Le temps n’en finit pas glissant sur tes silences
M’impose, chaque jour, le vide de l’absence.
Et l’amour débordant qui n’appartient qu’à toi
M’étouffe dans l’instant et me laisse sans voix.
Je ne sais si hurler calmerait ma souffrance
J’ai choisi de me taire et mêler mon silence
À celui qui s’endort au gouffre de l’absence.
Les nuits qui nous éloignent mesurent la distance
Tu es parti si loin que se meurt l’espérance
De te croiser encore, là où nous étions deux
Je suis seul désormais, poursuivant mon errance
Je cherche ton image dans un coin de ciel bleu.
Plus rien de cette vie, ne sera ton murmure
Et seul, chante le vent, parfois dans la ramure
Là je te cherche encore, quand survient la démence
Je te surprends au seuil d’un monde d’espérances.
Comment imaginer plus jamais moi sans toi ?
Comment goûter la vie, quand j’ignore la tienne
De tous nos souvenirs, faudrait qu’il t’en souvienne
Que nous ne faisions qu‘un, quand l’amour faisait foi.
La vie est à demi, puisqu’il me faut survivre
Jusqu‘à ce jour béni qui enfin me délivre
Et sur ce dernier quai, lèger de tout bagage
Le train me portera dans l’ultime voyage.
Le cœur à bout de bras, c’est l’amour que je porte
Tu seras devant moi, et le reste qu’importe
Me suffira l’étreinte, même s’il n’est est qu’une
Comme un baiser volé un soir de pleine lune.
Revivre ta présence sous la voûte étoilée
Revivre sans l’absence Toi et Moi à jamais
Revivre là où tu es…
Karmanda Maghi 18 Juillet 2016 TDR ©
Illustré: toile de M. Zilberman " songe d'une nuit d'été"
M’impose, chaque jour, le vide de l’absence.
Et l’amour débordant qui n’appartient qu’à toi
M’étouffe dans l’instant et me laisse sans voix.
Je ne sais si hurler calmerait ma souffrance
J’ai choisi de me taire et mêler mon silence
À celui qui s’endort au gouffre de l’absence.
Les nuits qui nous éloignent mesurent la distance
Tu es parti si loin que se meurt l’espérance
De te croiser encore, là où nous étions deux
Je suis seul désormais, poursuivant mon errance
Je cherche ton image dans un coin de ciel bleu.
Plus rien de cette vie, ne sera ton murmure
Et seul, chante le vent, parfois dans la ramure
Là je te cherche encore, quand survient la démence
Je te surprends au seuil d’un monde d’espérances.
Comment imaginer plus jamais moi sans toi ?
Comment goûter la vie, quand j’ignore la tienne
De tous nos souvenirs, faudrait qu’il t’en souvienne
Que nous ne faisions qu‘un, quand l’amour faisait foi.
La vie est à demi, puisqu’il me faut survivre
Jusqu‘à ce jour béni qui enfin me délivre
Et sur ce dernier quai, lèger de tout bagage
Le train me portera dans l’ultime voyage.
Le cœur à bout de bras, c’est l’amour que je porte
Tu seras devant moi, et le reste qu’importe
Me suffira l’étreinte, même s’il n’est est qu’une
Comme un baiser volé un soir de pleine lune.
Revivre ta présence sous la voûte étoilée
Revivre sans l’absence Toi et Moi à jamais
Revivre là où tu es…
Karmanda Maghi 18 Juillet 2016 TDR ©
Illustré: toile de M. Zilberman " songe d'une nuit d'été"
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