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Schizophrénie: Près d’un demi million de cas enregistrés en Algérie

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  • Schizophrénie: Près d’un demi million de cas enregistrés en Algérie

    Plus 400 mille cas de schizophrénie recensés en Algérie, soit 1% de la population, a indiqué mardi, Mohamed Taieb Ben Othmane, chef de service de psychiatrie à l’hôpital Mustapha Bacha.

    Contrairement à d’autres pays, même ceux du tiers-monde, le professeur a constaté que la maladie est en nette augmentation, en raison de différents facteurs.

    La schizophrénie est une maladie mentale dont le malade n’est pas conscient, elle se caractérise par la perte du contact avec la réalité et par des troubles plus ou moins graves de la personnalité .

    alg24
    L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

  • #2
    salam molker

    waooo ?!

    +400 mille cas de schizophrénie? 1% de la population
    c'est pas un peu beaucoup par rapport la normale ??

    ce taux est de combien dans le monde ?
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

    Commentaire


    • #3
      Salut Pom!

      En Algérie ,Djabli rabi ,il est sous estimé ,on est tous plus ou moins schizo
      L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

      Commentaire


      • #4
        molker
        on est tous plus ou moins schizo
        surtout nous sur ce forum ! ha ha ha !

        d'où vienne ces chiffres ? Est ce du ministère de la santé ?

        ou est ce juste une estimation à la louche ?
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5


          molker un peu de folie c'est beau et me convient je te jure c'est même vitale pour moi sinon je suis paralysé par les soient disant sérieuses ou sérieux

          mais bon là tu parles probablement d'autre chose

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          • #6
            Azul Molker

            Plus 400 mille cas de schizophrénie recensés en Algérie, soit 1% de la population, a indiqué mardi, Mohamed Taieb Ben Othmane, chef de service de psychiatrie à l’hôpital Mustapha Bacha.

            Contrairement à d’autres pays, même ceux du tiers-monde, le professeur a constaté que la maladie est en nette augmentation, en raison de différents facteurs.
            Souci pour ce professeur c'est que son service n'est pas recensé sur le site du CHU et que son nom n'y figure pas
            http://www.chu-mustapha.dz/offre-de-soins/les-services/

            Il faudrait d'ailleurs qu'il explique comment il a fait son étude et où. Vu que la population algérienne n'a pas confiance dans ses hôpitaux et que les urgences de Mustapha Bacha montre que les schyzo sont à l'intérieur. Le nom de ce médecin ne figurant nul part, ne serait-il pas un peu schyzo et même mythomane ?
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              zwina ça fait peur un peu

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              • #8
                Azul Aloha

                Effectivement ça fait peur qu'un "journal" diffuse un tel article et que les lecteurs soient obligés de vérifier. Pas de psychiatre se nommant Mohamed Taieb ben Othman, par contre Mohamed Taleb est un psychiatre connu puisqu'il présidait une association de psychiatres franco maghrébin. J'avais fait une mission auprès de psychiatres il y a quelques temps, c'est comme ça que je me suis aperçue que certains étaient plus dérangés que les patients. Certains exercent même sans avoir le moindre diplôme ni la moindre compétence. Le "journaliste" a peut être rencontré l'un d'entre eux. D'après les dernières études de Cheraga, les algériens souffrent surtout de dépression, pas de schizophrénie. L'Algérie n'est d'ailleurs pas le seul pays concerné, le phénomène est mondial.
                Dernière modification par zwina, 18 avril 2017, 21h16.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  les Macgyver les raqi il y de tout

                  Mais sérieusement je fais très attention tout de même particulièrement car je ne connais pas trop les codes ni l'ampleur de ceux qui prennent des cachets surtout un jour j'ai demandé à un marchand d’œufs de me renseigner si les œufs étaient fraiches il allait devenir fou il n'a pas apprécié j'ai passé un temps fou à lui expliquer que j'ai besoin de savoir c'est tout et que j'achèterais ses œufs ... j'ai eu peur j'ai peur de beaucoup de monde on ne sait jamais à qui on a affaire surtout que je suis seul

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                  • #10
                    L'Algérie n'est d'ailleurs pas le seul pays concerné, le phénomène est mondial.
                    On estime qu’environ 1% de la population de certains pays est atteinte de schizophrénie, cela représente par ex:
                    – en France, environ 630’000 personnes;
                    – en Suisse, environ 75’000 personnes;
                    – au Canada, 234’305 personnes (selon des statistiques de 2006, source: passeportsante.net). Dans le monde, l’OMS estime que ce trouble mental grave affecte 24 millions de personnes (chiffres 2011). Soit environ 0.3% de la population mondiale.

