Publié le : mardi 4 avril
L’article qui suit, basé sur les « informations » de l’AFP, n’a aucune crédibilité. Pour une raison évidente et tristement récurrente : la source, le soi-disant « Observatoire syrien des droits de l’homme » (OSDH), travaille contre l’État syrien depuis le début du conflit, tentant par tous les moyens de le faire passer pour l’oppresseur sanguinaire.
Dans ce récit d’attaque chimique, dont le bilan s’élèverait déjà à plus de 100 morts, on notera aussi la présence de personnages déjà rencontrés auparavant : les « Casques blancs ». Ces alliés des djihadistes et professionnels de la manipulation ont récemment été adoubés par Hollywood – l’industrie du spectacle sait reconnaître les siens. Pour autant, aucun journaliste de la presse mainstream ne doutera (en public) du bien-fondé des informations diffusées par ces sources ; car s’il doutait, il ne serait plus en poste.
Reprise par toutes les chancelleries et par la presse aux ordres, cette histoire rappelle bien sûr l’offensive politico-médiatique qui avait suivi l’attaque de la Ghouta en 2013. Ce que ni l’article ci-dessous ni les chefs d’État ne diront, c’est que selon l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC/OPWC) et le Massachussets Institute of Technology (MIT), peu suspects de sympathies pro-Assad, le « régime syrien » n’était pas l’auteur de l’attaque.
Quatre ans de réinformation plus tard, la propagande du Système prendra-t-elle ?
- La rédaction d’E&R
egaliteetreconciliation
L’article qui suit, basé sur les « informations » de l’AFP, n’a aucune crédibilité. Pour une raison évidente et tristement récurrente : la source, le soi-disant « Observatoire syrien des droits de l’homme » (OSDH), travaille contre l’État syrien depuis le début du conflit, tentant par tous les moyens de le faire passer pour l’oppresseur sanguinaire.
Dans ce récit d’attaque chimique, dont le bilan s’élèverait déjà à plus de 100 morts, on notera aussi la présence de personnages déjà rencontrés auparavant : les « Casques blancs ». Ces alliés des djihadistes et professionnels de la manipulation ont récemment été adoubés par Hollywood – l’industrie du spectacle sait reconnaître les siens. Pour autant, aucun journaliste de la presse mainstream ne doutera (en public) du bien-fondé des informations diffusées par ces sources ; car s’il doutait, il ne serait plus en poste.
Reprise par toutes les chancelleries et par la presse aux ordres, cette histoire rappelle bien sûr l’offensive politico-médiatique qui avait suivi l’attaque de la Ghouta en 2013. Ce que ni l’article ci-dessous ni les chefs d’État ne diront, c’est que selon l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC/OPWC) et le Massachussets Institute of Technology (MIT), peu suspects de sympathies pro-Assad, le « régime syrien » n’était pas l’auteur de l’attaque.
Quatre ans de réinformation plus tard, la propagande du Système prendra-t-elle ?
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