La guerre d’Algérie reste une question de mémoire particulièrement sensible entre les deux pays.
Près de cinquante ans après l’indépendance de l’Algérie, les controverses sont nombreuses et les passions vives entre les différents groupes mémoriaux.
Est-ce un « passé qui ne passe pas » ?
Est-il possible de dénouer ces relations à partir d’une « politique de la reconnaissance » ?
Que peut la littérature, dans ce cadre?
Une mise en récits de la guerre, lisible de part et d’autre de la Méditerranée, est-elle possible ? A quelles conditions ?
La diversité et la complexité des histoires personnelles, dont la littérature est volontiers l’expression, favorisent-elles une meilleure compréhension de l’Autre ? Où en est-on aujourd’hui dans les relations entre l’Algérie et la France sur le plan littéraire ?
Près de cinquante ans après l’indépendance de l’Algérie, les controverses sont nombreuses et les passions vives entre les différents groupes mémoriaux.
Est-ce un « passé qui ne passe pas » ?
Est-il possible de dénouer ces relations à partir d’une « politique de la reconnaissance » ?
Que peut la littérature, dans ce cadre?
Une mise en récits de la guerre, lisible de part et d’autre de la Méditerranée, est-elle possible ? A quelles conditions ?
La diversité et la complexité des histoires personnelles, dont la littérature est volontiers l’expression, favorisent-elles une meilleure compréhension de l’Autre ? Où en est-on aujourd’hui dans les relations entre l’Algérie et la France sur le plan littéraire ?