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Economie marocaine : El Othmani dévoile ses ambitions

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  • Economie marocaine : El Othmani dévoile ses ambitions

    Infomédiaire Maroc - Le gouvernement marocain vise à réaliser un taux de croissance économique compris entre 4,5 et 5,5% et à maîtriser le déficit budgétaire à 3% du PIB à l’horizon 2021, a affirmé hier le chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani.
    Ce dernier, qui présentait le programme gouvernemental devant les 2 Chambres du Parlement réunies en séance commune, a souligné que sur le plan des indicateurs macro-économiques, le gouvernement oeuvrera également à réduire le taux d’endettement de la trésorerie à moins de 60% du PIB, le taux de l’inflation à moins de 2% et le taux de chômage à hauteur de 8,5%.


    infomediaire

  • #2
    réduire le taux d’endettement de la trésorerie à moins de 60% du PIB
    La croissance étant ce qu'elle est et puisqu'il veut ramener le taux de l’inflation sous 2%, il ne lui reste que deux solutions pour réduire le taux d’endettement: soit augmenter les impôts, soit diminuer les dépenses de l'état. Mais dans les deux cas, il va provoquer une chute de la croissance alors qu'il vise à réaliser une croissance entre 4,5 et 5,5%. Un vrai cercle vicieux !

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    • #3
      On verra comment ils vont réaliser ces prévisions ,entre la théorie et la pratique ,il y a un gap

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      • #4
        Il ne peut pas à la fois, en même temps:

        - réaliser un taux de croissance économique compris entre 4,5 et 5,5%
        - maîtriser le déficit budgétaire à 3% du PIB
        - réduire le taux d’endettement de la trésorerie à moins de 60% du PIB
        - et réduire le taux de l’inflation à moins de 2%

        C'est impossible.

        Il devrait plutôt se concentrer sur un seul indicateur, celui de la croissance

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        • #5
          la croissance te permettra d'augmenter tes recettes ce qui réduira le déficit budgétaire, la réduction de ce déficit entrainera une baisse de l'endettement qui avec le temps et la croissance passera sous la barre des 60%. en ce qui concerne l'inflation elle n'a jamais depassé les 3% même avant la crise de 2008, c'est pas comme si on avait une inflation à l'egyptienne et que el othmani allait la faire baisser à 2%. en plus la matrise de l'inflation c'est plus la BAM pas le gvt.

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          • #6
            la croissance te permettra d'augmenter tes recettes ce qui réduira le déficit budgétaire, la réduction de ce déficit entraînera une baisse de l'endettement qui avec le temps et la croissance passera sous la barre des 60%. en ce qui concerne l'inflation elle n'a jamais dépasse les 3% même avant la crise de 2008
            C'est plus facile à dire qu'à faire. La croissance au Maroc est tributaire de la pluviométrie qui est elle-même aléatoire. Et ce n'est pas en réduisant les dépenses publiques (l'endettement) que cette croissance augmentera.

            Pour augmenter les recettes sans augmenter les impôts ou réduire les dépenses de l'état, El Othmani devra s'attaquer sérieusement à l'informel.

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            • #7
              El othmani comme Benkirane tout comme hmida ne maîtrise pas les conditions climatiques des années à venir.

              Tout dépendra de la pluie.
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                vaut mieux dépendre de la pluie nta3 ALLAH que des saut d'humeurs de quelques costards cravates....

                Commentaire


                • #9
                  EL Othmani fait comme les candidats à l'élection présidentielle française il annonce des objectifs et des visions, mais il ne dit pas comment faire pour y arriver. Tu peux interroger le premiers mecs que tu croises dans la rue il te dira la même chose mais ce qui est intéressant c'est de savoir comment on va faire pour y arriver ?

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                  • #10
                    Le maroc ne vit pas sur une île, ca dépendra beaucoup de la conjoncture internationale
                    Qui peut me dire quel sera l'état du monde Économiquement et politquement dans cinq ans ?

                    Commentaire


                    • #11
                      - réaliser un taux de croissance économique compris entre 4,5 et 5,5%
                      - maîtriser le déficit budgétaire à 3% du PIB
                      - réduire le taux d’endettement de la trésorerie à moins de 60% du PIB
                      - et réduire le taux de l’inflation à moins de 2%
                      Pas la moindre ambition ni allusion à des projets sociaux & d'infrastructures ! Pourtant c'est tout un programme qui est sensé présenter au parlement.
                      A moins, ces choses là ça compte pas ou sont tout juste secondaires dans la vie de tous les jours !

