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Le ministre des Affaires étrangères a encore une fois taclé le Makhzen auquel il a reproché de faire du malheur des réfugiés un fonds de commerce. Ramtane Lamamra a révélé que les services de sécurité algériens savaient exactement ce qu’il s’est passé à la frontière mais que l’Algérie a préféré ne pas ébruiter l’affaire pour ne pas enfoncer le régime marocain dont les frasques et les attitudes puériles sont si récurrentes qu’il devient la risée de l’opinion publique internationale.
Le ministre des Affaires étrangères a, en effet, affirmé, ce mardi à Alger, à propos des accusations proférées par le Maroc à l'encontre de l'Algérie concernant les réfugiés syriens qu'il s'agissait d'un sujet «sensible et délicat», ajoutant qu'«on ne doit pas faire de cette tragédie un fonds de commerce».
Dans une déclaration à la presse en marge d'une conférence sur la liberté de culte en Algérie, au siège du ministère des Affaires étrangères, Lamamra, ne dérogeant pas au ton diplomatique, a indiqué que la convocation de l’ambassadeur du Maroc à Alger par son département ministériel à ce sujet était «une réponse à l'attitude de nos frères au Maroc». Pour lui, la question des réfugiés «est un sujet sensible» que l’Algérie refuse d’exploiter à des fins politiciennes viles comme le fait le Makhzen.
Ce n’est pas la première fois que le Maroc utilise le drame des réfugiés pour tenter de discréditer l’Algérie dans sa campagne hargneuse directement liée au dossier sahraoui. Selon certaines indiscrétions, le Makhzen a actionné son réseau de lobbyistes pour tenter de convaincre l’Algérie d’«assouplir sa position» sur le dossier sahraoui, allant jusqu’à faire les louanges des liens de fraternité séculaires entre l’Algérie et le Maroc. C’est donc en désespoir de cause que le Makhzen joue le tout pour le tout sur fond de déconvenues diplomatiques tous azimuts et, surtout, de la volonté affichée de tous les dirigeants du monde d’en finir définitivement avec cette colonisation du Sahara Occidental qui n’a que trop duré.
ALGERIE PATRIOTIQUE
Le ministre des Affaires étrangères a, en effet, affirmé, ce mardi à Alger, à propos des accusations proférées par le Maroc à l'encontre de l'Algérie concernant les réfugiés syriens qu'il s'agissait d'un sujet «sensible et délicat», ajoutant qu'«on ne doit pas faire de cette tragédie un fonds de commerce».
Dans une déclaration à la presse en marge d'une conférence sur la liberté de culte en Algérie, au siège du ministère des Affaires étrangères, Lamamra, ne dérogeant pas au ton diplomatique, a indiqué que la convocation de l’ambassadeur du Maroc à Alger par son département ministériel à ce sujet était «une réponse à l'attitude de nos frères au Maroc». Pour lui, la question des réfugiés «est un sujet sensible» que l’Algérie refuse d’exploiter à des fins politiciennes viles comme le fait le Makhzen.
Ce n’est pas la première fois que le Maroc utilise le drame des réfugiés pour tenter de discréditer l’Algérie dans sa campagne hargneuse directement liée au dossier sahraoui. Selon certaines indiscrétions, le Makhzen a actionné son réseau de lobbyistes pour tenter de convaincre l’Algérie d’«assouplir sa position» sur le dossier sahraoui, allant jusqu’à faire les louanges des liens de fraternité séculaires entre l’Algérie et le Maroc. C’est donc en désespoir de cause que le Makhzen joue le tout pour le tout sur fond de déconvenues diplomatiques tous azimuts et, surtout, de la volonté affichée de tous les dirigeants du monde d’en finir définitivement avec cette colonisation du Sahara Occidental qui n’a que trop duré.
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