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Fondation Abbé Pierre, France Terre d'Asile... Une soixantaine d'associations appellent les électeurs à se mobiliser "contre ceux qui prônent le rejet de l'autre".
"Ne restons pas spectateurs, protégeons nos valeurs". C'est avec ces mots que 61 associations et ONG appellent les électeurs à se mobiliser pour le second tour de la présidentielle. Contre qui, contre quoi? "Face à celles et ceux qui prônent le rejet de l'autre et le repli sur soi", poursuit l'appel, publié par le Journal du dimanche.
"A la veille de cette élection aux enjeux majeurs, nous, organisations de la société civile, souhaitons lancer un cri d'alarme pour défendre les valeurs qui nous animent et qui constituent le socle de la société dans laquelle nous voulons vivre", écrivent ces associations, sans jamais citer la candidate FN Marine Le Pen, qui affrontera Emmanuel Macron (En Marche!) au second tour de la présidentielle.
SOS Racisme, France Terre d'Asile, Planning familial...
"Ces valeurs sont celles de notre devise nationale: la liberté, celle de critiquer, de manifester, de penser autrement, de proposer des alternatives, l'égalité, face à l'emploi, aux aides sociales, à l'accès aux soins et au socle de droits, et la fraternité, c'est-à-dire la générosité et l'humanité envers tous comme le respect de notre environnement partagé", poursuivent les signataires.
Parmi elles, on trouve la Fondation Abbé Pierre, Aides, Planning familial, France Terre d'Asile ou encore SOS Racisme. Des associations dont les actions vont de l'aide aux plus démunis ou aux migrants à la défense de l'environnement, en passant par le féminisme.
"Une remise en cause des droits"
"Avec l'expérience des dernières décennies, la tentation est forte de considérer que nos combats ne se gagneront pas par le vote, qu'il n'y a pas grand-chose à attendre de ce qui sortira des urnes. Pourtant, si le meilleur n'est pas forcément garanti, le pire reste malheureusement possible", préviennent ces associations et ONG.
Et d'insister: "Le pire, ce sont nos valeurs mises à sac. Le pire, c'est une remise en cause des droits qui ne seraient pas les mêmes pour tou(te)s, de la solidarité qui ne s'appliquerait pas à tout le monde et, pour garantir notre sécurité, le renoncement à nos libertés et l'affaiblissement de notre démocratie".
"Ne restons pas spectateurs, protégeons nos valeurs". C'est avec ces mots que 61 associations et ONG appellent les électeurs à se mobiliser pour le second tour de la présidentielle. Contre qui, contre quoi? "Face à celles et ceux qui prônent le rejet de l'autre et le repli sur soi", poursuit l'appel, publié par le Journal du dimanche.
"A la veille de cette élection aux enjeux majeurs, nous, organisations de la société civile, souhaitons lancer un cri d'alarme pour défendre les valeurs qui nous animent et qui constituent le socle de la société dans laquelle nous voulons vivre", écrivent ces associations, sans jamais citer la candidate FN Marine Le Pen, qui affrontera Emmanuel Macron (En Marche!) au second tour de la présidentielle.
SOS Racisme, France Terre d'Asile, Planning familial...
"Ces valeurs sont celles de notre devise nationale: la liberté, celle de critiquer, de manifester, de penser autrement, de proposer des alternatives, l'égalité, face à l'emploi, aux aides sociales, à l'accès aux soins et au socle de droits, et la fraternité, c'est-à-dire la générosité et l'humanité envers tous comme le respect de notre environnement partagé", poursuivent les signataires.
Parmi elles, on trouve la Fondation Abbé Pierre, Aides, Planning familial, France Terre d'Asile ou encore SOS Racisme. Des associations dont les actions vont de l'aide aux plus démunis ou aux migrants à la défense de l'environnement, en passant par le féminisme.
"Une remise en cause des droits"
"Avec l'expérience des dernières décennies, la tentation est forte de considérer que nos combats ne se gagneront pas par le vote, qu'il n'y a pas grand-chose à attendre de ce qui sortira des urnes. Pourtant, si le meilleur n'est pas forcément garanti, le pire reste malheureusement possible", préviennent ces associations et ONG.
Et d'insister: "Le pire, ce sont nos valeurs mises à sac. Le pire, c'est une remise en cause des droits qui ne seraient pas les mêmes pour tou(te)s, de la solidarité qui ne s'appliquerait pas à tout le monde et, pour garantir notre sécurité, le renoncement à nos libertés et l'affaiblissement de notre démocratie".