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Stress : les femmes seraient moins sensibles !

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  • Stress : les femmes seraient moins sensibles !

    D'après une étude récente, publiée par des chercheurs suisses, contrairement à ce qui était communément admis jusqu'ici, les femmes seraient en fait moins susceptibles de craquer à cause du stress que les hommes...
    En compétition, les femmes perdent moins leurs moyens que les hommes
    Explication ? Les femmes ont moins l'esprit de compétition que les hommes, ce qui leur permet, par la force des choses, de moins subir les conséquences du stress auto-induit. Pour le démontrer, des chercheurs ont suivi plus de 4 000 matches de tennis féminin professionnels (Us Open, Wimbledon, Roland Garros..., et ont comparé les résultats recueillis lors de l'étude de ces matches avec autant d'affrontements entre joueurs professionnels masculins, toujours dans des tournois internationaux.
    Ils ont en particulier comparé les données recueillies lors des phases de jeu tendues, lorsque les deux joueurs se retrouvent à 4 jeux partout, et que le set peut basculer d'un côté ou de l'autre. Et derrière, le match.
    Résultat de leurs comparaisons : contrairement aux hommes, qui semblent perdre leurs moyens lorsqu'ils sont confrontés au stress provoqué par le risque de perdre le set ou la partie, les joueuses féminines semblent plus sereines ! En particulier, lors de ces phases de jeu, les hommes sont plus nombreux à rater leurs services, alors que chez les femmes, rien n'indique de perte de moyens et de self-control.

    Fuite, évitement : efficace pour limiter le stress

    Cette étude, qui porte cependant exclusivement sur une forme de stress précis et ponctuel, remet en tout cas en cause de nombreux travaux qui jusqu'ici expliquaient que le corps féminin était génétiquement plus sensible aux hormones du stress, comme le cortisol, amplifiant notamment les risques cardio-vasculaires induits.
    Il n'empêche que les travaux des chercheurs de l'université de Saint-Gall montrent de manière concrète que les hommes et les femmes, à situation équivalente, ne réagissent pas de la même manière. Et que dans certains cas, les réactions féminines habituelles, notamment de fuite ou d'évitement, peuvent être des atouts, quand la réaction virile classique, à savoir, l'affrontement, peut au contraire faire perdre leurs moyens aux descendants de l'homo sapiens chasseur...
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