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Conflits du Sahara Occidental et celui de la Palestine: sont-ils semblables?

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  • Conflits du Sahara Occidental et celui de la Palestine: sont-ils semblables?

    On sait que les sbires de Mustapha El Khalfi récusent la comparaison entre les cas de l'occupation marocaine du Sahara Occidental et celle israélienne de la Palestine.

    Or, intrinsèquement étudiés, les deux cas sont réciproques en tous points de vue et serait malvenu à quiconque d'en désapprouver la comparaison.

    A moins d'être psychopathe ou soumis à une doctrinaire désinvolte.

  • #2
    Dès lors qu'il s'agisse d'une telle question si raffinée, force est de reconnaître qu'autant le "coach" Mustapha El Khalfi ni ses subordonnés ne sont en mesure d'octroyer quelconque réponse satisfaisante.

    D'où leur handicap (emprunt?) intellectuel avoué? Mais à ce props- bien évidemment- il s'agit là d'un euphémisme décrétant que le conflit saharaoui et celui palestinien sont- indistinctement- analogues et il faut avoir le courage de l'admettre en dépit du risque de connaître la célèbre prison de Kénitra.

    Reste à savoir si-honnêtement- les subordonnés de Mustapha El Khalfi en soient dignes de probité? C'est loin...très loin d'être acquis, car si pauvres, il va de soi que leur lâcheté l'emportera sur la dignité.:22:

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    • #3
      allah i ster ! lol

      c'est toujours bizarre de voir une personne se parler tout seul sur un topic

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      • #4
        tenebre
        Les vieux ont du mal a dormir la nuit.

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        • #5
          Awtil

          Les vieux ont du mal a dormir la nuit.
          et surtout en lisant le dernier rapport du conseil de securite sur le sahara

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          • #6
            Mounir
            MDR
            lis en long en large et en diagonale pas trouvé de faille ça empêche de dormir.

            Commentaire


            • #7
              Awtil

              lis en long en large et en diagonale pas trouvé de faille ça empêche de dormir.
              lis et relis en cherchant avec une loupe de bijoutier le mot referendum
              mais nada...et tu veux apres qu il dorme ?

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              • #8
                Les vieux ont du mal a dormir la nuit.
                c'est ce que je me dis quand je lis ses propos

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                • #9
                  Les conflits sont tellement réciproques qu'il y a lieu d'attendre l'issue finale d'un des deux pour s'en inspirer pour l'autre.

                  Et, ce qui fait que le royaume est complice d'Israël et vice versa. Une bande de salopards comme il est prôné en Français.

                  - Et maintenant, que va négocier le Maroc avec le Polisario ?

                  Dans ce sens, il faut le dire, le Plan d’autonomie est dans sa forme figée depuis dix ans, obsolète. D’abord parce ses grands principes généraux qui ne tiennent que sur deux feuillets, ne sont pas suffisamment détaillés, notamment en ce qui concerne l’ordonnancement de ses mécanismes juridictionnels.

                  Lors de son point avec la presse à New York à l’issue du vote de la résolution, Omar Hilale a assuré pouvoir les décliner en un pavé de 300 pages en un temps record. C’est ce que l’on attend pourtant depuis 2007. L’argument qui voudrait que l’on ne doit abattre ses cartes que pas à pas, dans une logique d’Oslo, n’est pas convaincant et potentiellement contre-productif.

                  Pour séduire la communauté internationale, mais aussi et surtout les irrédentistes, la mariée ne peut être dérobée à la vue de ses prétendants. Il en va de la crédibilité du Maroc que les plus soupçonneux accusent de vouloir constamment jouer la montre.

                  Dernier point, le plus significatif, la régionalisation dont on se gargarise bien trop souvent et dans laquelle doit être enchâssée la future région autonome du Sahara, est au point mort. Les raisons en sont multiples, mais la principale est que le sommet de l’Etat, après en avoir été l’aiguillon, ne la place manifestement plus parmi ses priorités stratégiques. Et pour cause, la donne politique intérieure a changé. La « monarchie exécutive » a retrouvé sa prééminence après la parenthèse des Printemps arabes. Dernier clou au cercueil d’une démocratie participative et réellement représentative, la mise au pas du premier parti politique du pays mis sous tutelle de la technocratie dans son propre gouvernement.

                  L’heure est donc à une forme de jacobinisme, antagoniste avec toute forme de partage des pouvoirs. Le sujet, ici, n’est pas de discuter des raisons objectives de ce choix, mais d’en mesurer les conséquences sur l’architecture institutionnelle du pays.

                  Signe des temps, la course à la présidence des régions n’a pas suscité d’engouement particulier et encore moins d’enjeux majeurs, ni de la part du Palais, ni des partis. A Casablanca, le marketing et l’efficience supposée du modèle dirigiste sont exemplarisés. A Tanger, les contingences sécuritaires ont davantage souligné le pouvoir du wali de la région, que celui, écorné, de son président. Ailleurs, c’est le calme plat-.


                  Source le Desk

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