterminer des valeurs de référence et les normes des différents métaux et métalloïdes dans les milieux biologiques (sang, urines, cheveux) chez l’enfant de 3 à 15 ans et l’adulte de 16 à 74 ans. Il y a lieu aussi d’étudier la distribution de ces différentes prévalences selon l’âge, le sexe, la région géographique (littoral, tell et steppe, Sahara) et selon le type de district (urbain ou rural), d’identifier les populations à risque : groupes de population pour lesquels les niveaux observés sont particulièrement élevés compte tenu de leur sensibilité aux toxiques (déterminants individuels : personnes âgées, femmes en âge de procréer ou enceintes…) et de déterminer les facteurs associés les plus importants des concentrations observées : facteurs de variation (alimentaires, alimentation en eau potable, environnementaux…).
        Ce travail sera réalisé en collaboration avec l’Office national des statistiques (ONS) pour la détermination de la liste des unités échantillon (méthodologie pour l’échantillonnage), identification du nombre de districts et la délimitation géographique tout en respectant la répartition en zone rurale et urbaine et le nombre des ménages desquels seront tirés les personnes âgées de 3 à 74 ans.
        La taille de l’échantillon 1.210 ménages répartis à travers le territoire national est calculée de manière à disposer d’une représentativité nationale.
        La base de sondage est constituée par l’ensemble des ménages ordinaires et collectifs recensés lors du recensement général de la population et de l’habitat réalisé en 2008.
        Wassila Benhamed

        voila un début de travail toxicologique a grande échelle.

        cela promet.

        Commentaire


        • #5
          Exposition de la population aux métaux et enquête de biosurveillance
          La premièrs prélèvements arrivent au centre national de toxicologie
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          le 09.04.17 | 12h00 Réagissez


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          Le Centre national de toxicologie à l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) a connu durant ce week-end end une activité particulière suite au lancement de la première enquête de biosurveillance de l’exposition de la population algérienne aux polluants.


          Une équipe en pleine effervescence accueille, depuis vendredi, date du lancement officiel de cette enquête qui coïncide avec la célébration de la Journée mondiale de la santé célébrée chaque année le 7 avril et placée sous le thème «La dépression, parlons-en», les prélèvements effectués dans les différents districts à travers une quinzaine de wilayas dont le but est d’identifier les populations à risque afin d’élaborer des stratégies de lutte et de prévention ciblées pour ces populations. Plus de 3000 prélèvements (sang, urine, cheveux) ont été reçus vendredi au niveau du CNT pour des examens.

          Ce qui permettra, selon le Pr Barkahoum Alamir, directrice générale du CNT, de déterminer des valeurs de référence et les normes des différents métaux et métalloïdes dans ces milieux biologiques (chez l’enfant de 3 à 15 ans et l’adulte de 16 à 74 ans). C’est aussi, a-t-elle indiqué, pour étudier la distribution de ces différentes prévalences selon l’âge, le sexe, la région géographique (littoral, Tell et steppe, Sud) et selon le type de district (urbain ou rural). C’est aussi, a-t-elle noté, pour identifier les groupes de populations pour lesquels les niveaux observés sont particulièrement élevés compte tenu de leur sensibilité aux toxiques (déterminants individuels : personnes âgées, femmes en âge de procréer ou enceintes…) et identifier les facteurs associés les plus importants des concentrations observées : facteurs de variation (alimentaires, alimentation en eau potable, environnementaux,…).

          La surveillance de l’exposition de la population à des substances chimiques à l’aide d’indicateurs biologiques (biosurveillance) intègre toutes les voies de pénétration dans l’organisme et toutes les sources d’exposition à la substance chimique. La biosurveillance prend aussi en compte les conditions réelles d’exposition. Ce qui peut conduire à émettre un signal d’alerte précoce, ou encore d’évaluer ou orienter les actions de gestion. Ces mesures sont effectuées sur des matrices biologiques ou des tissus : urine, sang, cheveux, salive…

          Le Pr Alamir souligne que ce travail a été réalisé en collaboration avec l’Office national de statistique (ONS) afin de déterminer la liste des unités échantillon (méthodologie pour l’échantillonnage), identifier le nombre de districts et les délimiter géographiquement, en respectant la répartition en zones rurale et urbaine et le nombre des ménages desquels seront tirées les personnes âgées de 3 à 74 ans.

          La taille de l’échantillon a été calculée de manière à disposer d’une représentativité nationale. La base de sondage est constituée par l’ensemble des ménages ordinaires et collectifs dénombrés lors du recensement général de la population et de l’habitat réalisé en 2008.
          La taille minimale de l’échantillon est de 1210 ménages répartis à travers le territoire national, a-t-elle ajouté. «Notre objectif principal est d’obtenir les premières données de biosurveillance représentatives de la population algérienne afin d’estimer la prévalence chez l’adulte de 15 a 74 ans et l’enfant âgé de 3 a 14 ans ayant des niveaux supérieurs aux seuils recommandés des substances chimiques de l’environnement, en premier lieu les métaux et métalloïdes», a précisé la directrice générale du CNT avant de rappeler qu'à l’échelle mondiale, plusieurs études de biosurveillance des métaux et métalloïdes ont été réalisées telles que l’étude américaine National health and nutrition examination survey (NHANES) (1999-2004), l’étude allemande German environmental survey (GerES) (2003-2004), l’étude française Exposition de la population française aux substances chimiques de l’environnement (2011) et l’étude canadienne Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS) (2007-2009).

          Le Pr Alamir a tenu à préciser que ce projet, ayant pour thème «Santé et environnement», d’une durée de 36 mois, répond à une problématique mondiale qui est la pollution de l’environnement et l’exposition permanente des êtres humains à des métaux lourds toxiques tels que le mercure, le cadmium ou le plomb.

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          Ce qui constitue de graves problèmes de santé publique qui ne cessent de prendre de l’ampleur dans le monde entier. «Les métaux et métalloïdes sont présents dans l’environnement naturellement et, du fait de leurs nombreux usages, ils peuvent alors, de manière variable selon la voie d’exposition et la forme chimique, pénétrer dans l’organisme et souvent ils s’y accumulent», a-t-elle expliqué et de noter que grâce à de nombreuses recherches scientifiques, l’exposition permanente et à petites doses de l’être humain à des métaux lourds tels que l’aluminium, le cadmium, le mercure ou le plomb est de plus en plus reconnue comme l’un des co-facteurs de certaines maladies neurologiques, cardio-vasculaires et auto-immunes. «La littérature scientifique internationale a accumulé une masse considérable de preuves attestant de l’extrême toxicité des métaux lourds pour les êtres humains. L’influence des métaux lourds, au moins en tant que co-facteur, peut être établie pour de nombreuses pathologies.» A noter que cette enquête nationale de biosurveillance des métaux et métalloïdes est une première en Algérie.


          Djamila Kourta

          ça va vite et bien.

          voici les premières actions.

          Commentaire

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