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Il semble que le récent rapport sur le Sahara distribué par les services du Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres aux membres du Conseil de sécurité n’a pas plu au Polisario. Celui-ci vient de réagir par la voix de l’un des ses dirigeants qui a déclaré refuser catégoriquement que ses milices se retirent de la zone d’El Guerguarat. « Nous y sommes et nous y resterons », répètent en choeur tous les leaders de l’organisation séparatiste. Mais, cette position n’aurait pas pu être exprimée si fort par le Polisario s’il n’y avait pas une instigation implicite de la part de l’Algérie qui n’a pas apprécié non plus la teneur dudit rapport.
En effet, toutes les attentes d’Alger sont tombées à l’eau, notamment son espoir de voir inclure la question des droits de l’Homme dans les prérogatives de la MINURSO. De même que ce rapport exige le retrait du Polisario de la zone sus-indiquée à l’instar de l’initiative marocaine très appréciée par l’ONU.
Et pour conclure, le rapport insiste sur l’exploration d’autres voies pour une solution politique, juste, durable et mutuellement acceptée, notamment en examinant les options et les manières d’interprétation du principe de l’autodétermination. Ce qui revient à dire que le rejet du seul choix du référendum a été réitéré et que la proposition marocaine de l’autonomie élargie est mise à l’ordre du jour.
D’ailleurs, le Polisario qui n’arrive pas à avaler la pilule, s’est exprimé là dessus avec beaucoup de réserve en se disant satisfait de l’intérêt que porte le nouveau Secrétaire général de l’ONU à l’affaire du Sahara, notamment pour arracher des concessions réciproques de la part des parties en conflit. On s’en doute bien, c’est juste du bout des lèvres que les leaders de ce qui reste du Polisario expriment leur approbation, en attendant d’autres consignes de la part des hauteurs d’Alger.
Berahim Ghali: T.J
En effet, toutes les attentes d’Alger sont tombées à l’eau, notamment son espoir de voir inclure la question des droits de l’Homme dans les prérogatives de la MINURSO. De même que ce rapport exige le retrait du Polisario de la zone sus-indiquée à l’instar de l’initiative marocaine très appréciée par l’ONU.
Et pour conclure, le rapport insiste sur l’exploration d’autres voies pour une solution politique, juste, durable et mutuellement acceptée, notamment en examinant les options et les manières d’interprétation du principe de l’autodétermination. Ce qui revient à dire que le rejet du seul choix du référendum a été réitéré et que la proposition marocaine de l’autonomie élargie est mise à l’ordre du jour.
D’ailleurs, le Polisario qui n’arrive pas à avaler la pilule, s’est exprimé là dessus avec beaucoup de réserve en se disant satisfait de l’intérêt que porte le nouveau Secrétaire général de l’ONU à l’affaire du Sahara, notamment pour arracher des concessions réciproques de la part des parties en conflit. On s’en doute bien, c’est juste du bout des lèvres que les leaders de ce qui reste du Polisario expriment leur approbation, en attendant d’autres consignes de la part des hauteurs d’Alger.
Berahim Ghali: T.J