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(Agence Ecofin) - L’Agence française de développement (AFD) allouera une enveloppe de 40 millions d’euros au Maroc, destinée à appuyer le Projet de développement et d'adaptation de l’irrigation aux changements climatiques à l’aval du barrage Kaddoussa.
Ce financement a été octroyé grâce à une convention signée le 17 avril dernier à Meknès, en marge des neuvièmes Assises nationales de l’agriculture, par Eric Baulard, directeur de l’AFD à Rabat, Aziz Akhannouch, le ministre marocain de l’Agriculture et Mohamed Boussaid, ministre en charge du portefeuille de l’Economie et des finances du royaume chérifien.
Localisé dans la province d'Errachidia, au nord-ouest du Royaume chérifien, le projet d’un coût total de 77,5 millions d’euros, vise à développer d’ici 2020, un périmètre d’environ 5 000 hectares (ha) composé d’oasis et d’extension hors oasis, à partir des eaux de surface mobilisées par ledit barrage.
Il s’appuiera sur plusieurs composantes dont l’aménagement du réseau d’adduction et de distribution d’eau, en vue d’une gestion rationnelle et durable des ressources agricoles de la zone. A ce volet, s’ajoute celui de l’adaptation de l’agriculture pratiquée dans les oasis aux changements climatiques.
Pour rappel, le projet bénéficie également d’un soutien financier de 20 millions d’euros du Fonds Vert pour le Climat (FVC) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Ce financement a été octroyé grâce à une convention signée le 17 avril dernier à Meknès, en marge des neuvièmes Assises nationales de l’agriculture, par Eric Baulard, directeur de l’AFD à Rabat, Aziz Akhannouch, le ministre marocain de l’Agriculture et Mohamed Boussaid, ministre en charge du portefeuille de l’Economie et des finances du royaume chérifien.
Localisé dans la province d'Errachidia, au nord-ouest du Royaume chérifien, le projet d’un coût total de 77,5 millions d’euros, vise à développer d’ici 2020, un périmètre d’environ 5 000 hectares (ha) composé d’oasis et d’extension hors oasis, à partir des eaux de surface mobilisées par ledit barrage.
Il s’appuiera sur plusieurs composantes dont l’aménagement du réseau d’adduction et de distribution d’eau, en vue d’une gestion rationnelle et durable des ressources agricoles de la zone. A ce volet, s’ajoute celui de l’adaptation de l’agriculture pratiquée dans les oasis aux changements climatiques.
Pour rappel, le projet bénéficie également d’un soutien financier de 20 millions d’euros du Fonds Vert pour le Climat (FVC) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).