Répondant à l'appel de Marwan Barghouti, le leader du Fatah de Cisjordanie emprisonné, ils entendent protester contre les «mauvais traitements» infligés par l'administration pénitentiaire.
A l’appel de Marwan Barghouti, le leader du Fatah de Cisjordanie condamné par la justice israélienne à cinq peines de prison à vie pour avoir commandité vingt-six attentats durant la deuxième intifada (7 morts), les prisonniers palestiniens détenus dans l’Etat hébreu ont entamé dimanche une grève de la faim. Selon l’administration pénitentiaire israélienne (Shabas), 1 187 des 6 200 «terroristes ayant du sang sur les mains» affilés au Fatah et au Hamas participent au mouvement.
Issa Karakeh, responsable du dossier des prisonniers au sein de l’Autorité palestinienne (AP) affirme, lui, qu’ils seraient 1 300. Quant au «Club des prisonniers», une ONG palestinienne veillant sur les familles de prisonniers, il cite le chiffre de 1 600.
Pour l’heure, les principaux centres de la grève sont les prisons de Gilboa, d’Hadarim, d’Ashkelon, de Ketziot (l’un des établissements les plus durs situé dans le désert du Néguev) et de Ramon. «Mais le mouvement va s’étendre au fil des jours et il durera autant qu’il le faudra», promet Karakeh.
A l’appel de Marwan Barghouti, le leader du Fatah de Cisjordanie condamné par la justice israélienne à cinq peines de prison à vie pour avoir commandité vingt-six attentats durant la deuxième intifada (7 morts), les prisonniers palestiniens détenus dans l’Etat hébreu ont entamé dimanche une grève de la faim. Selon l’administration pénitentiaire israélienne (Shabas), 1 187 des 6 200 «terroristes ayant du sang sur les mains» affilés au Fatah et au Hamas participent au mouvement.
Issa Karakeh, responsable du dossier des prisonniers au sein de l’Autorité palestinienne (AP) affirme, lui, qu’ils seraient 1 300. Quant au «Club des prisonniers», une ONG palestinienne veillant sur les familles de prisonniers, il cite le chiffre de 1 600.
Pour l’heure, les principaux centres de la grève sont les prisons de Gilboa, d’Hadarim, d’Ashkelon, de Ketziot (l’un des établissements les plus durs situé dans le désert du Néguev) et de Ramon. «Mais le mouvement va s’étendre au fil des jours et il durera autant qu’il le faudra», promet Karakeh.
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