Tweet
Ce matin en jardinant tout en écoutant de la musique, écouteurs aux oreilles. Forcément ! ils ne se mettent pas sur les yeux ! Il est quand même bon de le préciser, car j'ai vu une fois un jeune, chez nous qui dit jeune, dit jeune homme à f'hama mi-cuite, roulant les mécaniques écouteurs en bandoulière. "Wach fiha !", me dira-t-on. Khatini, les "dira-t-on" ! je suis plutôt "qil wal qal".
Circulez,Yarham el waldin.
Concentrée à bichonner mes plantes et à leur fredonner l'air de la chanson que j'écoutais, j'entendis soudainement venant du jardin d'à côté, la voix de la voisine.
D'habitude, quand je l'entends parler, je bouche les oreilles, j'entre dans la maison et je ferme les fenêtres pour ne pas subir sa stridente voix.
Mais, ce matin, c'était différent, elle se disputait avec son mari. La curiosité n'a pas hésité, elle a envahi tous les composants chimiques de mon corps. Deçà, delà, n'omettant nul organe. Les enfants du laboureur n'avaient qu'à aller creuser, fouiller, bêcher à Djbel Koukou.
Win djay ? Chouf avec Google Maps.
J'ai enlevé mes écouteurs pour entendre ce qu'elle lui disait. Comme, j'ignorais le sujet et que j'avais raté l'introduction, j'ai dû écouter un bon moment pour comprendre de quoi il retournait.
Déception ! Je pensais détenir un scoop. I3azini ! Tout ce tewqab, cette concentration pour une histoire de clés de voiture ! Quelle banalité !
Ce n'était pas gentil de leur part. Ils auraient pu trouver un autre sujet de dispute : une infidélité, un licenciement, une faillite, un divorce, que sais-je!
Monsieur et Madame se disputaient car monsieur le mari n'arrivait à trouver les clés de la voiture.
Elle, madame l'épouse lui reprochait d'être désordonné, lui rappelait une histoire d'une chaussette qu'il aurait mise dans la poche de son jeans et qui aurait déteint sur les autres vêtements qui étaient dans la machine à laver.
Lui, surpris qu'elle n'ait pas fouillé dans la poche du jeans comme elle avait l'habitude de fouiller dans ses affaires.
Moi,leur voisine déçue, je rageais dans mon coin. Ennass twaqeb 3la hajette kbar, wa ana n'waqab 3la taqchira. Tbahdila !
Makhlouqiate
Samedi le 15 avril 2017
Et vous, chantez-vous à vos plantes quand vous les soignez ?
Circulez,Yarham el waldin.
Concentrée à bichonner mes plantes et à leur fredonner l'air de la chanson que j'écoutais, j'entendis soudainement venant du jardin d'à côté, la voix de la voisine.
D'habitude, quand je l'entends parler, je bouche les oreilles, j'entre dans la maison et je ferme les fenêtres pour ne pas subir sa stridente voix.
Mais, ce matin, c'était différent, elle se disputait avec son mari. La curiosité n'a pas hésité, elle a envahi tous les composants chimiques de mon corps. Deçà, delà, n'omettant nul organe. Les enfants du laboureur n'avaient qu'à aller creuser, fouiller, bêcher à Djbel Koukou.
Win djay ? Chouf avec Google Maps.
J'ai enlevé mes écouteurs pour entendre ce qu'elle lui disait. Comme, j'ignorais le sujet et que j'avais raté l'introduction, j'ai dû écouter un bon moment pour comprendre de quoi il retournait.
Déception ! Je pensais détenir un scoop. I3azini ! Tout ce tewqab, cette concentration pour une histoire de clés de voiture ! Quelle banalité !
Ce n'était pas gentil de leur part. Ils auraient pu trouver un autre sujet de dispute : une infidélité, un licenciement, une faillite, un divorce, que sais-je!
Monsieur et Madame se disputaient car monsieur le mari n'arrivait à trouver les clés de la voiture.
Elle, madame l'épouse lui reprochait d'être désordonné, lui rappelait une histoire d'une chaussette qu'il aurait mise dans la poche de son jeans et qui aurait déteint sur les autres vêtements qui étaient dans la machine à laver.
Lui, surpris qu'elle n'ait pas fouillé dans la poche du jeans comme elle avait l'habitude de fouiller dans ses affaires.
Moi,leur voisine déçue, je rageais dans mon coin. Ennass twaqeb 3la hajette kbar, wa ana n'waqab 3la taqchira. Tbahdila !
Makhlouqiate
Samedi le 15 avril 2017
Et vous, chantez-vous à vos plantes quand vous les soignez ?
Commentaire