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PRÈS DE 8 MILLIARDS DE DOLLARS DE CONTRATS SIGNÉS EN MOINS D'UN AN L'Algérie défie la crise

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  • PRÈS DE 8 MILLIARDS DE DOLLARS DE CONTRATS SIGNÉS EN MOINS D'UN AN L'Algérie défie la crise

    Après le contrat de 4,5 milliards de dollars signé avec l'Indonésie, Sonelgaz vient de conclure un marché de 3 milliards de dollars avec le géant américain General Electric.
    «L a meilleure défense, c'est l'attaque.» Si cette devise est valable en football, l'Algérie l'ose dans le domaine économique. A l'image de sa jeunesse, de ses forces vives, qui brûlent d'envie d'entreprendre, d'en découdre pour relever le défi du développement.
    Pour s'affranchir de l'indépendance à l'or noir, aux exportations d'hydrocarbures. Certes, la conjoncture n'est pas très favorable avec le niveau atteint actuellement par les prix du pétrole. Une situation, qui aussi paradoxale que cela puisse paraître, est opportune pour diversifier l'économie du pays.
    Booster des secteurs aux énormes potentialités qui constitueront les fers de lance du modèle de croissance économique préconisé par les pouvoirs publics.
    La bataille est engagée. Près de 8 milliards de dollars de contrats signés en moins d'un an. Après le contrat de 4,5 milliards de dollars signé avec l'Indonésie, le 18 juillet 2016, dans le secteur des mines, Sonelgaz vient de conclure un marché de 3 milliards de dollars avec le groupe américain General Electric (GE). L'accord a été signé à Batna le 24 avril en présence du Premier ministre. Abdelmalek Sellal était en visite de travail dans les Aurès. Il y avait du beau monde.
    Le ministre de l'Energie, Noureddine Boutarfa, le P-DG de Sonelgaz, Mustapha Guitouni...côté algérien.
    Les P-DG de GE Power, Steve Bolze, celui du Moyen-Orient, Afrique du Nord et Turquie, Nabil Habayeb, le patron de GE Power Services au Moyen-Orient et Afrique, Joseph Anis. Une cérémonie solennelle pour un contrat historique! «Considéré comme le plus important contrat de partenariat de l'histoire pour GE Power Services, cet accord renforcera les capacités industrielles locales et stimulera la transition industrielle numérique des centrales électriques du pays», soulignera le géant américain de l'Energie.
    L'Algérie fonce au moment où le Fonds monétaire international lui met la pression pour qu'elle s'oriente vers l'endettement afin de faire face à la baisse de ses revenus pétroliers provoquée par la dégringolade des cours de l'or noir. L'Algérie refuse de rendre les armes sans combattre.
    La première cartouche a été tirée il y a près d'une année lorsque trois accords d'investissements d'un montant de 4,5 milliards de dollars avaient été signés, le 18 juillet à Alger, entre deux entreprises publiques nationales et un groupe industriel indonésien.
    Des accords de joint-ventures paraphés par les groupes et Manal côté algérien, et par le groupe indonésien Indorama Corporation.
    Ces projets permettront la création de quelque 16.000 emplois avec 12.000 en phase de construction et 4 000 en exploitation. Ils ont été qualifiés «des plus importants hors hydrocarbures depuis l'indépendance» par le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb. L'Algérie défie la crise. Elle en a les moyens. Le pays s'adosse sur un matelas financier de plus de 100 milliards de dollars quand bien même les prix du pétrole qui constitue l'essentiel de ses rentrées en devises aient chuté de quelque 115 dollars en juin 2014 à un peu plus de 52 dollars en ce moment pour le Brent. Il faut surtout ne pas perdre de vue que s'ils évoluent dans ces eaux-là c'est bien grâce en grande partie à l'offensive diplomatique d'envergure initiée par le président de la République. Elle s'est matérialisée le 28 septembre 2016 lors d'un sommet de l'Opep qui s'est tenu à Alger en marge du 15ème Forum international de l'Energie.
    Un rendez-vous qui a donné naissance à un accord historique qui a débouché sur une baisse de la production de l'Organisation des pays producteurs de pétrole et de 11 de ses alliés hors cartel, de près de 1,8 million de barils par jour.
    Une démonstration de toute l'énergie qui habite les forces vives du pays pour traverser cette étape difficile. Les bases de la plate-forme de la révolution économique étant jetées, il ne reste qu'à mener cette «mère des batailles» pour que l'Algérie parvienne à son indépendance...Les munitions ne manquent pas.

    l'expression
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    sans oublier "les investissements" dans du materiel militaire qui est toujours en hausse.
    Si quelqu'un décele une quelqconque logique ou strategie qu'il veuillement bien nous l'étaler.
    moi je dis que la tactique consiste à faire comme si une crise finacière n'existait pas ... et pouff! elle n'existe plus

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    • #3
      Pour s'affranchir de l'indépendance à l'or noir, aux exportations d'hydrocarbures.
      La dépendance !

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      • #4
        @ Acapulco

        Il suffit d´ouvrir un topic avec un titre "L`Algérie" et le laisser vide.
        Je suis certain que les étoiles vertes vont le commenter.
        “Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde.”

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        • #5
          Personne pour parler du sujet juste des commentaires sur les marocains !

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          • #6
            PRÈS DE 8 MILLIARDS DE DOLLARS DE CONTRATS SIGNÉS EN MOINS D'UN AN L'Algérie défie la crise

            Parler de quoi?On t'informe que l’Algérie continue a investir,et tout ce que trouve un participant,c'est remplacer "défie" par:
            "moi je dis que la tactique consiste à faire comme si une crise financière n'existait pas ... et pouff! elle n'existe plus"

            Défie quelque chose c'est nier son existence?La crise doit-elle empêcher l’investissement?Ou au contraire l'encourager?

            Maintenant i tu as des réponses argumentées aces questions,on est preneur.
            A moins que ce soit simplement pour nous amuser,moi je suis preneur aussi.

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            • #7
              Annabi tu es à cran !

              Parler de quoi?On t'informe que l’Algérie continue a investir,et tout ce que trouve un participant,c'est remplacer "défie" par:
              "moi je dis que la tactique consiste à faire comme si une crise financière n'existait pas ... et pouff! elle n'existe plus"
              N'importe quoi !

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              • #8
                GE , c'est une très bonne initiative que d'investir dans le number one , je crois qu'aucun pays du Maghreb ne peut mieux faire .

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                • #9
                  Annabi tu es à cran !

                  Au lieu de te contorsionner en te croyant au plus grand cabaret du monde, répond à ces 3 questions très simples, toi qui es calme et reposé et surtout expert en tout:

                  Défie quelque chose c'est nier son existence?La crise doit-elle empêcher l’investissement?Ou au contraire l'encourager?L'investissement cité dans ce sujet est de nature à sortir l’Algérie de sa dépendance au pétrole?

                  Tu peux aller prendre les ordres à la cellule et venir nous recopier le texte.
                  La dernière fois où j'ai eu le malheur de poser 2 questions très simples à un membre de la cellule de propagande, la réponse je l'attends toujours.
                  Ah si, il a corrigé ma conjugaison. C'est vrai que c'est plus facile de rester fixer sur le doigt quand..
                  Dernière modification par annabideparis, 27 avril 2017, 12h50.

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