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                      • #12
                        Le gouvernement marocain vise à réaliser un taux de croissance économique compris entre 4,5 et 5,5%
                        Tout dépend d'un paramètre capricieux, la pluie !
                        et à maîtriser le déficit budgétaire à 3% du PIB à l’horizon 2021
                        Quels secteurs seront sacrifiés et feront les frais de cette politique à la Thatcher: l'éducation , la santé, les infrastructures de base, l'armée et services de sécurité!
                        sur le plan des indicateurs macro-économiques, le gouvernement oeuvrera également à réduire le taux d’endettement de la trésorerie à moins de 60% du PIB,
                        Comment? avec quels moyens ? quelles recettes escomptées, quelles révisions sur les impôts, taxes,... seront mises en oeuvre pour renflouer les caisses de l'Etat sachant que pour éponger en partie cette dette du trésor et revenir à un endettement supportable? Faut rappeler pas questionner de compter sur les IDE, vu les facilités et les affranchissement de tout impôts au moins pour les 5 ans après leur installation? une négociation à l'amiable avec les créanciers locaux et étrangers pour revoir à la baisse les agios ?
                        e taux de l’inflation à moins de 2%
                        Maintenir une inflation de l'ordre de 2%,donc les prix sont sensés ne pas bouger or le Maroc se lance dans le flottement de sa monnaie pour réduire les importations par leur renchérissement, je vois pas comment résoudre ce paradoxe.La maîtrise de l'inflation passe aussi par la lutte des excès de liquidités donc rareté et renchérissement des crédits bancaires qui va sans dire se répercuter sur l'investissement et in fine les taux de croissance miroités
                        et le taux de chômage à hauteur de 8,5%.
                        Dèjà, je crois pas à ces chiffres officiels,bon faisant avec. Quel secteur qui va absorber cette masse de main d'oeuvre, de combien est le chiffre de chomeurs à biffer pour faire reculer d'un point cet indice de misère.Et la question qui fâche le secteur agricole represente 40% de la main d'oeuvre au Maroc sachant que ces travailleurs pour la plus part c'est des saisonniers.Peut-on vraiment parler de leur statut en basse saison, sont considérés comme chômeurs ou comme quoi ? et le cas échéant ils touchent quoi pour subsister une fois qu'ils désertent les champs ?Ils se reconvertissent en quelles activités en attendant ?
                        Dernière modification par pioto, 21 avril 2017, 16h30.

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                        • #13
                          une négociation à l'amiable avec les créanciers locaux et étrangers pour revoir à la baisse les agios ?
                          ?

                          pioto on parle du Maroc pas d'une économie mature comme celle de France.les francais se posent beaucoup de questions de ce genre parce qu'ils savent qu'ils sont en stag-deflation comme le japon dans les années 90.
                          Au Maroc il suffit que la croissance redémarre pour que tout rentre dans l'ordre. l'économie de notre 1er client, l'espagne, est entrain de croitre, et à plus de 3%.
                          sinon,quand on parle de croissance il faut oublier cette pluie que vous sortez dans chaque commentaire. le plus important c'est la croissance du secteur secondaire( actuellement à 2-3% alors qu'il croissait à 5-6% avant la crise mondiale) et le secteur tertiaire( 2-3% contre une moyenne de 5% avant) et qui représentent à eux deux 90% du pib marocain.

                          je te rapelle que la dette marocaine est passé de 90% mi années 90 à 40% en 2007.

                          le Maroc se lance dans le flottement de sa monnaie pour réduire les importations par leur renchérissement,
                          je ne sais pas d'où tu sors ça.
                          Dernière modification par Pline, 21 avril 2017, 17h50.

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                          • #14
                            Au Maroc il suffit que la croissance redémarre pour que tout rentre dans l'ordre. l'économie de notre 1er client, l'espagne, est entrain de croitre, et à plus de 3%.
                            sinon,quand on parle de croissance il faut oublier cette pluie que vous sortez dans chaque commentaire. le plus important c'est la croissance du secteur secondaire( actuellement à 2-3% alors qu'il croissait à 5-6% avant la crise mondiale) et le secteur tertiaire( 2-3% contre une moyenne de 5% avant) et qui représentent à eux deux 90% du pib marocain.
                            Bon tu refuse de voir que la pluie est =1.5points de croissance de PIB.La croissance hors agriculture, à part Les bilans de Renault qui paie pour l'instant "walou" impôt.Des activité frémissantes en offshores ça veut tout dire pour les recettes. Des sempiternels compte rendu de l'activité du port Tanger, tant de Bateaux ont accostés tant de bateaux ont largués les amarres.L'activité minière du phosphates elle brûle pas de mille feux.L'activité nn BTP, le gros chantier à ma connaissance reste le TGV sans remettre son coté pratique mais d'avis des forumeurs marocains , la rentabilité de ce coté là il faut pas y espérer trop.L'immobilier spéculatif est en berne et je crains pour l'avenir de grosse masse d'ouvriers du batiment. Surement que j'ai oublié des activités, je serais curieux d'apprendre sur lesquelles le Maroc y compte là dessus. Exportation vers votre premier marché ESPAGNE qu'est que vous fourguer aux "spagnouls" à part des primeurs et encore avec les conséquences de l'arrêt de justice.Je vois que le Maroc a des grands espoirs dans les services les banques et projette de recevoir 20 millions de touristes .Je sais pas si réalisable d'ici 4-5 ans, bon surement il y va avoir plus de touristes vu que la monnaie locale va perdre de sa relative rigueur et espérons aussi que ce tempête de terrorisme se calme entre temps.Maintenant pour ce qui du boucan fait par la com au sujet de la projection du Maroc en Afrique, c'était plus comme un argument à faire valoir pour rejoindre l'Union Africaine que de véritable ambition du moins peu de chance à se concrétiser à moyen terme... ....

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                            • #15
                              le Maroc se lance dans le flottement de sa monnaie pour réduire les importations par leur renchérissement,
                              Bonjour,
                              Selon certains spécialistes la valeur du dirham est plutôt en phase avec les fondamentaux de l’économie marocaine...donc selon cet avis, s'il y a dépréciation du DH, elle sera faible

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