L’avocat Salah Dabouz a entamé, aujourd’hui samedi, une marche à partir de la prison d’El Harach à Alger vers la prison de Laghouat (400 km) pour exiger la libération de Kamel-Eddine Fekhar et de 36 autres mozabites emprisonnés dans le sillage des derniers événements sanglants de Ghardaïa.
Me Dabouz, avocat de Fekhar, a été accompagné à son départ par le journaliste Meziane Abane, et sera rejoint plus tard par d’autres citoyens dont le militant Hakim Addad.
Des citoyens, réunis hier vendredi à Alger, ont annoncé la création d’un Comité national pour la libération des détenus politiques et d’opinion. Le comité a décidé de rejoindre la marche annoncée préalablement par Salah Dabouz. Il a été décidé en outre d’entamer une grève de la faim au siège du MDS à partir de demain 16 avril. Il s’agit d’un « appel ouvert à tous les citoyens », a expliqué Hakim Addad dans une déclaration à Elwatan.com.
Kamel-Eddine Fekhar, leader du Mouvement pour l’autonomie du M’Zab (Ghardaïa), détenu dans la prison de Laghouat, est en grève de la faim depuis 104 jours.
Outre les détenus Mozabites, plusieurs Algériens ont été condamnés par la justice et jetés en prison pour avoir manifesté dans la rue ou tout simplement parce qu’ils ont exprimé leurs opinions religieuses et politiques sur les réseaux sociaux.
El Watan
Me Dabouz, avocat de Fekhar, a été accompagné à son départ par le journaliste Meziane Abane, et sera rejoint plus tard par d’autres citoyens dont le militant Hakim Addad.
Des citoyens, réunis hier vendredi à Alger, ont annoncé la création d’un Comité national pour la libération des détenus politiques et d’opinion. Le comité a décidé de rejoindre la marche annoncée préalablement par Salah Dabouz. Il a été décidé en outre d’entamer une grève de la faim au siège du MDS à partir de demain 16 avril. Il s’agit d’un « appel ouvert à tous les citoyens », a expliqué Hakim Addad dans une déclaration à Elwatan.com.
Kamel-Eddine Fekhar, leader du Mouvement pour l’autonomie du M’Zab (Ghardaïa), détenu dans la prison de Laghouat, est en grève de la faim depuis 104 jours.
Outre les détenus Mozabites, plusieurs Algériens ont été condamnés par la justice et jetés en prison pour avoir manifesté dans la rue ou tout simplement parce qu’ils ont exprimé leurs opinions religieuses et politiques sur les réseaux sociaux.
El Watan
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