Le président de Debout la France avait terminé sixième du premier tour de la présidentielle, avec 4,70% des voix.
Toute la journée, son intervention était attendue. Ralliera-t-il Marine Le Pen ? Le président de Debout La France s’est finalement exprimé, en fin de journée, au journal télévisé. Il a déclaré avoir signé un accord de gouvernement avec Marine Le Pen, et la soutiendra pour le second tour de l’élection présidentielle.
“Je pense que la France est à la croisée des chemins, qu’il a vécu cinq ans terrible avec François Hollande et qu’Emmanuel Macron est un relent puissance 10.”, a-t-il déclaré sur France 2. Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan se sont rencontrés vendredi après-midi.
“Nous avons signé un accord de gouvernement (…) avec des ajouts de mon programme présidentiel (…) je ferai campagne avec elle sur un projet de gouvernement élargi”, a-t-il ajouté. Pour lui, “Marine Le Pen n’est pas d’extrême droite” En revanche, aucun accord n’a été conclu pour les élections législatives. Il a précisé que Marine Le Pen ne prendra pas en charge ses frais de campagne.
Un accord rejeté ces derniers mois
Pourtant, dans les mois qui ont précédé le premier tour, il s’était exprimé sur ses points communs avec le Front national. A l’antenne de Sud Radio, il avait affirmé être candidat pour “de ce trio infernal, entre une gauche nulle, une droite parfois malhonnête et un FN avec ses excès”.
Dans un entretien au Point il affirmait à propos du FN que « l’arrière-boutique ne correspond pas à la vitrine et son programme n’est pas sérieux. Mon programme n’est pas une restauration, mais une vraie reconstruction. »
Alors que Marine Le Pen avait lancé un “signal” à “tous les patriotes” , mentionnant en particulier Nicolas Dupont-Aignan pour qu’il la rejoigne. Ce dernier avait répondu : “ses appels me laissent indifférent. Je ne répondrai à aucune sollicitation. Interrogé sur un éventuel ralliement à Marine Le Pen en cas de second tour, il refusait alors de « faire des projections ».
slate.
Toute la journée, son intervention était attendue. Ralliera-t-il Marine Le Pen ? Le président de Debout La France s’est finalement exprimé, en fin de journée, au journal télévisé. Il a déclaré avoir signé un accord de gouvernement avec Marine Le Pen, et la soutiendra pour le second tour de l’élection présidentielle.
“Je pense que la France est à la croisée des chemins, qu’il a vécu cinq ans terrible avec François Hollande et qu’Emmanuel Macron est un relent puissance 10.”, a-t-il déclaré sur France 2. Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan se sont rencontrés vendredi après-midi.
“Nous avons signé un accord de gouvernement (…) avec des ajouts de mon programme présidentiel (…) je ferai campagne avec elle sur un projet de gouvernement élargi”, a-t-il ajouté. Pour lui, “Marine Le Pen n’est pas d’extrême droite” En revanche, aucun accord n’a été conclu pour les élections législatives. Il a précisé que Marine Le Pen ne prendra pas en charge ses frais de campagne.
Un accord rejeté ces derniers mois
Pourtant, dans les mois qui ont précédé le premier tour, il s’était exprimé sur ses points communs avec le Front national. A l’antenne de Sud Radio, il avait affirmé être candidat pour “de ce trio infernal, entre une gauche nulle, une droite parfois malhonnête et un FN avec ses excès”.
Dans un entretien au Point il affirmait à propos du FN que « l’arrière-boutique ne correspond pas à la vitrine et son programme n’est pas sérieux. Mon programme n’est pas une restauration, mais une vraie reconstruction. »
Alors que Marine Le Pen avait lancé un “signal” à “tous les patriotes” , mentionnant en particulier Nicolas Dupont-Aignan pour qu’il la rejoigne. Ce dernier avait répondu : “ses appels me laissent indifférent. Je ne répondrai à aucune sollicitation. Interrogé sur un éventuel ralliement à Marine Le Pen en cas de second tour, il refusait alors de « faire des projections ».
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