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Elles voulaient vivre en femme libres… alors elles ont créé un village interdit aux hommes !

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  • Elles voulaient vivre en femme libres… alors elles ont créé un village interdit aux hommes !

    Dans cette communauté unique au monde, les femmes vivent à l'abri de la loi des hommes. Elles y découvrent l'autonomie, la sécurité... et la prospérité

    Le village d’Umoja, au Kenya, est un cas unique au monde : les hommes y sont interdits ! C’est un refuge réservé à toutes les femmes décidées à ne plus vivre sous la domination des lois patriarcales. Bienvenue dans une communauté à la pointe du féminisme, hors du commun.



    La première maison du village d’Umoja, est sortie de terre en 1990. Elle a été construite par Rebecca Lolosoli. A l’époque, la jeune femme sortait de l’hôpital après avoir été agressée par des hommes et elle avait décidé, avec une poignée d’autres femmes, de bâtir un sanctuaire duquel serait exclu tous les représentants du « sexe fort ». Depuis, elles sont une cinquantaine à y mener leur vie comme elles l’entendent.

    « Dehors, les femmes suivent la loi des hommes donc rien ne peut changer pour elles. Les femmes d’Umoja, elles, sont libres. »

    Pire encore, les filles y seraient souvent, dès leur plus jeune âge,“réservées” à des hommes plus vieux qu’elles.

    Quant aux mutilations génitales et aux violences sexuelles, elles seraient assez courantes (tandis que l’éducation et la scolarisation seraient largement négligées.)

    Voilà pourquoi Rebecca Lolosoli a eu l’idée du village d’Umoja, la commune exclusivement réservées aux femmes. Et figurez-vous que les villageoises se portent comme un charme et s’en sortent très très bien !

    Elles gagnent de l’argent grâce aux bijoux vendus aux touristes, se nourrissent grâce au bétail, s’instruisent grâce à une école… et ont même des tas d’enfants grâce aux hommes que ce village fascine. Les rencontres et les relations avec la gent masculine n’étant absolument pas proscrites… tant qu’elles se déroulent à l’extérieur d’Umoja.

    Cerise sur le gâteau, les anciennes d’Umoja seraient en train, peu à peu, d’instaurer une organisation politique parfaitement démocratique et collaborative. Histoire que le village vive sereinement sans rien avoir à attendre des autorités étatiques !

    Alors, bien sûr, une vie harmonieuse entre des hommes et des femmes au sein d’un même village serait sans doute préférable à ce type de communauté qui tend à séparer les uns des autres. Mais, en attendant que les mentalités changent, au moins, des femmes peuvent grandir en paix, vivre en bonne santé, et goûter à l’autonomie. Ce qui pourrait, justement, accélérer ce changement de mentalité tant espéré.

    Et puis, ne stigmatisons pas le Kenya : l’occident, dont la France, compte également de nombreux refuges destinés aux femmes victimes de la violence des hommes !

    Avec son village, Rebecca Lolosoli change la vie des femmes. Mine de rien, il y a un mot pour ce genre d’initiatives… On appelle ça une révolution !

    Positivr

  • #2
    Elles gagnent de l’argent grâce aux bijoux vendus aux touristes, se nourrissent grâce au bétail, s’instruisent grâce à une école… et ont même des tas d’enfants grâce aux hommes que ce village fascine. Les rencontres et les relations avec la gent masculine n’étant absolument pas proscrites… tant qu’elles se déroulent à l’extérieur d’Umoja.
    excuse-moi, mais ça fait très gourgandine...

    je boss à côté de la gare ici... il y a une sorte de maison juste à côté, bien entretenue et tout...où des prostit' ont établi domicile, leur jardin est propre, ça donne carrément envie de manger avec elles le midi etc... et idem, il y a deux enfants en bas age... elles sortent pour avoir "leurs vie" et rentre à la maison "interdit aux hommes"...

    Vivre en femme libre, ce n'est pas s'extirper du monde mixte, c'est s'y affirmer à l'intérieur.
    Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
    9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
    ou âachra fi âaynikom

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    • #3
      Et elles en font quoi de leurs bébés masculin ? ( Par ce qu'elles doivent bien en avoir à force )

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      • #4
        Comme quoi les saoudiens sont des génies incompris
        La postérité leur rendra hommage plus tard

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        • #5
          les saoudiens sont des génies incompris
          Ridicule !

          Les seules qui soient incomprises, ce sont les femmes mauritaniennes qui ont su conserver la Tradition matrimoniale des femmes berbères authentiques.

          Quiconque pense autrement, se rebelle contre sa propre mère et ses éventuelles soeurs !
          Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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          • #6
            On peut vivre libre sans avoir à s'isoler du monde.
            « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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            • #7
              Ridicule !

              Les seules qui soient incomprises, ce sont les femmes mauritaniennes qui ont su conserver la Tradition matrimoniale des femmes berbères authentiques.


              Que tu sois fâché avec le second degrés, why not
              Mais que tu tentes de me donner des leçons de culture amazigh.... La tu pousses le bouchon trop loin

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