Dans un entretien à nos confrères d’El Watan, Jean-Christophe Quémard, Directeur Afrique et Moyen-Orient du groupe PSA, est revenu sur les déclarations du Premier ministre Abdelmalek Sellal annonçant la finalisation du projet PSA pour cette année.
C’est un grand "ouf" de soulagement qui se dégage des déclarations du patron de la zone Afrique-Moyen-Orient chez PSA à l’issue de la conférence de presse conjointe entre le Premier ministre Abdelmalek Sellal et son homologue français Bernard Cazeneuve.
En effet, pour Quémard, "entendre le Premier ministre Algérien déclarer que le projet de l’usine PSA sera finalisé cette année et prononcer les mots engagement et garantie est un moment fort" avant d’ajouter que nous avons là " quelque chose de public et de puissant". Jean Christophe Quémard, tout en avouant une petite frustration de ne pas avoir signé durant cette visite, déclare que "l’Algérie est un pays souverain. C’est une décision importante et il appartient aux instances gouvernementales de décider du moment. Ça ne l’a pas été aujourd’hui lors de la visite de Bernard Cazeneuve, ça le sera pour un autre jour. Maintenant, c’est une question de maîtrise du temps politique, et si le Premier ministre souhaite que l’on soit patients, on sera patients. Une fois de plus, je vois cela comme une bonne nouvelle".
Auto Algérie
C’est un grand "ouf" de soulagement qui se dégage des déclarations du patron de la zone Afrique-Moyen-Orient chez PSA à l’issue de la conférence de presse conjointe entre le Premier ministre Abdelmalek Sellal et son homologue français Bernard Cazeneuve.
En effet, pour Quémard, "entendre le Premier ministre Algérien déclarer que le projet de l’usine PSA sera finalisé cette année et prononcer les mots engagement et garantie est un moment fort" avant d’ajouter que nous avons là " quelque chose de public et de puissant". Jean Christophe Quémard, tout en avouant une petite frustration de ne pas avoir signé durant cette visite, déclare que "l’Algérie est un pays souverain. C’est une décision importante et il appartient aux instances gouvernementales de décider du moment. Ça ne l’a pas été aujourd’hui lors de la visite de Bernard Cazeneuve, ça le sera pour un autre jour. Maintenant, c’est une question de maîtrise du temps politique, et si le Premier ministre souhaite que l’on soit patients, on sera patients. Une fois de plus, je vois cela comme une bonne nouvelle".
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