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Djamel Lagha, ressortissant algérien établi à Marseille, âgé de 43 ans, a trouvé la mort, ce samedi, dans des circonstances mystérieuses.
Selon les membres de sa famille, le quadragénaire qui travaillait dans une boucherie certifiée « Halal », sise dans le 7e département, avait reçu plusieurs coups de poignard au niveau de sa poitrine, accompagnés de différentes égratignures ayant marqué son visage, et a notamment été jeté du 14eme étage d’un immeuble sis dans le même département.
La victime, et dans les premières heures de ce samedi, a été retrouvée gisant dans une mare de sang, avant qu’elle soit évacuée dans un hôpital. Sa famille, profondément endeuillée, attend le rapport du médecin légiste ainsi les résultats de l’enquête menée par la police française, prévues ce lundi.
Ce crime a suscité beaucoup d’émoi et de chagrin auprès de ses proches à Khenchla, d’autant plus que la victime procédait souvent à des actions humanitaires.
«C’était un Ange, il n’a pas hésité à ouvrir les portes de son domicile à ses compatriotes, il prenait les malades de sa ville en charge », témoigne un proche.
Djamel a laissé derrière lui trois enfants ainsi qu’une femme enceinte.
Echorouk
Selon les membres de sa famille, le quadragénaire qui travaillait dans une boucherie certifiée « Halal », sise dans le 7e département, avait reçu plusieurs coups de poignard au niveau de sa poitrine, accompagnés de différentes égratignures ayant marqué son visage, et a notamment été jeté du 14eme étage d’un immeuble sis dans le même département.
La victime, et dans les premières heures de ce samedi, a été retrouvée gisant dans une mare de sang, avant qu’elle soit évacuée dans un hôpital. Sa famille, profondément endeuillée, attend le rapport du médecin légiste ainsi les résultats de l’enquête menée par la police française, prévues ce lundi.
Ce crime a suscité beaucoup d’émoi et de chagrin auprès de ses proches à Khenchla, d’autant plus que la victime procédait souvent à des actions humanitaires.
«C’était un Ange, il n’a pas hésité à ouvrir les portes de son domicile à ses compatriotes, il prenait les malades de sa ville en charge », témoigne un proche.
Djamel a laissé derrière lui trois enfants ainsi qu’une femme enceinte.
Echorouk
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