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Issad Rebrab anime une conférence à Tizi Ouzou

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  • Issad Rebrab anime une conférence à Tizi Ouzou

    Issad Rebrab a animé, ce lundi 3 avril, une conférence à l’université de Tizi Ouzou sur la « Colocalisation comme moteur du développement ». Le patron de Cevital a annoncé son intention de recruter tous les majors de promotions des deux universités de Tizi Ouzou et Béjaïa.
    « Cevital est une entreprise citoyenne et consciente de l’importance du capital humain et du génie du jeune algérien. Etudiants que vous êtes, vous ne jouez pas seulement votre avenir ici à l’université mais aussi l’avenir de votre pays. C’est pour cela que Cevital s’engage à recruter chaque année les majors de promo de l’université Mouloud Mammeri et de Béjaïa », a-t-il déclaré lors des débats qui ont suivi sa conférence.

    Issad Rebrab, intervenant devant une importante assistance venue l’écouter, a également annoncé son intention de renforcer la connexion entre son groupe et l’université. « Nous avons beaucoup de projets à développer et sur lesquels on peut travailler ensemble notamment dans la robotique et la recherche et développement », a-t-il affirmé.

    À la même occasion, le PDG de Cevital a annoncé le début d’activité de sa nouvelle grande usine Brandt de Sétif pour juin 2017 avec à la clef la production de deux millions d’articles électroménagers. « D’ici 2020 cette méga-usine, qui sera la plus grande dans le monde, produira 8 à 10 millions d’articles électroménagers dont des machines à laver, des réfrigérateurs, des téléviseurs et des cuisinières. 7 500 emplois seront créés », a-t-il expliqué.

    Interrogé par des étudiants sur la possibilité de venir en aide au club kabyle, la JSK, qui patauge dans une situation désastreuse en championnat, M. Rebrab a répondu en affirmant sa disposition à le faire mais non sans poser sa condition. « La JSK, nous n’avons jamais cessé de l’aider et nous l’aidons toujours. Nous sommes prêts à l’aider encore et à l’accompagner s’il y a des gestionnaires de qualité », a-t-il répondu à la fin de sa conférence.

    TSA
    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

  • #2
    Il parle de sa vision de L'avenir et de ses objectifs clairement et nettement, pas de zones obscures.
    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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    • #3
      Il préfère créer des emplois pour les nationaux que d'appeler des étrangers, c'est bien et encourageant , mais pourquoi seulement des majors de tizi ouzou et bédjaia
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #4
        À la même occasion, le PDG de Cevital a annoncé le début d’activité de sa nouvelle grande usine Brandt de Sétif pour juin 2017 avec à la clef la production de deux millions d’articles électroménagers. « D’ici 2020 cette méga-usine, qui sera la plus grande dans le monde, produira 8 à 10 millions d’articles électroménagers dont des machines à laver, des réfrigérateurs, des téléviseurs et des cuisinières. 7 500 emplois seront créés », a-t-il expliqué.
        rebrab est toujours aussi ambitieux ! Vivement l'ouverture de son usine de Setif.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          Le transfert de technologie, montage de roues et autres khorotologies ce n'est pas pour lui, le gars a déjà parlé de transfert technologique dans l'autre sens, càd l'exportation du savoir par le biais de produits conçus et développés à 100% en Algérie.

          Une conférence à l’université de Tizi Ouzou et non dans un quelconque palace et salon feutré, il parle aux cerveaux éveillés tel un professeur qui sait parler aux étudiants.
          Rebrab met cette place du savoir au centre de ses intérêts, il a l'attitude positive nécessaire loin de l'esprit mesquin et du syndrome du colonisé, là est toute la différence.
          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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          • #6
            okba
            le gars a déjà parlé de transfert technologique dans l'autre sens, càd l'exportation du savoir par le biais de produits conçus et développés à 100% en Algérie.
            Non !
            on en ai pas encore là, Okba !


            Cette technologie dont il a acheté les usines, il faut d'abord que les algériens se l'approprient .
            Les diplômés de l'université et ses labos de recherche peuvent en être le terrain fertile. Il est là l’enjeu premier de Rebrab.

            Il ne suffit pas d'acheter des machines à coup de milliards pour dire que "ça y est ! on a la techno qu'il nous faut !" Non Okba.
            Il faut d'abord la maitriser pour se l'approprier. Pour prétendre après pouvoir la reproduire et la faire évoluer.
            Dernière modification par Pomaria, 04 avril 2017, 12h58.
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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            • #7
              C'est un endroit qui convient à ses motivations ...s'il veut vraiment (et il le veut c'est à n'en point douter) aider la jeunesse algérienne, il n'aurait pas mieux fait que de s'adresser directement à eux...de les motive... il sait pertinemment que le savoir peut leur appartenir, et qu'il faut avant de se lancer dans de tels projets, avoir les ressources intellectuelles pour...
              Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
              9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
              ou âachra fi âaynikom