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                    • #11
                      Azul Mohoo

                      – en France, environ 630’000 personnes;
                      – en Suisse, environ 75’000 personnes;
                      – au Canada, 234’305 personnes
                      Dans ces pays, il y a des structures et des associations pour faire des études sérieuses permettant la prise en charge des malades. Mais en Algérie, rien n'existe permettant de faire une étude reflétant l'étendue de la schizophrénie. En France, quelqu'un dirait que les murs ont des oreilles sera considéré comme parano donc schizo, alors qu'en Algérie ce ne sera pas le cas. La plupart des réfugiés en provenance d'Afrique ou de Syrie sont paranoïaques, ils ont traversé des situations périlleuses qui les ont mentalement fragilisé. ils sont désignés comme schizo alors qu'en réalité c'est du stress post traumatique. Ils se retrouvent avec des traitements médicamenteux lourds alors que les psy savent que ces traitements ont des effets secondaires importants qui peuvent être pire que le mal. C'est ainsi que les urgences de certains hôpitaux se retrouvent avec des patients agités parfois agressifs qui ont stoppé leur traitement sans informer leur médecin et se retrouvent en état de manque.
                      Dernière modification par zwina, 18 avril 2017, 22h20.
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #12
                        « L’on estime globalement que près de 1% d’une population en est atteinte. Ce chiffre est universel, sous toutes les latitudes et dans tous les contextes », explique le Pr Tedjiza, chef du service psychiatrie à l’hôpital Drid Hocine et président de la Société médico-psychologique algérienne. Seulement, ce pourcentage, en Algérie, ne représente que les formes graves de la maladie. « Lorsqu’on parle de schizophrénie, l’on juge qu’il y a un recul séculaire partout ailleurs dans le monde avec des formes bénignes, même dans les pays du tiers-monde. Mais en Algérie, cette assertion n’est pas vérifiée car nous ne disposons pas d’assez de recul », analyse le professeur. Et pour cause : les troubles mentaux ne sont pas uniquement le fait de la seule prédestination génétique. Il s’agit aussi et surtout d’une collision avec les évènements, car le stress majeur et les traumatismes sont déterminants dans le développement ou non d’une maladie. Et l’Algérie ayant connu et connaissant toujours de graves évènements anxiogènes, les citoyens ont tendance à être d’autant plus fragilisés et ainsi exposés aux troubles. « Pis,
                        rares sont les formes bénignes de schizophrénie enregistrées. La plupart sont malignes car la répétition des stress et stimuli traumatisants entretient et aggrave les maux », prévient le Pr Tedjiza.

                        « L’un des autres facteurs péjoratifs et qui induit un pronostic des plus défavorables est précisément le délai de mise en action d’une prise en charge adéquate », déplore-t-il. Mais ces retards ne sont toutefois pas tant dus à une carence du dispositif de prise en charge que plutôt à une permissivité de la famille vis-à-vis du malade, ou encore une répugnance et une réticence du sujet à aller consulter. « Pour différentes considérations, les troubles mentaux demeurant un sujet tabou dans notre société », s’attriste-t-il.

                        5% de la population sujette à la dépression nerveuse
                        D’ailleurs, le centre hospitalo-universitaire de psychiatrie Drid Hocine reçoit, à titre d’exemple, une moyenne de 20 000 consultations annuelles. De même, une moyenne de près de 2000 patients est hospitalisée annuellement dans cette même structure. Ce qui est loin de refléter les réalités d’une population « maltraitée ». Et qui est d’autant plus sujette à la dépression nerveuse, qui est l’affection mentale la plus fréquente. Dans le monde entier et en Algérie particulièrement, le taux de prévalence est de 5%. « Certains guérissent, d’autres, malheureusement, se suicident », affirme le Pr Tedjiza. Et ces situations sont plus fréquentes que l’on tend à le croire. Même si aucune statistique ou étude probante ne sont disponibles, l’on dispose de quelques éléments de comparaison. Il semble d’ailleurs que la courbe des suicides soit alarmante.
                        El Watan
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #13
                          La plupart des réfugiés en provenance d'Afrique ou de Syrie sont paranoïaques, ils ont traversé des situations périlleuses qui les ont mentalement fragilisé. ils sont désignés comme schizo alors qu'en réalité c'est du stress post traumatique.
                          azul/salam zwina

                          tu as tout à fait raison

                          et je peux t'affirmer qu'après la décennie noire, on a vu beaucoup de ceux qui ont des problèmes psychique dans beaucoup de familles algériennes qui ont vécu des traumatismes (militaires, civiles, policiers...).

                          On commencait à voir certains erraient à même la rue. c'était flagrant.

                          ces gens là, je ne pense pas qu'il ait tous guéris depuis.

                          N'en parlons même pas des zones (villages, villes, bourgades) où il y a eu des carnages et des tueries en masse.

                          et il y en a eu énormément.
                          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                          • #14
                            Azul Pomaria

                            azul/salam zwina

                            tu as tout à fait raison

                            et je peux t'affirmer qu'après la décennie noire, on a vu beaucoup de ceux qui ont des problèmes psychique dans beaucoup de familles algériennes qui ont vécu des traumatismes (militaires, civiles, policiers...).
                            C'est justement la décennie noire qui m'avait fait m'intéresser au sujet. J'avais effectué une mission auprès de psychiatres renommés dit "spécialistes" du sujet et c'est ainsi que je me suis aperçue qu'en France, les patients n'étaient pas mieux soignés qu'en Algérie. Les réfugiés sont assommés par des médicaments mais les causes profondes ne sont pas soignées donc ils peuvent représenter des dangers publics dès l'arrêt du traitement. Il faudrait la mise en place d'une vraie prise en charge et plus d'informations auprès des familles qui devraient savoir que tout traumatisme ou violence peut avoir de graves conséquences. L'entourage joue un rôle important pour la guérison et la prévention mais sans informations la plupart subissent sans savoir que des solutions existent.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #15
                              Oui c'est vrai que les trauma de guerre et autre y sont pour quelque chose, mais il y a aussi les drogues qui dernièrement amplifient ce fléau auprès des jeunes...
                              Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
                              9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
                              ou âachra fi âaynikom

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