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              • #8
                le gars a déjà parlé de transfert technologique dans l'autre sens, càd l'exportation du savoir par le biais de produits conçus et développés à 100% en Algérie.
                C'est drôle cette conception algérienne du transfert de technologie qui commence toujours par le mauvais bout ! Pour être un acteur réel du monde de l'électronique il faut déjà maîtriser la base et faire comme Taïwan ou la Malaisie en commençant déjà par maîtriser la conception et la production des composants de premier niveau comme les résistances, les potentiomètres, les diodes, les leds les transistors, les circuits intégrés, ensuite les mémoires, les FPGA pour arriver à fabriquer les processeurs basique et aller plus loin ! Sinon on reste toujours un importateur et assembleur de ses composants !

                Existe-t-il en Algérie des entreprises qui conçoivent et produisent les composants de base ?

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                • #9

                  Existe-t-il en Algérie des entreprises qui conçoivent et produisent les composants de base ?
                  sonelec a été créée dans les années 70..

                  de nos jours elle s'appelle ENIE

                  http://www.enie.dz/?page_id=406

                  Commentaire


                  • #10
                    Le transfert de technologie, montage de roues et autres khorotologies ce n'est pas pour lui, le gars a déjà parlé de transfert technologique dans l'autre sens, càd l'exportation du savoir par le biais de produits conçus et développés à 100% en Algérie.

                    ?????

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                    • #11
                      Il ne suffit d'acheter des machines à coup de milliards pour dire que"ça y est ! on a la techno qu'il nous faut !" Non.
                      Il faut d'abord la maitriser pour se l'approprier puis la faire évoluer.
                      L'exemple de ce que sont devenues les rares petites entreprises laissées par les Pieds noirs en Algérie est probant. Elles ont tourné avec le matériel laissé sur place et les mêmes technologies qui au fil du temps on vu la qualité chuter puis le tout devenir obsolète. Aucune maintenance sérieuse ni avancée technologique ou souci de reconversion.

                      Le usines héritées de Brandt une fois à plein régime auront à affronter les Chinois et Sud Coréens...Pas sûr que les ingénieurs algériens soient en mesure de battre leurs collègues asiatiques .

                      TAHKOUT ou REBRAB , kif kif .

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                      • #12
                        Tu te trompes Khore !

                        Ne compare pas l'incomparable Khore .

                        le modèle socialiste de l'industrie "industrialisante" de feu boumedienne, n'est pas le même que le modèle de l'investissement privée et de l'économie de marché.
                        Avant l'entreprise publique appartenait à tout le monde, et à personne.
                        Maintenant, l'entreprise privée appartient à une ou plusieurs personne, qui feront tout pour garder leurs investissements et les faire fructifier.

                        Dans ce nouveau modèle d'usine qui est destiné à l'export:
                        - ou bien tu évolues et tu t'améliore continuellement face à la concurrence rude,
                        - ou bien tu n'y arrives pas et tu meurs par mort subite et tu perds tout, ou au mieux, d'autres te rachèteront ton outils de production, ta technologie et tes potentiels clients.
                        Dernière modification par Pomaria, 04 avril 2017, 13h16.
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                        Commentaire


                        • #13
                          @KHORE
                          Pas sûr que les ingénieurs algériens soient en mesure de battre leurs collègues asiatiques .
                          et pourquoi donc ?

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                          • #14
                            sonelec a été créée dans les années 70..

                            de nos jours elle s'appelle ENIE

                            http://www.enie.dz/?page_id=406
                            L'Enie importe des modules fabriqués en Asie qu'elle assemble ensuite sur place. Moi je te demande si il existe des entreprises algériennes qui produisent des composants électroniques comme les résistances, les diodes, les transistors ou des circuits intégrés ?

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                            • #15
                              il y a tjrs eu des composants produits à sidi bel abbes

                              En effet, et selon la même source, l’entreprise leader de l’électronique grand public en Algérie se propose de déployer une large gamme d’activités, incluant la fabrication et l’assemblage de produits répartis entre les sous-ensembles destinés à l’industrie (cartes électroniques, faisceaux de câbles, compteurs de consommation de l’énergie électrique, panneaux solaires…) et les appareils électroniques finis (téléviseurs LCD et LED , systèmes audio, lecteurs DVD, PC, modems ADSL, lecteurs de cartes magnétiques et à puce, terminaux de paiement …) ainsi que tous les services de développement électronique se rapportant à la réalisation de schémas de principe et la conception de prototypes.

                              S’agissant du renouvellement des équipements de son complexe électronique devenus pratiquement obsolètes malgré le capital savoir-faire de son collectif, l’Enie annonce la création prochaine d’une nouvelle usine de circuits imprimés multicouches ainsi que la modernisation totale des chaînes de fabrication et de montage des produits prévus par le plan de production de l’entreprise.
                              https://bel-abbes.info/lentreprise-v...ions-de-lenie/

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